Pieter Kerstens
Après avoir été anesthésiées durant 70 ans par les gourous euro mondialistes, il est savoureux de voir que du Nord au Sud de l’Europe, les nations sortent lentement de leur léthargie.
Les laquais du Nouvel Ordre mondial et les banksters de Wall Street nous ont imposé leurs idéologies multiculturelles et pluriethniques, ainsi que leurs dogmes égalitaristes, hédonistes, libéralistes et immigrationistes.
Ces grands prêtres de la Religion Droits de l’Hommiste ignorent la réalité et l’Histoire des nations. Fort de leur influence, ils réécrivent le passé glorieux de nos aïeux pour le détourner à des fins partisanes. Ainsi nous avons entendu, au final du carnaval du centenaire de l’armistice du 11.11.1918, le docteur Micron nous dire que le patriotisme était l’exact opposé du nationalisme.
Quelques jours auparavant, l’Elyséen avait déjà craché sur les valeureux poilus, en refusant d’honorer les mérites et la gloire du plus méritant d’entre eux : Philippe Pétain, Maréchal de France, le vainqueur de Verdun.
Faire preuve de tant de bassesse et de mesquinerie, un siècle plus tard, démontre la suffisance et l’arrogance du docteur Micron.
Parce que le devoir de mémoire nous rappelle que c’est bien la grande majorité de l’Assemblée Nationale, le Président du Conseil en tête, qui avait imploré l’aide du Maréchal quand la France était dans la panade en 1940 ; ces mêmes jocrisses lui ayant accordé les pleins pouvoirs !
Depuis des décennies, le capital apatride et l’oligarchie cosmopolite ont accaparé les leviers du pouvoir, les administrations, les organisations internationales et bien évidemment la Commission Européenne à Bruxelles et la Cour de Justice à Strasbourg.
Ainsi, les nations d’Europe ont bien été encadrées et privées de tout libre arbitre, comme en URSS de 1917 à 1989. Ces charlatans de l’Europe à tout prix et sans limites (à l’exemple de Jacques Delors) nous ont conduits au chaos et à la décadence, car ce sont bien eux les vrais responsables de :
- Une immigration incontrôlée de millions de clandestins.
- La fermeture de nos fleurons industriels, miniers, sidérurgiques ou textiles.
- La désertification de nos campagnes et du bétonnage à outrance sans discernement.
- La hausse permanente des taxes et des impôts.
- Lois liberticides interdisant la liberté de conviction, d’expression ou de réunion.
- Règlements plus absurdes les uns que les autres, pénalisants les entrepreneurs.
- L’existence d’une Police de la Pensée et l’obligation du Politiquement Correct.
- Dettes publiques faramineuses condamnant nos enfants et petits-enfants.
- L’enseignement dans les écoles, lycées et universités, fabriques de réels crétins.
- L’insécurité généralisée, de Copenhague à Catane et de Brest à Bucarest.
Et contrairement à ce qui a été affirmé, ce ne sont pas les nationalistes ou les identitaires, attachés aux valeurs ancestrales qui ont fait la grandeur de nos peuples au travers des siècles et par-delà les océans, qui représentent un danger d’une quelconque nouvelle guerre.
NON, depuis 1945, le Monde et l’Europe ont été en proie à de nombreux conflits, que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, en Asie, à Chypre, en Yougoslavie, en Ukraine, en Irak, ou en Syrie, sans oublier les « Révolutions de Jasmin »…
Guerres fomentées par qui ? Dans quel but ? Avec quels résultats ? Pour le bien commun et dans l’intérêt général ?
Et ce ne sont pas non plus les nationalistes ou les identitaires à l’origine des crises sociales, économiques ou financières depuis 1945 en Europe. La faute des crises financières de Chypre, de la Grèce, du Portugal, de l’Espagne et bientôt de l’Italie est entièrement imputable aux copains et aux coquins des divers gouvernements ayant dirigé les pays d’Europe ces 40 dernières années dans le laxisme le plus absolu avec une incompétence extraordinaire.
Et depuis cette période récente, le secteur bancaire et financier n’a jamais cessé ses pratiques douteuses, à tel point que les bilans des grandes enseignes est toujours plombé par des actifs pourris. Une prochaine tornade va à nouveau dévaster les finances européennes avec des répercussions sur votre niveau de vie, bien plus catastrophiques qu’en 2008.
Ce n’est qu’une question de temps.
Selon Christine Lagarde, présidente du FMI, le niveau mondial de la dette globale s’élevait à 182.000 milliards de dollars en octobre 2018, soit plus 60% de ce qu’il était il y a seulement 10 ans. D’après elle, « les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe. » (les Echos 9.11.2018).
Allo docteur Micron ? Les nationalistes répandraient la lèpre ?
Mais vous-même, et vos adeptes macronariens, nous conduisez à nouveau vers les heures les plus sombres de notre Histoire !