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Des vœux de tromperie aggravée…

Que fallait-il attendre des vœux présidentiels ? Rien. Personne n’a donc été déçu, on se demandait d’ailleurs ce que le président pourrait bien avoir à dire après l’échec de l’ensemble de tout ce qui peut faire une présidence ? Ses vœux ont d’ailleurs été les plus courts de sa carrière. La dissolution n’a pas été une bonne chose, dit-il. Si justement, elle a permis qu’il n’ait plus de majorité et que son pouvoir de nuisance en soit amoindri. Elle a créé de la division parmi les Français ? Comme si les divisions n’étaient pas déjà là, puisque pour toute forme de dialogue et de démocratie, des groupes identifiés, à gauche et très à gauche, ont comme unique méthode, casser, hurler, brûler, intimider… à l’image d’un Delogu, menaçant dans le verbe, d’une Rima Hassan, objet de plaintes pour apologie du terrorisme, ou de groupuscules violents, représentatifs de personne, qui collent leurs mains au bitume ou saccagent des œuvres d’art.

Et Macron d’utiliser sa dernière ficelle, puisqu’il n’a plus de majorité et qu’il sait qu’il n’en retrouvera jamais plus, c’est fini. Il va demander au peuple de trancher, sans toutefois préciser sous quelle forme. On reconnaît bien là toute la duplicité du personnage, qui avait fait remplir des cahiers de doléances pour ne jamais en tenir compte. Mais il ne proposera jamais de référendum sur l’immigration, sur la sortie de la France des machins européens, sur la guerre en Ukraine, sur la réforme des retraites, ou sur tout ce qui fait partie de la doxa européenne et qui n’est pas négociable, quand bien même 90 % des Français seraient contre. On se souvient du référendum sur l’Europe, quand le non populaire est devenu un oui parlementaire. Non, il demandera peut-être et encore, ce n’est même pas sûr, leur avis au Français sur des questions subalternes, comme l’euthanasie et encore, si les sondages montrent que les Français sont de son avis et que tout risque de déroute est écarté. Un non sonnerait comme un désaveu de sa personne et cela est hors de question, on connaît sa propension à ne pas supporter la moindre frustration. En réalité, comme l’écrivent de nombreux commentateurs, l’unique obstacle à toute forme de renouveau est ce président lui-même.

En résumé, il s’est fichu de nous comme toujours et comme on le connaît. Pour les Français, ce seront des vœux de combat et de solidarité. L’ennemi est à l’intérieur, ces pouvoirs successifs qui nous emmènent par les normes et les interdictions en cascade, à une société de contrôle, le djihadisme, qui fait que tout se déroule maintenant dans notre pays, à l’abri de blocs de béton. L’ennemi est aussi à l’extérieur, cette Europe, qui assène les normes et prive petit à petit les nations de toute forme d’indépendance et de souveraineté, jusqu’à régir les résultats des élections, pour tendre elle-aussi, vers une société de contrôle, peut-être même sans élection, sur le modèle chinois, devant lequel ils sont tous en admiration. Pour notre part, ce sera la posture critique et nous appelons tous les Français à la prise de conscience aiguë de ce qui se joue en cette période charnière, à l’issue de laquelle se jouera la liberté retrouvée, ou l’asservissement européen normatif.

Le groupe Telegram du RPF :

Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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