À l’occasion de la remise en ordre en Ukraine, le IVe Reich reconnaît sans complexes faire la guerre à la Russie.
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a déclaré clairement le 25 janvier que l’Allemagne était en guerre contre la Russie.
Comme les autres leaders occidentaux se prétendent non-belligérants, la plupart des grands médias ont reçu l’ordre de passer sous silence ces propos martiaux. Mais Yevgeny Stakanovsky, personnage influent proche de Poutine, a commenté :
« Des chars allemands avec des croix sur leur blindage vont à nouveau traverser l’Ukraine en attaquant des soldats russes. Cela me rappelle quelque chose (…) Et pour moi, c’est un signal que le Bundestag ne devrait tout simplement plus exister. Démolissons-le, transformons-le en terrain légèrement radioactif. »
Comme les autres leaders occidentaux se prétendent non-belligérants, la plupart des grands médias ont reçu l’ordre de passer sous silence ces propos martiaux. Mais Yevgeny Stakanovsky, personnage influent proche de Poutine, a commenté :
« Des chars allemands avec des croix sur leur blindage vont à nouveau traverser l’Ukraine en attaquant des soldats russes. Cela me rappelle quelque chose (…) Et pour moi, c’est un signal que le Bundestag ne devrait tout simplement plus exister. Démolissons-le, transformons-le en terrain légèrement radioactif. »
Ce n’est pas un hasard si l’OTAN a recyclé des nazis de haut rang
Parmi les plus tristement célèbres, le général Hans Speidel, commandant en chef des troupes d’occupation en France, un officier d’une rare efficacité pour éliminer les Résistants dans les années 1940.
Récupéré par l’Allemagne fédérale en conservant son grade, au prétexte qu’il aurait participé à la tentative d’assassinat contre Hitler. Mais, très curieusement, alors que tous les suspects furent éliminés, le führer se contenta de lui faire une petite remontrance. Par la suite, Speidel devint Commandant des forces Centre Europe de l’OTAN de 1957 à 1963.
Son successeur, le général Adolf Heusinger, fut en 1941 un des concepteurs de l’opération d’invasion de l’URSS. La guerre éclair prévoyait d’éliminer, dans un premier temps, 30 millions de « sous-hommes » slaves. Une préméditation que les eurotocrates d’aujourd’hui évoquent, uniquement entre eux, avec une certaine nostalgie.
En 1942, la Gestapo et les SS de l’Est furent placés sous le commandement de Heusinger qui prétendra avoir tout ignoré des massacres. Les exécuteurs des basses œuvres seront condamnés par le Tribunal international militaire pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, et pendus.
Heusinger, « oublié » par les Alliés qui refuseront de le livrer à l’URSS, occupera le poste le plus élevé de la hiérarchie militaire de l’Allemagne fédérale. Avant de devenir à Washington, en 1963, le chef suprême de l’OTAN (NATO) pour l’ensemble des pays membres.
Comme il est impensable que les chasseurs de nazis aient ignoré le CV de ces individus, il est permis de se demander ce que les Américains leur ont offert en contrepartie pour qu’ils regardent ailleurs.
Les Boches ne saluent plus bras tendu, mais dans leurs têtes c’est toujours Sieg Heil !
Bellicistes, agressifs, arrogants, intraitables. Seuls des niais ont pu croire à la propagande vantant l’amitié franco-allemande. Rien n’a changé dans leur mentalité depuis le führer. De hauts dignitaires nazis ont occupé des postes de premier plan dans les institutions de l’Eurocrature. Et ceux qui leur ont succédé rêvent à leur tour d’une revanche sur la défaite de 1945. En écrasant les Russes pour les dépouiller de leurs fabuleuses ressources naturelles.
Il ne faut pas oublier que l’Eurocrature a été portée sur les fronts baptismaux par l’ancien officier SS Walter Hallstein et le collabo Robert Schuman qui fut ministre de Pétain. Condamnés l’un et l’autre pour leur passé, ils furent rapidement graciés cas ils pouvaient encore servir.
Né en 1901, maigrelet, effacé, peu représentatif de la « race des seigneurs », Hallstein fut un théoricien racialiste, coauteur des premières lois anti-juives. Avant de devenir de 1958 à 1967 le premier président de l’Europe soi-disant unie.
