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Fuite en avant : à part rapporter de l’argent, on ne sait pas à quoi servent les vaccins anti-Covid

Fuite en avant : à part rapporter de l’argent, on ne sait pas à quoi servent les vaccins anti-Covid

Les laboratoires Pfizer et Moderna ont augmenté les tarifs de leurs vaccins vendus à l’Union européenne (UE). L’accord passé avec Bruxelles prévoit que le prix du vaccin de Pfizer réalisé avec la biotech allemande BioNTech passe de 15,50 euros à 19,50 euros et celui de Moderna de 19 euros à 21,50 euros.

Les pays de l’UE cherchent à s’assurer qu’ils auront assez de doses en vue d’une éventuelle troisième injection. En attendant les suivantes…

Contactée par l’AFP, la Commission européenne s’est refusée à tout commentaire, mettant en avant la confidentialité des contrats. Et Pfizer et Moderna n’ont pas réagi.

En revanche, leur meilleur VRP a réagi pour inciter à la consommation. Sic.

 

Le programme d’achat commun de vaccins de l’Union européenne a concerné 330 millions de doses du vaccin BioNTech-Pfizer, 100 millions de l’AstraZeneca, 50 millions du Moderna et 20 millions du Johnson & Johnson. En mai, Bruxelles a passé un nouveau contrat pour acheter jusqu’à 1,8 milliard de doses de vaccins à BioNTech-Pfizer livrable jusqu’en 2023.

Le vaccin contre le Covid est un véritable succès commercial pour Pfizer. Le laboratoire américain prévoit de vendre 2,1 milliards de doses cette année, générant 33,5 milliards de dollars de revenus. Il ne vend son sérum à prix coûtant qu’aux pays pauvres.

Et pourtant, de plus en plus de monde commencent à s’inquiéter des effets négatifs.

Selon plusieurs chercheurs, cette vaccination de masse conduit à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Il y a urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas.

D’une part, la vaccination ne protège pas de la contamination et de la transmission du Sars-Cov-2, en particulier de l’actuel variant Delta, mais d’autre part, la question des effets indésirables les plus graves de la vaccination anti-covid est masquée :

La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux. L’importance de ces effets apporte en effet une contradiction trop flagrante et dévastatrice pour l’idéologie de la vaccination intégrale qui guide des gouvernements ayant choisi de s’abandonner dans les bras de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière est ainsi au cœur de toute la gestion d’une épidémie qui constitue pour elle une aubaine inédite dans l’histoire : quel produit commercial breveté a pour marché potentiel la totalité de l’humanité, renouvelable chaque année qui plus est ? Patrons et actionnaires de ces firmes pharmaceutiques et biotechnologiques sont en train de devenir immensément riches. Au vu de la façon dont ces industries ont travaillé (dans l’urgence, pour générer un maximum de profits, sans tester les personnes les plus à risque – âge et comorbidités -, à grand renfort de formules de type publicitaire), notamment aux États-Unis et en Angleterre, pour mettre au point ces nouveaux vaccins génétiques (ADN ou ARN), on pouvait ainsi dès le départ redouter que ces produits ne soient pas de très bonne qualité. Mais la réalité dépasse ces craintes et montre que ces vaccins ont davantage d’effets indésirables plus ou moins graves qu’aucun autre avant eux. Nous avons vu ainsi qu’aux Pays-Bas l’on parvient à un taux de 2,7 morts pour 100 000 vaccinés (16,5 millions de vaccinés, 448 morts). En France et aux États-Unis, ce taux monte à environ 3,7 morts pour 100 000 vaccinés. Et en Grande-Bretagne, ce taux grimpe même à 4,3 morts pour 100 000 vaccinés, très probablement en raison de la prépondérance du vaccin AstraZeneca que l’on sait depuis le mois de mars 2021 être le plus dangereux des quatre vaccins couramment utilisés en Occident (en particulier du fait des nombreuses thromboses qu’il provoque et qui commencent à être documentées dans la littérature scientifique médicale, voir par exemple ici et ), ce qui n’est guère surprenant lorsque l’on connaît les conditions dans lesquelles il a été fabriqué en Chine. Au passage, nous avons également signalé que ce fut le premier vaccin administré en France, dès février 2021, aux professionnels de santé. De là une des raisons rationnelles probables de la grande réticence à la vaccination anti-covid que manifestent une partie d’entre eux.

Au Portugal, des médecins s’inquiètent de la faiblesse du système immunitaire des jeunes enfants, qui tombent désormais très facilement malades. En vivant confinés, leur système immunitaire n’a pas pu se développer :

« Les deux, trois premières années de la vie sont déterminantes pour la construction du système immunitaire. À l’heure actuelle, il y a des enfants de deux ans qui ont vécu pratiquement toute leur vie dans une pandémie. Ils ont eu très peu de contacts avec des agents pathogènes qu’auparavant, donc, au fur et à mesure que la normalité revient, ils vont attraper tout et n’importe quoi – au moins jusqu’à ce qu’ils puissent récupérer le délai de création de leurs propres défenses ».

