Le 11 novembre 1918, à 11 heures précises, le cessez-le-feu est déclaré sur le front alors que l’Allemagne s’apprête à signer l’armistice. Cinq minutes plus tôt, un jeune Lozérien, le soldat de première classe Augustin Trébuchon, était tué d’une balle dans la tête alors qu’il remplissait une ultime mission d’agent de liaison. Il est aujourd’hui considéré comme le dernier mort français de la Grande Guerre. Voici son histoire.