Pierre Cassen,
fondateur de Riposte laïque cliquez ici
Notre ami Boualem Sansal a été arrêté par la police algérienne, ce 16 novembre, et depuis, plus de nouvelles de lui.Bien sûr, ce jour, nous lui consacrons deux articles et encourageons, en attendant mieux, nos lecteurs à protester auprès de l’ambassade d’Algérie.
50, rue de Lisbonne, 75008 Paris ( +33 1 53 93 20 20, +33 1 53 93 20 69, chancellerie@amb-algerie.fr)
Site de l'ambassade d'Algérie cliquez ici
Nous sommes obligés de constater que, dans les démocraties occidentales, tous ceux qui osent alerter sur l’islamisation de leur pays subissent des tracas. Quelques exemples tout récents. Hier, je vous informais de la situation de cet enseignant condamné à 4 mois de prison avec sursis par le tribunal de Lyon pour avoir collé des affiches s’interrogeant, vus certains textes du Coran, sur la compatibilité de l’islam avec nos valeurs ! J’expliquais que c’était un verdict digne d’un tribunal islamique.
Hier encore, Christine Tasin, ma compagne, a été condamnée lourdement par la Cour d’Appel de Paris. Hier encore, le député suisse UDC Andreas Glarner a vu la levée de son immunité parlementaire votée, parce que, suite à une nouvelle attaque au couteau en Allemagne, il s’interrogeait, lui aussi, sur le lien entre l’islam et ces agressions. Hier encore, un ancien soldat britannique s’est retrouvé en taule pour avoir posté sur Facebook des messages informant de l’inévitable guerre civile qui se préparait en Angleterre, à cause des islamistes. Au gnouf ! cliquez ici
Et Tommy Robinson est lui aussi toujours en prison, chez les rosbifs. Tiens, ils vont passer son film pour la première fois, en Vendée, la semaine prochaine. cliquez là
Quant à moi, je suis harcelé depuis plusieurs semaines par un juge qui veut absolument m’auditionner sur un dossier où j’ai déjà répondu aux gendarmes, et sur lequel je n’ai absolument rien à voir. Je communiquerai plus tard plus précisément, mais je crains un coup tordu.
Bref, plus les islamistes tuent, et plus les collabos persécutent les résistants. Une grande classique, hélas…