Il faut commencer par supprimer les machins inutiles, qui servent souvent à créer des fonctionnaires inutiles et des chefs grassement rémunérés, mais pour lesquels personne ne descendra dans la rue.
– Le Conseil Economique et Social, un nid de wokistes et d’incompétents grassement rémunérés.
– Les sous-préfectures : qui ne servent plus à rien et les régions, dont on s’est passé très longtemps sans problème et qui illustrent le mille feuilles administratif coûteux.
– Toutes les commissions et comités Theodule et des centaines d’agences, dont jamais aucune évaluation n’est faite et qui globalement, ne servent qu’à rémunérer des amis.
– Mettre un moratoire à toutes les aides de l’Etat aux associations et particulièrement aux associations d’aide aux migrants et de lutte contre la violence ou le racisme dans le quartiers.
– Supprimer l’inspection Générale de l’Education nationale, dont l’incompétence se lit dans l’état de l’Ecole. Confier la responsabilité des profs aux proviseurs.
– Supprimer toutes les banques de France en Province, qui ne servent plus à rien.
– Supprimer les ARS, réaffecter tous leurs personnels au support administratif des hôpitaux et remettre les personnels au chevet des malades.
– Supprimer tous les voyages d’affaires des fonctionnaires et notes de frais, les remplacer par de la visioconférence. Et quand c’est impossible changer de classe hôtelière et de modèles de voitures.
– Supprimer la moitié des ministères et des secrétariats d’État, par exemple celui de l’agriculture, plus de 20 000 personnes, alors que le nombre d’exploitations ne cesse de baisser.
– Identifier les talents informatiques et les talents tout court présents dans la fonction publique puis les déployer pour organiser l’éviction de tous les cabinets de conseils privés qui nous ont coûté plus de 40 milliards sous l’ère Macron.
– Geler momentanément tous les crédits d’immobilier dans l’état : plus de peinture et de décorations de convenance.
– Fin de l’AME. Les médecins parlent d’un « enjeu de santé publique ». On se demande comment font les autres pays qui n’ont pas d’AME.
– Fin des recours aux cabinets privés de conseil : 40 milliards sous l’ère Macron.
– Fin de la fraude sociale, en informatisant correctement un système qui est volontairement ingérable pour permettre à des « individus » d’avoir plusieurs identités dans plusieurs départements : plusieurs dizaines de milliards.
Premier jet de mesures qui consiste en une rationalisation ordinaire du train de vie de l’État en temps de disette budgétaire.
Mais on peut tranquillement aller plus loin.
– Suppression des subventions à la Transition Ecologique, un argent reposant sur un fantasme écologique et qui consiste principalement en un transfert d’argent public vers des intérêts privés. Des dizaines de milliards.
– Fin de toute aide sociale aux étrangers. Des dizaines de milliards.
– Suppression des niches fiscales et des brèches permettant l’optimisation fiscale.
– Fin des subventions à la presse.
-Révision des trains de vie des anciens ministres et présidents.
– Fin des accords de 1968 qui permettent des largesses avec des individus d’origine algérienne.
– Obligation faite à l’Algérie de reprendre ses ressortissants délinquants, afin de désengorger prisons et tribunaux. S’il le faut : fin des visas et des échanges commerciaux, fin de l’aide au développement, ce pays est indépendant.
Avec l’ensemble de ces quelques mesures, on passe tranquillement la barre des 60 à 100 milliards recherchés, tout en ne provoquant pas de désordre sociaux. Les gens sont très loin des « machins » étatiques visés et très majoritairement pour la fin de l’immigration arabo-afro-musulmane de masse.