Grâce aux dossiers compromettants qu’ils avaient récupérés, les USA disposaient d’un moyen de pression imparable pour leur tordre les bras (en restant poli). De même qu’avec les chanceliers au lourd passé nazi qui succédèrent à Adenauer, un personnage assez médiocre, mais c’était le seul Boche présentable qu’on ait pu trouver. Anti-hitlérien. Mais pas forcément antisémite. Doutant de ses bonnes intentions, le 27 mars 1952, des anciens de l’Irgoun avaient tenté de lui faire la peau.
La supercherie de l’amitié franco-allemande
Après avoir été démis de ses fonctions par les Anglais qui le jugeaient incompétent, Adenauer est imposé à la tête de la chancellerie par les Amerloques en 1949. Terne fonctionnaire né en 1876, et politicien de seconde zone, il a bouffé à toutes les gamelles, sauf à la table d’Adolf. Qu’il prenait à juste titre pour un malade mental inculte. Préfigurant Macron ?
Adenauer est le pantin de la Maison-Blanche et de la CIA. Il a 73 ans quand il accède au pouvoir, et presque 88 quand il le quitte. Comme Pétain à un an près. Je ne vais pas médire des vieux schnoques. Mais, honnêtement, force est de reconnaître que, même bien conservé, même en bonne santé, même si on n’est pas sénile comme Biden, on n’a plus le même potentiel intellectuel qu’avant. Ni le même dynamisme. Ni la même résistance au stress. Mais bon, Adenauer était le seul item montrable que les Boches avaient en vitrine.
Atlantiste jusqu’au bout des ongles (on ne lui a guère laissé le choix) il n’aura de cesse de rouler dans la farine les Français naïfs qui croient à une réconciliation. Irréaliste et impossible. À moins d’accepter d’être des « untermentchen » (sous-hommes) au service des seigneurs germaniques… Même rhétorique qu’avec les mahométans. Ils veulent bien faire la paix à condition qu’on soit leurs dhimmis.
Les successeurs d’Adenauer étaient des anciens nazis au service de la CIA
À la fin de la guerre, l’OSS, ancêtre de la CIA, ne pouvait ignorer leur pedigree. Mais en 1963, quand Konrad prend enfin sa retraite, il est temps de pardonner aux hiérarques nazis qui ont « miraculeusement» échappé à la potence.
Ceux-là ont plus d’envergure que le vieillard poussé dehors, et ils ne tiennent pas à ce que leur passé soit révélé. Puisqu’ils sont censés représenter la «nouvelle Allemagne » épurée des miasmes d’antan. Qui a fait acte de contrition et demandé pardon pour ses crimes avec la franchise des faux jetons.
Ludwig Erhard qui ne restera que 14 mois à la chancellerie fut, de 1943 à 1945, l’adjoint du général SS Otto Olhendorf, secrétaire d’État à l’Économie du Reich et, à ce titre, responsable de la déportation de centaines de milliers de travailleurs forcés dans les usines de la mort.
Olhendorf sera pendu en 1951, pour avoir organisé en 1941-1942, en Ukraine des dizaines de milliers d’exécutions sommaires de civils. Avec le concours des Ukronazis de Stepan Bandera qui désignaient les cibles, juifs et communistes. Et ce bon monsieur Erhard, qui portait le cartable du général, ne voulait pas porter le chapeau. On comprend qu’il ait préféré prendre la tangente avant que le scandale l’éclabousse quand ses rivaux en politique ont retrouvé la mémoire.
Son successeur Kurt Georg Kiesinger chancelier de 1967 à 1971 avait lui aussi beaucoup à se faire pardonner… Membre actif du parti nazi dès 1933, il a été ensuite l’adjoint de Goebbels en tant que directeur de la propagande radiophonique… Il est même venu en France « aryaniser », au profit des collabos, des stations comme Radio Cité, Radio Monte Carlo ou Radio Andorre.
Lui aussi, comme tous les seconds couteaux jugés « récupérables » par les Ricains, il sera remis en liberté après un bref séjour en prison et jamais jugé.
Mais toute cette mansuétude impliquait des contreparties
Toutes les dossiers mijotaient à Washington dans les archives des procès en dénazification. Les preuves et témoignages ne s’étaient pas égarés.
Quand il faudra payer leur dû aux maîtres chanteurs, Ehrard engagera en 1965 un bras de fer avec la France, gagné par de Gaulle au terme de six mois de «chaise vide » dans les instances européennes à propos du plan Hallstein. Baptisé du nom du président de la CEE, ancien officier nazi, ce plan prévoyait que les décisions communautaires seraient prises désormais à la majorité et non plus à l’unanimité. Une exigence américaine pour isoler la France.
