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Le baromètre du jour

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Jarente de Senac

Un certain… Sarkozy

 Nicolas Sarkozy, s’en est pris à Eric Zemmour alors qu’il était invité par le Chinese Businness Club, déclarant : « Quand on n’a pas beaucoup de racines, on essaye de s’en donner. Et plus on est hors sol, plus on essaye de se raccrocher à un courant politique (…) Je ne suis pas sûr sur le général De Gaule aurait forcément apprécié ce que Zemmour a dit de Pétain ». Côté racines, Zemmour en a sûrement plus que le dénommé Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, fils d’immigré hongrois. Et on ne peut pas dire que Sarko ait défendu avec vigueur la culture et l’identité française durant son quinquennat. Pour ce qui est de Pétain, Zemmour n’a certainement pas de leçon à recevoir de Sarko, ignare notoire. D’autant que Zemmour n’a dit qu’une seule chose : que le maréchal Pétain avait protégé les juifs français. Ce que corrobore nombre d’historiens et pas des moindres. Tandis que De Gaulle rêvait sa France à Londres avec la bénédiction de Staline, c’est bien le maréchal Pétain qui avait les pieds dans le bourbier allemand à défendre les intérêts des Français. Sarko, l’égérie de cette fausse droite ripoux aux remugles chiraquiens.   

Un spectacle consternant

 La grande majorité des Français, après laquelle courent tous les candidats de droite comme de gauche, regardent avec consternation les invectives que nos hommes et femmes politiques se balancent à la figure les uns contre les autres – et Eric Zemmour est le premier à déguster. Sauf qu’Eric Zemmour n’attaque personne et s’en tient à son discours sur l’identité française et le trop plein d’immigrés. Et s’ils s’en prennent tous à lui, c’est bien parce qu’il pose les vraies questions face à une classe politique qui n’a rien à proposer aux Français en accord avec leurs attentes et que leur unique mot d’ordre est : demain on rase gratis. De Mitterrand à Chirac, de Sarkozy à Hollande, la litanie est toujours la même. Quant à Macron, lui, il fait joujou avec le carnet de chèque des contribuables, s’imaginant, en bon libéral qu’il est, que l’argent peut tout résoudre. Les Français ne veulent qu’une chose, que cette démocratie soit réellement l’expression de la voix du peuple. Ils ne veulent pas d’une France divisée, archipellisée par ses gouvernants et ses fausses élites. Une France à trois vitesses : celle des politiques, celle d’une élite hors sol et celle des immigrés. Mais les Français sont-ils prêts à renverser la table ?

 Emmanuel Macron… et les sains vaccins !

A la télévision, Emmanuel Macron a défendu son bilan. C’est de bonne guerre, sauf que l’on retiendra surtout de son quinquennat, qu’il a déclenché la colère des Gilets jaunes et qu’il s’est pris de plein fouet, à l’image de beaucoup d’autres chefs d’Etat, la crise du covid. On retiendra également qu’il a engagé un bras de fer avec les syndicats sur le dossier des retraites. Il y a beaucoup à dire sur le sujet. Il l’a renvoyé à plus tard. On retiendra aussi de son discours, l’heureuse reprise du nucléaire. Il était temps. C’est de loin l’énergie dont l’industrie a besoin et les ménages tout autant. Le nucléaire offre une énergie puissante, non polluante et surtout bon marché. N’en déplaise à nos tocards d’écolos.

Pour ce qui concerne le covid, après quelques ratés, une majorité de Français sont désormais vaccinés. Mais on a soigneusement mis sous le tapis tous les dommages de santé collatéraux que ces foutus vaccins ont engendré. Elaborés dans l’urgence, on n’en sait pas plus sur ce foutu virus et on vient nous dire qu’une troisième dose est nécessaire. Ce qui est bizarre dans cette affaire, c’est l’échelle des âges que l’on met en avant : les moins de 65 ans, les 65 ans et plus, les 12 ans et plus, etc., et on s’interroge sur la vaccination des enfants. Où les vaccins valent pour tout le monde, où ils ne valent rien, enfin presque. A ce sujet d’ailleurs, on a curieusement aucune statistique. On cite en exemple Israël, mais là où toute une population a été vaccinée, le covid repart de plus belle. Ca tourne à l’histoire sans fin et l’efficacité des vaccins n’est pas totale mais bien provisoire pour ne pas dire éphémère. Autre question : pourquoi trois doses ? Une chose est sûre, ces vaccins n’offrent, a priori, qu’une protection limitée. D’où ma question : va-t-on devoir vivre avec les masques et les gestes barrières ad vitam eternam ? Va-t-on devoir, à l’image de la grippe, se faire vacciner tous les ans ? Or, ça pose problème avec les vaccins actuels sujets à effets secondaires de gravité variable. Que dire enfin de la noria de toubibs, dénichés on ne sait où, spécialistes ou pas, qui passent leur temps à se contredire ? Face à ce flot ininterrompu d’informations contradictoires, on a tout lieu d’être dubitatif.

http://synthesenationale.hautetfort.com/

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