Centre : Susie Wiles
Haut : Kristi Noem, Pam Bondi, Tulsi Gabbart, Linda McMahon
Bas : Brooke Rollins, Lori Chavez, Elise Stefanik, Karoline Leavitt
Le président américain aime les femmes. Pas seulement pour leur charme et leur conversation. Il apprécie autant leur intelligence, leur réalisme, leur aptitude à trouver des solutions concrètes aux problèmes ardus, et nomme les plus brillantes à des postes de hautes responsabilités. Le fait de traîner des casseroles politico-judiciaires extravagantes est un atout dans leur CV.
Sa garde rapprochée compte une dizaine de super women qui ne chôment pas pour rendre sa grandeur à l’Amérique
À la tête de la task force de la Maison blanche, Susie Wiles, cheffe de cabinet, 67 ans. Venue de Floride, elle a fait ses premières armes comme assistante de Ronald Reagan. Elle a supervisé les élections de plusieurs maires et gouverneurs Républicains, qui ont presque tous été élus. Ron de Santis la qualifiait de « meilleure dans son domaine ».
Trump l’a choisie en 2021 comme PDG de Save America PAC, une structure destinée à gérer ses fonds de campagne et à couvrir les frais juridiques des Républicains harcelés par des juges gauchistes. Avant de lui confier en 2023 la direction de sa campagne électorale. Une fois élu, Trump la nomme cheffe de cabinet de la Maison Blanche. Où elle entend remettre de l’ordre dans la pagaille laissée par le fantasque Barack Hussein et le sénile Biden.
Pour faire respecter la loi et l’ordre, trois nanas de choc
La secrétaire d’État à la sécurité intérieure Kristi Noem 53 ans. Ancienne gouverneure du Dakota du Sud, puis députée au Congrès, elle a levé les interdictions de vivre normalement pendant l’épidémie de grippe pangoline. Les électeurs reconnaissants l’ont réélue avec 62% des voix alors que la fois d’avant, elle était passée de justesse.
Trois jours seulement après sa prise de fonction, la nouvelle promue a dirigé en personne des raids visant des gangs d’immigrés illégaux. Gilet pare-balles et flingue en main. Elle ne transige pas sur ses convictions. Elle a lancé des enquêtes dans les administrations contre les fonctionnaires indélicats qui ont persécuté Trump, et en a fait passer au détecteur de mensonge. Par ailleurs, elle est décidée à faire appliquer de peine de mort au niveau fédéral, en panne depuis Gaga Joe.
À la justice, Pamela Bondi, attorney general
Deux fois élue procureure générale de Floride, cette avocate de 59 ans, a fait partie en 2020 de l’équipe des défenseurs de Trump, contre les persécutions judiciaires. L’arme des lâches, des nuls et des pourris, quand ils sont incapables de gagner une élection à la loyale.
Ceux qui, croyaient les tribunaux à leur service au temps du grabataire, s’inquiètent maintenant de la politisation de la Justice qui poursuit l’État de New York pour ses forfaitures. Le président a martelé sa volonté de faire mordre la poussière aux magistrats qui ont confondu le droit et les crapuleries politiciennes. Pam s’y emploie, même si son objectif prioritaire est la lutte contre la criminalité et le rétablissement de la sécurité en Amérique.
Tulsi Gabbard, directrice du renseignement national
La nomination de Tulsi Gabbard, 44 ans, à la tête des 18 services d’espionnage est très critiquée. Les vieux machos s’imaginent qu’une femme lieutenant-colonel de la Garde Nationale ne sera pas à la hauteur. Et les pimprenelles lui reprochent son franc parler. Convaincue que la guerre en Ukraine est la réponse de la Russie aux provocations de l’OTAN, et que la paix est bloquée par un nabot mégalo manipulé par l’Eurocrature. Wikimerdia lui vomit dessus. C’est bon signe.
Son CV est impeccable. Diversité. Jeunesse. Réalisme. Originaire des Samoa, bouddhiste, elle fut à 21 ans, la plus jeune élue de l’archipel de Hawaï. Démocrate, elle a changé de camp, quand le crypto mahométan Hussein Obwana lui a interdit de parler d’islam radical. Après avoir refusé de filtrer les gens en provenance de Syrie et d’Irak. On doit noter qu’après le pogrom du 7 octobre 2023, Tulsi n’a pas mégoté son soutien public à Israël.
