Depuis quatre mois, plusieurs femmes ayant subi un avortement ont été réunies par l’ECLJ. Elles sont allées à la rencontre de parlementaires français pour lever un tabou : la souffrance après l’avortement. Et espèrent obtenir des avancées législatives. Valeurs Actuelles tente de lever ce tabou :
« L’infirmière m’a dit que ce n’était pas un fœtus mais un amas de cellules, avant de le jeter à la poubelle. » Ce mercredi 22 mai, cinq femmes sont venues livrer leurs témoignages bouleversants. Elles ont été réunies par l’ECLJ (European Center for Law and Justice), pour pouvoir livrer leur expérience traumatique auprès d’une dizaine de parlementaires français, de tous bords politiques, qui ont accepté de les rencontrer. Leur objectif est triple : protéger les femmes de l’avortement contraint, faire reconnaître les violences psychologiques de l’IVG et mieux informer sur les alternatives à cette procédure. Leur détermination n’a pas été entamée par la constitutionnalisation de l’IVG le 4 mars 2024. Elle a même été renforcée par leur volonté de briser un tabou, celui de la douleur émotionnelle que provoque un avortement […]
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