Quant à Kiesinger, à la demande de Washington, il fera voter par l’Europunie, le 17 octobre 1967, une motion condamnant la politique européenne de la France et sa décision de quitter le commandement intégré de l’Otan. Une motion rédigée contre son pays par le traître Jean Monnet, banquier international, que Kiesinger viendra féliciter ostensiblement pour sa bassesse. Une image symbolique expurgée plus tard de la légende de l’amitié franco-allemande.
Monnet le financier était un personnage ambigu, dont le rôle trouble et le double jeu dans les années 40 n’ont jamais été totalement élucidés. Ainsi, envoyé par Roosevelt à Alger en 1943 pour soutenir le général Giraud, rival de De Gaulle, il prend la tête de l’administration française et se comporte comme un proconsul de l’empire US.
Des amis qui ne vous veulent que du mal
Le 22 janvier 1963, de Gaulle et Adenauer signent le traité de l’Élysée. Un acte symbolique supposé éteindre les dernières escarbilles de la guerre. Mais quelle valeur lui accorder quand on sait que le Boche est non seulement le plus solide allié des Américains. Mais aussi leur cheval de Troie au sein de l’Europunie.
Il prépare la future Europe supranationale mise sur ses rails par le financier Jean Monnet et le collabo Robert Schuman, avec le soutien de Washington. Mais aussi avec la bénédiction de Pie XII le pape qui rechignait à condamner Hitler. Et ensuite, a usé de son influence auprès des dictateurs chrétiens d’Amérique latine, pour favoriser l’exfiltration des nazis les plus compromis.
Ce pape qui se croyait revenu au Moyen Âge quand le Vatican était faiseur de rois, avait publié dans L’Osservatore romano, l’organe officiel de la papauté, un article enjoignant aux catholiques français de ne pas voter pour le RPF du général de Gaulle, aux élections législatives de 1951 et après.
De Gaulle était l’homme à abattre pour ces eurotocrates, pour s’être opposé en 1950, à la CECA (Communauté européenne du Charbon et de l’Acier) et fait échouer la CED (Communauté européenne de Défense) en 1954.
Les Boches n’ont jamais été nos amis, ils ont toujours cherché des manigances pour nous nuire quand ils ne pouvaient pas nous écraser militairement. Et aujourd’hui plus qu’hier avec la Von der Leyen qui n’a aucune légitimité démocratique (Adolf avait eu au moins la décence de se faire élire !).
Les Boches se croient toujours meilleurs que nous, et infiniment supérieurs aux Slaves, alors que leur pays déliquescent est devenu une province turque. Où Erdoğan intervient dans les élections, prélève des taxes, ouvre des mosquées à minarets et haut-parleurs pour les appels à la prière, fait pression sur l’administration et la justice pour que ses coreligionnaires bénéficient de traitements de faveur, assassine ses opposants et rackette les Européens en menaçant de laisser passer tous les migrants massés aux frontières.
Christian Navis
Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)
Parmi les plus tristement célèbres, le général Hans Speidel, commandant en chef des troupes d’occupation en France, un officier d’une rare efficacité pour éliminer les Résistants dans les années 1940.
Récupéré par l’Allemagne fédérale en conservant son grade, au prétexte qu’il aurait participé à la tentative d’assassinat contre Hitler. Mais, très curieusement, alors que tous les suspects furent éliminés, le führer se contenta de lui faire une petite remontrance. Par la suite, Speidel devint Commandant des forces Centre Europe de l’OTAN de 1957 à 1963.
Son successeur, le général Adolf Heusinger, fut en 1941 un des concepteurs de l’opération d’invasion de l’URSS. La guerre éclair prévoyait d’éliminer, dans un premier temps, 30 millions de « sous-hommes » slaves. Une préméditation que les eurotocrates d’aujourd’hui évoquent, uniquement entre eux, avec une certaine nostalgie.
En 1942, la Gestapo et les SS de l’Est furent placés sous le commandement de Heusinger qui prétendra avoir tout ignoré des massacres. Les exécuteurs des basses œuvres seront condamnés par le Tribunal international militaire pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, et pendus.
Heusinger, « oublié » par les Alliés qui refuseront de le livrer à l’URSS, occupera le poste le plus élevé de la hiérarchie militaire de l’Allemagne fédérale. Avant de devenir à Washington, en 1963, le chef suprême de l’OTAN (NATO) pour l’ensemble des pays membres.
