Alors qu’Emmanuel Macron va célébrer publiquement la liberté garantie du meurtre de l’enfant à naître dans la Constitution, le président argentin Javier Milei a déclaré dans un discours mercredi 6 mars devant des collégiens et des lycéens que l’avortement est un «meurtre» et les partisans de sa légalisation des «assassins».
«Je peux vous le prouver d’un point de vue mathématique, philosophique et libéral».
En Argentine, la loi sur l’avortement a été adoptée en décembre 2020 et mise à l’œuvre en janvier 2021 après un débat agité. Elle prévoit la possibilité d’avorter jusqu’à 14 semaines de grossesse sans avoir à en expliquer les raisons.