Pieter Kerstens
De Giscard à Macron, ou de Mitterrand à Hollande, plus de quarante ans de lâchetés et d’aveuglement ont conduit au chaos de violences, d’agressions, de lynchages et de meurtres de policiers, dont nous sommes témoins aujourd’hui.
Le boomerang leur revient en pleine figure.
Charles Pasqua et Nicolas Sarközy, quand ils étaient ministres de l’Intérieur et gardiens de l’Ordre Public, promettaient des interventions radicales dans les banlieues.
Jean-Pierre Chevènement, lui, qualifiait les délinquants comme des « sauvageons ».
Malgré les rapports d’analyses hebdomadaires communiqués par divers criminologues compétents, les gouvernements successifs ont toujours ignoré les diagnostics permettant de combattre les crimes et délits commis par les afro-musulmans. Décennie après décennie, la caste politico-médiatique nous a servi la « culture de l’excuse » pour disculper les exactions, trafics, crimes et délits commis en grande majorité par des racailles et crapules d’origine immigrée, sous prétexte qu’ils venaient d’un milieu défavorisé !
Contrairement à ce que les socialauds-écolos-bobos ont tenté de nous faire croire pendant de longues années, ce ne sont pas la pauvreté, la dégradation de l’habitat, ni l’absence de système sanitaire ou d’infrastructures sportives qui sont la cause de la délinquance à Trappes, à Corbeil, à Tourcoing, à Bron, à Marseille, à Sarcelles ou à Grenoble. Dans les 81 Zones de Sécurité Prioritaires et les 751 Zones Urbaines Sensibles, ce sont des dizaines de milliards d’euros qui ont été dépensé depuis 1990 quand Michel Delebarre fut nommé « Ministre de la Ville ». A cette fonction se sont succédé Bernard Tapie, Simone Veil, Éric Raoult, Jean-Luc Borloo, Fadela Amara, Najat Vallaud-Belkacem ou Julien Denormandie, parmi d’autres, sans pour autant que la criminalité, la drogue, les incivilités ou les dégradations ne reculent ou ne disparaissent.
Mais en Corrèze, dans le Cantal, l’Ariège, la Creuse ou l’Aveyron, on a constaté (jusqu’à une période récente) qu’il y avait peu d’attentats ou de voitures brûlées, pas d’agressions envers les gendarmes ou de trafics divers, alors que ces régions rurales sont sous-équipées. POURQUOI ?
Langue de bois, laxisme, idéologie, clientélisme occultent la réalité.
La minorité des intellectuels de la gôche caviar et les médias complaisants ont diffusé la haine de la police au fil des années et relayé le slogan des manifestants : « Tout le monde déteste la Police ! ». Ce climat d’invectives, d’injures et d’accusations permanentes des forces de l’Ordre remonte aussi à mai 1968 durant lequel les camarades de Daniel Cohn-Bendit, Serge July, Alain Geismar, Jacques Sauvageot, Alain Krivine ou Henri Weber scandaient « CRS = SS ». Et grâce aux collaborateurs de l’immigration/« une chance pour la France » (ouvrage de Bernard Stasi), cette haine s’est étendue aux pompiers, aux ambulanciers, aux médecins, partout dans les banlieues, parmi les raclures qui combattent, armes de guerre en mains, toute représentation de l’autorité, de notre civilisation européenne, des règles et des lois de notre société.
En faisant preuve de mansuétude envers les délinquants multirécidivistes, les juges ont favorisé l’effet d’impunité dont bénéficie ces inassimilables, dans tout l’Hexagone.
Cela fait des années que les militaires ne portent plus leur uniforme et leurs décorations dans le métro. Qui se souvient aussi des curés en soutane et des nones en cornette dans les rues de nos cités ? Ce sont encore les gauchisants laïcards humanistes qui en sont responsables, en désignant ces représentants du clergé ou de l’armée indignes de leur considération et de leur respect. L’idéologie socialo-marxiste s’est infiltrée dans tous les rouages de l’État et particulièrement dans la Justice et l’Enseignement, gangrénés par leurs chimères.