Jacques Bompard, maire d'Orange
Hier en fin d’après-midi, Eric Zemmour a été invectivé par un homme qui lui aurait dit d’après les témoins présents : « Sur le Coran de La Mecque, je vais te fumer ».
En droit, cela s’appelle ni plus ni moins une menace de mort.
Ce n’est pas la première à l’encontre d’Eric Zemmour. D’ailleurs celui-ci est sous protection policière en raison de ces multiples agressions physiques et verbales.
Dans les faits, cela signe l’origine de l’agresseur : non pas un des musulmans désireux de s’assimiler à qui Eric Zemmour a tendu la main, mais un représentant de la sous-culture du ghetto imprégnée d’islamisme. Bref, un Salah Abdeslam en puissance.
De Paris Match au boulevard de Clichy, Eric Zemmour est la cible des attaques les plus hostiles et les plus dangereuses. Je vois un lien de causalité directe entre les unes de caniveau de la presse « people » et l’agresseur de Clichy. D’un côté, le pouvoir - car un tel tir de barrage (Match, Voici, Public, VSD, etc..) ne peut qu’être commandité - désigne la menace. De l’autre côté, le fanatique s’en prend à celui qu’on lui désigne tous les jours comme son ennemi personnel, cela avec la bénédiction du Système.
De tels actes ne sont pas anodins. Il ne faut pas y voir un cas isolé mais l’action nette de ceux qui ne veulent que la France se relève.
Eric Zemmour a raison de dire que c’est la situation que vivent de nombreux Français pointant ici l’insécurité permanente dans laquelle survit la population. Ce que nous apprend le cas d’Eric Zemmour, c’est que cette insécurité est essentiellement antifrançaise. Derrière les faits divers se cache l’action politique de l’invasion.