Bernard Plouvier
... et cela aura un petit air de « déjà vu » !
Non seulement, il faudra punir les traîtres à la patrie qui auront favorisé l’essai de destruction de notre Nation par une immigration-invasion d’une ampleur incommensurablement plus grande que les tentatives perpétrées par les hordes de Huns ou de mahométans, jusqu’à ce que ces derniers reçoivent deux déculottées, près de Bordeaux et de Poitiers.
Mais aussi, il faudra se souvenir du traitement honteux infligé au peuple de France par Grand Président Macron, son joueur de poker favori, le sieur Castaner, et leurs hordes de flics déchaînés.
Dans l’article de Claude Janvier – excellent comme toujours, avec ce rédacteur enthousiasmant –, paru in Eurolibertés du 11 janvier 2019 cliquez ici, on lit une déclaration issue d’un syndiqué de France Police, exprimée fin décembre, où le zélé fonctionnaire se retranche derrière « les ordres des ministre, préfets et commissaires », pour justifier les yeux et les membres perdus de manifestants dits « Gilets jaunes », les centaines de personnes tabassées ou intoxiquées par les gaz projetés.
Il est bon de rappeler à nos pandores que, si certains d’entre eux sont de redoutables carriéristes sans conscience, ils ne sont pas des robots et que la Loi est faite pour eux comme pour tout autre citoyen.
L’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (ONU) et l’art. 9 de la Convention Européenne des susdits ont reconnu une Liberté de Conscience (encore faut-il en avoir une !), soit – entre autres choses – le droit pour un militaire ou un policier de s’opposer à certains ordres, notamment ceux dont l’exécution est une flagrante violation de la Loi, comme le fait de tirer avec une arme potentiellement léthale (ou tueuse, comme on voudra) sur des individus désarmés.
Comme le Bon Peuple ne doit pas trop espérer de ses « forces de l’ordre », censées le protéger, puisque ses membres sont soldés par le produit des impôts et des taxes, le Bon Peuple doit, pour l’heure, faire un effort de mémoire et se préparer à l’apurement des comptes... qui suivra l’inévitable période de Libération.
Nous avons connu Philippe Le Bel (Homme) et le Grand Charles (le Général de TSF bien connu). De nos jours, il faut compter avec Emmanuel Le Pétochard et ses sbires. C’est assez dire notre déchéance. Toutefois, même chez une Nation en déclin, le réveil des pauvres – forcément plus nombreux que les riches – est toujours dangereux. Macron and Co., manifestement ignares en matière d’histoire, risquent de l’apprendre à leurs dépens.