Une indiscrétion nous apprend que la délicieuse Candace prépare sa riposte, non seulement avec l’équipe d’un ténor du barreau, mais aussi avec des psychiatres assermentés. Afin de contrer Tom Clare le somptueux défenseur des stars de la politique et du spectacle, aux honoraires astronomiques. Dont on peut se demander qui va les payer ?
Leur stratégie serait d’ouvrir le bal en souleveant l’exception d’irrecevabilité. Depuis plus de 50 ans, Brichel change de peau comme un caméléon. Avec un culot éhonté certes, mais troublée par la peur panique d’être découverte. Induisant un stress permanent. Et des comportements désordonnés et délirants. Ce qui la rendrait inapte à ester aux USA, puisqu’on ne peut se retourner contre un irresponsable par une riposte reconventionnelle, fréquente là-bas.
Les experts pourraient arguer de la mythomanie, trouble compulsif de la personnalité quand l’affabulateur dépassé par ses propres mensonges, ne sait plus où est la réalité et frôle la schizophrénie. Associée au trouble dissociatif de l’identité, ou névrose des identités multiples, quand le sujet ne sait plus qui il est, perdu entre rêveries éveillées et pensée magique.
À ces considérations de procédure, s’ajoutera l’exception de vérité admise quasiment sans limites par les juridictions américaines, supervisées par les cours supérieures des États et la Cour Suprême.
La liberté absolue de preuves est permise. Premier amendement oblige. Preuves matérielles comme la demande d’une analyse ADN de la plaignante. Ou la comparution physique de l’invisible frère chocolatier. Preuves indirectes comme le refus de présenter des documents officiels et des photos de famille de Brichel jeune, puis enceinte. Enfin « indices probants au delà de tout doute raisonnable » un concept ignoré du droit français mais largement utilisé là-bas. Quand on a du répondant.
Et Candace ne s’embarque pas sans biscuits. Elle a longuement travaillé avec Xavier Poussard, le nouveau patron de « Faits et documents », un mensuel spécialisé dans l’analyse des réseaux d’influences, des dérives des médias serviles, et des actions inavouables des barbouzes.
Une épine dans le pied du pouvoir qui n’a jamais réussi à les faire condamner, peut-être parce que ses promoteurs en savent un peu trop sur le CV de certaines personnes. Espérons qu’on ne suicidera pas Poussard avant le procès, comme Éric Denécé qui détenait beaucoup d’informations sensibles sur les hommes de l’ombre.
Les éléments factuels de sa mythomanie sont apparus bien avant que l’enseignante quadragénaire se tape un gamin de 14 ans
Ses hagiographes en ont fait une agrégée de lettres. Pour expliquer son entrée dans le système éducatif. Mais on ne trouve trace nulle part de sa réussite au concours. Comment a-t-elle été recrutée ?
Changeant leur fusil d’épaule, ses biographes l’ont déclarée prof de théâtre. À part que les enseignants dans cette discipline sont généralement des acteurs expérimentés qui ont brûlé les planches. Simple question de crédibilité. Sans répondre à la question : comment a-t-elle été engagée ? Banale contractuelle, chargée d’animation scolaire ?
On ne trouve nulle trace d’une Brigitte Trogneux ou Auzière à l’affiche des théâtres, même régionaux, même itinérants, dans les années 1970-80 avant que naisse sa romance avec un garnement détraqué. D’aucuns suggèrent qu’il faudrait chercher dans les cabarets transformistes. Mais les artistes qui s’y produisent le font sous pseudo. On ne retrouverait pas de traces, cinquante ans après. Quand à la commission rogatoire pour détournement de mineur avec abus sexuels, il y a prescription.
La saga Brichel maintes fois évoquée sur RL, a été décortiquée dans le dossier exhaustif des cyber-enquêtrices Natacha Rey et Delphine Jégousse, que la cour d’appel de Paris a fini par relaxer.
Du faux mari sur un cliché truqué au faux mariage, en passant par les actes d’état civil introuvables, avec les photos improbables d’une famille tuyau de poêle et les études anthropologiques des éléments masculins de sa morphologie, rien ne manque.