Comme il est impensable que les chasseurs de nazis aient ignoré le CV de ces individus, il est permis de se demander ce que les Américains leur ont offert en contrepartie pour qu’ils regardent ailleurs.
Les Boches ne saluent plus bras tendu, mais dans leurs têtes c’est toujours Sieg Heil !
Bellicistes, agressifs, arrogants, intraitables. Seuls des niais ont pu croire à la propagande vantant l’amitié franco-allemande. Rien n’a changé dans leur mentalité depuis le führer. De hauts dignitaires nazis ont occupé des postes de premier plan dans les institutions de l’Eurocrature. Et ceux qui leur ont succédé rêvent à leur tour d’une revanche sur la défaite de 1945. En écrasant les Russes pour les dépouiller de leurs fabuleuses ressources naturelles.
Il ne faut pas oublier que l’Eurocrature a été portée sur les fronts baptismaux par l’ancien officier SS Walter Hallstein et le collabo Robert Schuman qui fut ministre de Pétain. Condamnés l’un et l’autre pour leur passé, ils furent rapidement graciés cas ils pouvaient encore servir.
Né en 1901, maigrelet, effacé, peu représentatif de la « race des seigneurs », Hallstein fut un théoricien racialiste, coauteur des premières lois anti-juives. Avant de devenir de 1958 à 1967 le premier président de l’Europe soi-disant unie.
Grâce aux dossiers compromettants qu’ils avaient récupérés, les USA disposaient d’un moyen de pression imparable pour leur tordre les bras (en restant poli). De même qu’avec les chanceliers au lourd passé nazi qui succédèrent à Adenauer, un personnage assez médiocre, mais c’était le seul Boche présentable qu’on ait pu trouver. Anti-hitlérien. Mais pas forcément antisémite. Doutant de ses bonnes intentions, le 27 mars 1952, des anciens de l’Irgoun avaient tenté de lui faire la peau.
La supercherie de l’amitié franco-allemande
Après avoir été démis de ses fonctions par les Anglais qui le jugeaient incompétent, Adenauer est imposé à la tête de la chancellerie par les Amerloques en 1949. Terne fonctionnaire né en 1876, et politicien de seconde zone, il a bouffé à toutes les gamelles, sauf à la table d’Adolf. Qu’il prenait à juste titre pour un malade mental inculte. Préfigurant Macron ?
Adenauer est le pantin de la Maison-Blanche et de la CIA. Il a 73 ans quand il accède au pouvoir, et presque 88 quand il le quitte. Comme Pétain à un an près. Je ne vais pas médire des vieux schnoques. Mais, honnêtement, force est de reconnaître que, même bien conservé, même en bonne santé, même si on n’est pas sénile comme Biden, on n’a plus le même potentiel intellectuel qu’avant. Ni le même dynamisme. Ni la même résistance au stress. Mais bon, Adenauer était le seul item montrable que les Boches avaient en vitrine.
Atlantiste jusqu’au bout des ongles (on ne lui a guère laissé le choix) il n’aura de cesse de rouler dans la farine les Français naïfs qui croient à une réconciliation. Irréaliste et impossible. À moins d’accepter d’être des « untermentchen » (sous-hommes) au service des seigneurs germaniques… Même rhétorique qu’avec les mahométans. Ils veulent bien faire la paix à condition qu’on soit leurs dhimmis.
Les successeurs d’Adenauer étaient des anciens nazis au service de la CIA
À la fin de la guerre, l’OSS, ancêtre de la CIA, ne pouvait ignorer leur pedigree. Mais en 1963, quand Konrad prend enfin sa retraite, il est temps de pardonner aux hiérarques nazis qui ont « miraculeusement» échappé à la potence.
Ceux-là ont plus d’envergure que le vieillard poussé dehors, et ils ne tiennent pas à ce que leur passé soit révélé. Puisqu’ils sont censés représenter la «nouvelle Allemagne » épurée des miasmes d’antan. Qui a fait acte de contrition et demandé pardon pour ses crimes avec la franchise des faux jetons.
Ludwig Erhard qui ne restera que 14 mois à la chancellerie fut, de 1943 à 1945, l’adjoint du général SS Otto Olhendorf, secrétaire d’État à l’Économie du Reich et, à ce titre, responsable de la déportation de centaines de milliers de travailleurs forcés dans les usines de la mort.