À la culture, Linda McMahon
Encore un femme atypique dans l’équipe de Donald. Bien qu’elle soit titulaire d’une licence de langue et culture française la qualifiant pour l’enseignement, Linda 76 ans a préféré diriger des salles de catch. Un sport-spectacle où elle a construit avec son mari un petit empire évalué à un milliard de dollars.
Elle avoue préférer le hommes grands, forts et musclés aux mauviettes. Aux USA, ce n’est pas un défaut. Amie de longue date de Donald Trump, c’est une de ses plus généreuses donatrices. « C’est mieux de savoir à qui on donne son argent plutôt que de le voir disparaître dans le gouffre des impôts, en ignorant où il va ».
Au début du premier mandat de Trump, elle a dirigé la Small Business Administration, une agence fédérale dédiée à la promotion des PME. Faisant la preuve de ses compétences en matière de gestion. À tel point que le Sénat a approuvé sa nomination par 81 voix sur 100, donc avec une partie de celles des Démocrates.
Et à l’agriculture, Brooke Rollins
Avocate originaire du Texas, Brooke Rollins 53 ans œuvre depuis plusieurs années au maintien des valeurs fondatrices de l’Union contre le wokisme et autres délires à la mode, dans différents think tanks dont l’America First Policy Institute qu’elle a fondé avec Linda McMahon.
Lors du premier mandat de Trump, elle dirigeait le Domestic Policy Council qui supervise la politique intérieure. Son ministère s’occupera moins des choux et des carottes que des immigrés clandestins et des délinquants exotiques. Car le secteur agricole emploie de nombreux étrangers en situation irrégulière. Par ailleurs, elle compte soutenir les producteurs et les éleveurs locaux, en sabrant les normes environnementales punitives imposées pour complaire aux écolos.
Lori Chavez ministre du Travail, incarne l’authenticité de l’Amérique qui bosse et respecte les valeurs traditionnelles
Cette Amérique des « cols bleus » prise de haute lutte aux Démocrates, en partie grâce à l’action de James David Vance, et qu’il ne faut pas perdre. Pour cela, Lori Chavez 57 ans, coche toutes les bonnes cases.
Latina, Californienne de naissance, fille de syndicalistes, elle a participé à plusieurs réunions paritaires, se prononçant en faveur des salariés. Maire de la petite ville de Happy Valley dans l’Oregon, puis représentante de cet État au Congrès, discrète et efficace, elle est une républicaine modérée que Trump a découvert tardivement lorsqu’elle a voté une extension des droits des salariés… Bloqués par des Démocrates hypocrites sous la présidence volée de Robinette le tricheur.
Elise Stefanik, l’interface incontournable
Trump envisageait de la nommer ambassadrice à l’ONU. Cela aurait entraîné sa démission de la chambre des représentants où la majorité républicaine est fragile, exposée à des mouvements d’humeur imprévisibles. En novembre 2019, elle a défendu Trump lors de la première tentative de destitution, et sa popularité a explosé. Elle est devenue numéro trois des Républicains, remplaçant en mai 2021 Liz Cheney, évincée après ses vives critiques contre Donald Trump. Mais ça a laissé des traces…
Elise Stefanik 40 ans, a donc conservé son mandat d’élue de l’État de New York, tout en recevant un joli lot de consolation. Elle est chargée de diriger une équipe qui va réévaluer les contributions financières à l’ONU des USA, premier pays payeur. Celle qui a qualifié les Nations unies de « bastion de l’antisémitisme » appelle à une réforme de l’institution afin que celle-ci respecte les intérêts américains. Sinon on arrête de raquer.
Karoline Leavitt, porte-parole de la Maison Blanche
À 27 ans, elle est la plus jeune à occuper ce poste. Porte-parole de la seconde campagne de Donald Trump, Karoline a fait ses armes à la Maison-Blanche comme assistante attachée de presse lors du premier mandat.
Dès sa première conférence de presse, fin janvier 2025, elle a annoncé que les journalistes traditionnels devront faire de la place aux blogueurs, influenceurs et créateurs de contenus, tandis que l’agence Associated Press qui se croyait tout permis, la poursuit en justice parce qu’elle a retiré à ses reporters leurs privilèges. S’en est suivi un déchaînement médiatique contre elle, qui ne lui fait pas peur, et renforce l’estime que Trump lui porte.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
https://ripostelaique.com/ces-femmes-de-pouvoir-qui-renforcent-lequipe-de-donald-trump.html