COMMUNIQUE DE LA COORDINATION PARTOUT CALLAC
Samedi 25 et dimanche 26 novembre 2023, deux manifestations ont eu lieu à Romans-sur-Isère organisées par ce que les médias et les bien-pensants appellent « l’ultra-droite », qui sont en réalité de jeunes patriotes.
La première a réuni une centaine de personnes, la seconde - le dimanche - une trentaine. Leur objet était simple : protester contre l’odieux assassinat raciste de Thomas, à coups de couteau, par des racailles de cité.
De très nombreux hommes politiques, la totalité de la « gauche », la plupart des médias et des bien pensants ont eu toutes les peines du monde à reconnaître la réalité des faits. Certains continuent à la nier.
Les uns ont parlé de « rixe ». Les autres de « bagarre » alors qu’il s’agissait pourtant très clairement d’un assassinat raciste. Les auteurs étant arrivés en criant « on va planter des blancs » ! Et c’est d’ailleurs ce qu’ils ont fait. Bilan : 1 mort et 17 blessés.
Leur forfaiture faite, les auteurs ont pris la fuite. Qualifiés de « Français, vivant en centre ville » par les autorités, ils ont été arrêtés à côté de Toulouse avec l’aide de 50 hommes du GIGN. Quel déploiement de force pour… des « Français » ordinaires.
En fait ces « Français de papier » étaient en route pour l’Espagne, direction le bled au Maghreb afin de s’y cacher.
Pendant des jours, le procureur et les autorités ont refusé de donner les prénoms et les noms des auteurs.
Peine perdue, tout le monde avait compris.
L’indignation est immense en France. La population est révulsée par cet acte odieux et barbare.
Pourquoi aucune star du show-biz n’a-t-elle jugé utile de s’indigner et de le dire ?
Pourquoi M’Bappé n’a-t-il pas dit qu’un « petit ange nous a quittés » ?
Pour Antoine Dupont et la FFR ont mis plus d’une semaine à réagir alors que Thomas était un rugbyman, capitaine de son équipe ?
Pourquoi n’y a-t-il pas eu une minute de silence à l’assemblée nationale, alors que la racaille Nahel y a eu droit ?
Pourquoi cette insupportable volonté des autorités de cacher les faits, les auteurs et les raisons de cette ignominie ?
C’est contre tout cela que des jeunes patriotes ont décidé de manifester à Romans-sur-Isère les 25 et 26 novembre.
Ils n’ont rien cassé. Ils n’ont blessé personne. Ils ont simplement exprimé leur colère et leur dégoût devant ces faits.
En réponse, le pouvoir leur a envoyé l’élite des forces anti-émeutes : la CRS 8. Et comme si cela ne suffisait pas, de manière absolument symbolique, les racailles locales qui ont tué Thomas, ont également agressé les jeunes manifestants.
L’un d’eux a été gravement blessé, après avoir été humilié - obligé de se dénuder - avant d’être passé à tabac. Sa voiture a été incendiée. Il est à l’hôpital.
Mais pour les autorités, la plupart des médias et toute la gauche, ce sont ces jeunes patriotes qui doivent être dénoncés comme étant des « bandes ultra-violentes d’extrême droite ».
Il ne semble être venu à l’idée d’aucun de leurs accusateurs que ceux qui avaient tué, ce n’était pas eux, mais les racailles locales.
Il ne semble être venu à l’idée de personne que leur manifestation s’est faite sans aucun dégât, contrairement à toutes celles durant lesquelles les black-blocs en ont fait tant (Réforme des retraites) tout en blessant des policiers... en toute impunité.
Il ne semble être venu à l’esprit d’aucun de leurs dénonciateurs que défendre son pays et sa population n’est ni crime ni un délit.
Pourtant, une vingtaine ont été arrêtés. Et 17 mis en garde à vue. Le lendemain, 6 d’entre eux sont passés au tribunal.
Une avalanche d’injures s’est abattue sur eux en provenance d’hommes politiques, de médias bien pensants et de la « gauche ».
La mansuétude coupable des juges lorsqu’il s’agit de « migrants », même auteurs de coups de couteaux, ne s’est pas exprimée.
C’est l’inverse qu’on a constaté : une justice impitoyable. Condamnation de 6 à 10 mois de prison avec incarcération immédiate.
En totale contradiction, ce jour s’est ouvert à Niort le procès des organisateurs de la manifestation contre « les bassines » qui a fait d’innombrables dégâts et plus de 50 blessés parmi les forces de l’ordre. Pour cela, ils risquent au maximum... 6 mois de prison.
Un « deux poids – deux mesures » insupportable qui discrédite totalement les juges qui ont prononcé ces sanctions et le pouvoir.
La Coordination Partout Callac condamne totalement cette justice partiale et à l’évidence totalement politique.
Ces jeunes patriotes avaient parfaitement le droit de manifester contre le crime raciste commis à Crépol par les racailles de la cité de « La Monnaie », d’autant qu’ils ont manifesté sans violence ni dégât.
Leur condamnation et leur emprisonnement est une décision honteusement arbitraire et totalement injuste.
La Coordination Partout Callac exige leur libération immédiate et sans condition !
Le 28 novembre 2023
Bernard Germain
Porte-parole de la Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr)
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