Olhendorf sera pendu en 1951, pour avoir organisé en 1941-1942, en Ukraine des dizaines de milliers d’exécutions sommaires de civils. Avec le concours des Ukronazis de Stepan Bandera qui désignaient les cibles, juifs et communistes. Et ce bon monsieur Erhard, qui portait le cartable du général, ne voulait pas porter le chapeau. On comprend qu’il ait préféré prendre la tangente avant que le scandale l’éclabousse quand ses rivaux en politique ont retrouvé la mémoire.
Son successeur Kurt Georg Kiesinger chancelier de 1967 à 1971 avait lui aussi beaucoup à se faire pardonner… Membre actif du parti nazi dès 1933, il a été ensuite l’adjoint de Goebbels en tant que directeur de la propagande radiophonique… Il est même venu en France « aryaniser », au profit des collabos, des stations comme Radio Cité, Radio Monte Carlo ou Radio Andorre.
Lui aussi, comme tous les seconds couteaux jugés « récupérables » par les Ricains, il sera remis en liberté après un bref séjour en prison et jamais jugé.
Mais toute cette mansuétude impliquait des contreparties
Toutes les dossiers mijotaient à Washington dans les archives des procès en dénazification. Les preuves et témoignages ne s’étaient pas égarés.
Quand il faudra payer leur dû aux maîtres chanteurs, Ehrard engagera en 1965 un bras de fer avec la France, gagné par de Gaulle au terme de six mois de «chaise vide » dans les instances européennes à propos du plan Hallstein. Baptisé du nom du président de la CEE, ancien officier nazi, ce plan prévoyait que les décisions communautaires seraient prises désormais à la majorité et non plus à l’unanimité. Une exigence américaine pour isoler la France.
Quant à Kiesinger, à la demande de Washington, il fera voter par l’Europunie, le 17 octobre 1967, une motion condamnant la politique européenne de la France et sa décision de quitter le commandement intégré de l’Otan. Une motion rédigée contre son pays par le traître Jean Monnet, banquier international, que Kiesinger viendra féliciter ostensiblement pour sa bassesse. Une image symbolique expurgée plus tard de la légende de l’amitié franco-allemande.
Monnet le financier était un personnage ambigu, dont le rôle trouble et le double jeu dans les années 40 n’ont jamais été totalement élucidés. Ainsi, envoyé par Roosevelt à Alger en 1943 pour soutenir le général Giraud, rival de De Gaulle, il prend la tête de l’administration française et se comporte comme un proconsul de l’empire US.
Des amis qui ne vous veulent que du mal
Le 22 janvier 1963, de Gaulle et Adenauer signent le traité de l’Élysée. Un acte symbolique supposé éteindre les dernières escarbilles de la guerre. Mais quelle valeur lui accorder quand on sait que le Boche est non seulement le plus solide allié des Américains. Mais aussi leur cheval de Troie au sein de l’Europunie.
Il prépare la future Europe supranationale mise sur ses rails par le financier Jean Monnet et le collabo Robert Schuman, avec le soutien de Washington. Mais aussi avec la bénédiction de Pie XII le pape qui rechignait à condamner Hitler. Et ensuite, a usé de son influence auprès des dictateurs chrétiens d’Amérique latine, pour favoriser l’exfiltration des nazis les plus compromis.
Ce pape qui se croyait revenu au Moyen Âge quand le Vatican était faiseur de rois, avait publié dans L’Osservatore romano, l’organe officiel de la papauté, un article enjoignant aux catholiques français de ne pas voter pour le RPF du général de Gaulle, aux élections législatives de 1951 et après.
De Gaulle était l’homme à abattre pour ces eurotocrates, pour s’être opposé en 1950, à la CECA (Communauté européenne du Charbon et de l’Acier) et fait échouer la CED (Communauté européenne de Défense) en 1954.
Les Boches n’ont jamais été nos amis, ils ont toujours cherché des manigances pour nous nuire quand ils ne pouvaient pas nous écraser militairement. Et aujourd’hui plus qu’hier avec la Von der Leyen qui n’a aucune légitimité démocratique (Adolf avait eu au moins la décence de se faire élire !).
Les Boches se croient toujours meilleurs que nous, et infiniment supérieurs aux Slaves, alors que leur pays déliquescent est devenu une province turque. Où Erdoğan intervient dans les élections, prélève des taxes, ouvre des mosquées à minarets et haut-parleurs pour les appels à la prière, fait pression sur l’administration et la justice pour que ses coreligionnaires bénéficient de traitements de faveur, assassine ses opposants et rackette les Européens en menaçant de laisser passer tous les migrants massés aux frontières.
Christian Navis
Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)