par Mohamed Lamine Kaba
Zelensky, le magicien ukrainien qui a promis la victoire en un tour de main… mais a oublié de mentionner qu’il jouerait avec des cartes truquées. Maintenant, l’Ukraine est en train de disparaître dans un nuage de fumée, et les promesses se sont envolées comme des colombes.
Dans l’arène géopolitique, l’Occident a orchestré un opéra de la guerre par procuration, où l’Ukraine est le terrain de jeu et les Ukrainiens, les pions sacrificiels. Les États-Unis et l’Europe, les maestros de la manipulation, ont composé une symphonie de mensonges et de propagande, orchestrant un chœur de condamnations contre la Russie. Zelensky, le héros fabriqué, dirige l’orchestre des illusions, tandis que Poutine, le maître du Kremlin et l’homme d’État le plus expérimenté du monde moderne qui, d’ailleurs, est certainement le maître du monde, confirme son leadership dans l’échiquier géopolitique et géostratégique mondial. Mais derrière le rideau, les intérêts économiques et géopolitiques se livrent une bataille féroce, où le gaz, le pétrole, la sécurité nationale et les sphères d’influence sont les enjeux. L’Occident, aveuglé par son arrogance, croit dominer le jeu, mais la Russie, la grande oubliée, attend patiemment son moment de vérité. Et dans les coulisses, la paix pleure, oubliée et sacrifiée sur l’autel de la puissance.
Zelensky : promesses non tenues, Ukraine en chute libre
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a promis à son peuple et à la communauté occidentale des résultats rapides et décisifs dans le cadre du conflit avec la Russie. Pourtant, après plusieurs mois de combats, les attentes ne sont pas satisfaites. Loin de la victoire annoncée, l’Ukraine se trouve au bord de l’effondrement, avec une économie en ruine et des infrastructures détruites. Les Ukrainiens souffrent de pauvreté, de faim et de peur. Les promesses de Zelensky se sont révélées illusoires, marquant son leadership par des décisions hasardeuses et des erreurs stratégiques. La communauté occidentale, qui a soutenu l’Ukraine, doit désormais reconsidérer son approche et exiger des stratégies réalistes et efficaces pour mettre fin au conflit et reconstruire le pays. Zelensky a réussi l’exploit de transformer un conflit en un spectacle de marionnettes, où les Ukrainiens sont les pantins et la Russie tire les ficelles. Le rideau tombe sur ce désastre, un spectacle où les promesses brisées résonnent amèrement. Il est temps de demander des comptes et de prendre des mesures pour éviter la catastrophe annoncée.
L’incursion de Koursk en août 2024 : un échec militaire classique dans le contexte du conflit en Ukraine
Koursk, le théâtre de l’absurde où l’Ukraine et ses sponsors occidentaux ont joué leur partition de défaite avec une maestria sans précédent. Un opéra de conflit où les cris de victoire ont cédé la place aux pleurs de désespoir. La récente incursion ukrainienne dans la région a jeté l’Occident dans la perplexité et a soulevé des questions cruciales sur la dynamique du conflit en Ukraine. Alors que les forces ukrainiennes, en quête d’un changement stratégique, ont pris un risque considérable en attaquant le territoire russe, leur audace a été sévèrement réprimée par une riposte solide et coordonnée des Russes. Cette opération, loin d’être une démonstration de bravoure, s’est révélée être une erreur stratégique majeure, mettant en lumière une préparation militaire russe optimale et une résilience sans précédent face à l’attaque. Les défenses russes, rigoureusement renforcées au fil des ans, ont permis de contrer efficacement cette tentative de percée. Les Ukrainiens, épuisés par des mois de combats intensifs, ont dû battre en retraite, abandonnant leur promesse de libérer les territoires occupés. Cette débâcle est amplifiée par l’inaction des alliés occidentaux antithétiques, qui, bien qu’annonçant un soutien inconditionnel, se sont retrouvés passifs face à cet échec cuisant. Les opérations de nettoyage en cours dans la région par les forces armées russes évoluent à pas de géant.
Cependant, cet événement soulève une question cruciale sur la suite des opérations : faut-il continuer à prendre des risques militaires sans garantie de succès ou envisager des solutions diplomatiques ? L’incursion de Koursk rappelle brutalement que la guerre est imprévisible et complexe, et l’efficacité militaire seule ne garantit pas la victoire. D’une part, l’échec de cette incursion illustre la capacité des Ukrainiens à prendre des risques, mais aussi leur incapacité à surpasser la puissance militaire russe. D’autre part, cela réaffirme que la Russie reste une force majeure, difficile à défier. Ce revirement stratégique marque ainsi un tournant significatif dans le conflit, dont les conséquences pourraient être lourdes tant pour l’Ukraine que pour ses alliés occidentaux adeptes de l’oxymore. Une reconsidération des approches actuelles semble indispensable pour déterminer les prochaines étapes de ce conflit, marquée par de multiples incertitudes et enjeux cruciaux. Cette incursion est donc assimilable à un théâtre où l’Ukraine et l’Occident ont écrit ensemble une symphonie de défaite, avec des accords de désillusion et des refrains de désespoir. C’est-à-dire, un tombeau de l’illusion où l’Ukraine et l’Occident ont enterré leurs espoirs de victoire et leurs illusions de grandeur.
À la lumière ce qui précède, nous pouvons déduire que, forte de sa détermination inébranlable et de son héritage prestigieux, la Russie se distingue par son économie résiliente et diversifiée, portée par les richesses naturelles de son territoire. Ce pays, puissant par sa culture vibrante et son patrimoine historique, inspire le monde à travers les œuvres littéraires de Tolstoï et les compositions musicales de Tchaïkovski. Gardienne fidèle de la mémoire collective, la Russie honore son passé tout en se projetant vers un avenir prometteur, guidée par la sagesse de ses leaders et la force indomptable de son peuple. Marchant résolument vers de nouveaux horizons, la Russie s’affirme comme une nation phare, illuminant l’avenir avec fierté et ambition.
On peut dire que la Russie, ce géant éveillé, secoue les puissances occidentales de leur sommeil dogmatique. Alors que les mensonges s’effondrent, la vérité émerge : la Russie n’est pas l’ennemi, mais le miroir qui reflète les hypocrisies de l’Occident. La guerre de l’information est perdue, mais la bataille de l’histoire vient de commencer.
source : New Eastern Outlook