Pas plus que les empreintes vocales de « Brigitte » déjà en quête de célébrité, après sa transformation. Que l’INA a été obligé de retirer de ses archives après 45 ans de sommeil quand on s’y est intéressé. Sans oublier les pressions inouïes, administratives, fiscales et policières, exercées sur les rares journalistes libres, pour qu’ils changent de sujet.
Tout cela pourrait attiser la curiosité des juges américains, et inciter la défense à demander des éléments de preuves complémentaires que les Trognon Macreux seraient bien en peine de présenter.
Il y a trois pièges auxquels les Macronescu n’ont pas pensé, imaginant sans doute que la justice américaine fonctionnait comme en France.
Selon le très british et sérieux Financial Times, le duo qui fait honte à la France, aurait engagé des détectives afin d’enquêter sur les liens entre Candace Owens et l’entourage de Trump, ainsi qu’avec le Kremlin et l’extrême drouâte française. Ils ratissent large, trahissant un début de panique chez ces imposteurs qui risquent d’être démasqués.
Mais le vénérable quotidien financier ne répond pas à la question : Qui paye les limiers au service des Macronescu ? Des détectives privés ? On parle de Nardello & Co, une société internationale d’espionnage privé. Ils lui ont demandé de compiler les déclarations publiques de l’Américaine et de fouiller son passé. Mais qui va les payer ?
L’Élysée ? Ce serait un détournement de fonds publics. Une mission contractuelle auprès du ministère de l’intérieur ? Ce serait un abus de service public. Fripounette avec les sous qu’il a planqués dans un paradis fiscal ? Ce serait du blanchiment d’argent frauduleux.
En outre, le despote élyséen a demandé à Donald Trump d’intervenir dans son procès. En faisant pression sur le juge et le procureur tous deux élus ! Au moment où le POTUS fustige la France, le Royaume Uni et l’Allemagne pour leurs atteintes aux libertés fondamentales.
Enfin, dernière faute qui pourrait faire capoter les Macronescu, ils ont ignoré que l’éthique des barreaux américains n’est pas une simple clause de style. De fameux juristes ont dû renoncer à défendre des clients, autocrates véreux du tiers monde qui avaient volé l’argent de leur peuple. Parce que le fait d’accepter des honoraires d’origine crapuleuse en toute connaissance de cause, aurait pu entraîner leur radiation.
Proclamer ses certitudes devant des médias complaisants ne suffit pas, il faut arriver à la barre avec des arguments solides.
Les Macronescu glapissent, comme des renards pris au piège, que les accusations de Candace sont extravagantes et diffamatoires. Mais ils refusent d’y répondre autrement que par des dénégations et des imprécations dont se délecte leur presse de caniveau ancillaire.
Ils prétendent défendre leur « honneur » un mot qui ne figure pas à leur vocabulaire et dont ils semblent ignorer le sens, comme s’il y avait une honte à être homosexuel ou transsexuel. Alors que jusqu’à présent, la fréquentation ostensible des gays et des trans, lors de leurs voyages, ou invités à des fiestas à l’Élysée, ne leur posait aucun problème.
Leur motivation est le pognon. Comme des vieux truands rêvent d’un dernier coup d’éclat avant de se ranger des voitures, le couple cupide réclame au moins 50 millions de dollars de dédommagement. Sur lesquels leur bavard prendra la moitié, mais ça leur laisserait quand même un joli pourboire.
Toutes ces menaces ne semblent pas effrayer Candace qui a un dossier solide et connaît le fonctionnement de la justice américaine, allergique aux gros mensonges assénés avec trop de culot :
« Le monde entier a vu Brigitte agresser physiquement Emmanuel dans l’avion, et l’Élysée a d’abord nié l’agression télévisée, en l’attribuant à de la désinformation russe (…) Entre les avocats, les équipes de relations publiques et les enquêteurs, le couple dépense des sommes considérables pour faire taire la paranoïa liée à leur passé (…) Brigitte présente tous les signes d’une maladie mentale, ce qui sape gravement la fonction occupée par son mari. »
Christian Navis
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https://ripostelaique.com/candace-owens-contre-attaque-et-ca-pourrait-faire-tres-mal-a-brichel.html