Une lectrice nous fait suivre l’analyse de 4 médecins, pourtant grands zélateurs des vaccins :

  1. Dr Bridle, nous nous sommes trompés
  2. Dr Vanden Bossche du GAVI, organisme promouvant à mort les vaccins
  3. Dr Yeadon ex vice président PFIZER : ce vaccin sert uniquement à réduire la population
  4. Dr Malone inventeur du vaccin ARNm…

Ce dernier, le Dr Robert Malone, principal inventeur de l’ARN messager (mais non pas de son application au « vaccin »), dénonce la dernière recommandation du Centre américain de contrôle et de prévention des maladies, le CDC. Le CDC a déclaré qu’il fallait de nouveau porter le masque à l’intérieur, parce que

« les personnes entièrement vaccinées qui sont infectées par le variant Delta risquent de le transmettre à d’autres personnes ».

Malone :

« Nous avons assisté à une progression d’informations de plus en plus désespérées et abruptes, en commençant par l’alerte de Pfizer il y a quelques semaines, selon laquelle ils pensaient que nous aurions besoin d’un rappel au bout de six mois, et la réprimande de Fauci, puis la volte-face du gouvernement qui a dit que nous aurions besoin de rappels pour les bénéficiaires de Pfizer au bout de six mois chez les personnes âgées et immunodéprimées, et enfin la bombe lâchée hier soir. »

Il est désormais probable que la charge virale chez les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées soit « similaire ». Il se pourrait qu’elle soit supérieure.

« C’est précisément ce que l’on verrait si un renforcement dépendant des anticorps (ADE) se produisait. Qu’est-ce que le renforcement dépendant des anticorps ? En bref, le vaccin rend le virus plus infectieux qu’il ne le serait en l’absence de vaccination, le virus se répliquerait à des niveaux plus élevés qu’en l’absence d’infection. C’est le pire cauchemar du vaccinologue. C’est arrivé avec le virus respiratoire syncytial dans les années 60 qui a causé plus de décès d’enfants chez les vaccinés que chez les non vaccinés. C’est arrivé avec Dengvaxia, le vaccin contre la dengue. Et c’est ce qui s’est passé avec pratiquement tous les autres programmes de développement de vaccins contre les coronavirus, en tout cas chez l’homme, connus dans l’histoire, et c’est ce contre quoi les vaccinologues comme moi mettent en garde depuis le début, à savoir le risque de renforcement dépendant des anticorps. »

Le Dr Malone ajoute que le renforcement dépendant des anticorps semble plus apparent chez les personnes auxquelles on a injecté le vaccin de Pfizer.

« Donc, nous savons maintenant que la protection de Pfizer s’estompe à six mois. Et ce que les données semblent suggérer, c’est que ceux qui ont reçu Pfizer, qui est probablement le moins immunogène des trois en termes de durabilité, de durée de protection, et sont maintenant dans la phase de déclin de la réponse immunitaire, semblent être infectés. Donc, cela suggère que c’est exactement ce que l’on pouvait anticiper, c’est-à-dire que la fenêtre de plus grande susceptibilité au renforcement dépendant des anticorps se trouve dans cette longue phase d’affaiblissement au fur et à mesure que la réponse au vaccin décline. Et je ne veux pas paraître alarmiste, mais ce qui semble se déployer, c’est le pire des scénarios, où le vaccin dans sa phase de déclin fait que le virus se réplique plus efficacement qu’il ne le ferait autrement. Et des gens ont mis en garde contre ce phénomène depuis le début de cette campagne de vaccination précipitée. »

Le Dr Malone a également critiqué Fauci, qui a récemment accusé, par une « série de déclarations trompeuses », les personnes non vaccinées d’être responsables des mutants. Le Dr Malone dit que

« les mutants qui échappent à la pression sélective du vaccin se développent très probablement chez les personnes qui ont été vaccinées, et non chez les personnes non vaccinées. C’est donc un autre mensonge commode. Si les données sont cohérentes avec [le renforcement dépendant des anticorps], nous devons arrêter la campagne de vaccination. Nous devons changer d’axe et accélérer autant que possible les traitements médicamenteux, qui ont été largement bloqués et supprimés au niveau de la FDA. »

https://www.lesalonbeige.fr/fuite-en-avant-a-part-rapporter-de-largent-on-ne-sait-pas-a-quoi-servent-les-vaccins-anti-covid/

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