L’autre Collaboration
Le mythe fictionnel selon lequel la gauche serait philosémite et la droite antisémite est révolu, ne passe plus, n’a plus d’ancrage dans la société actuelle depuis que le philosophe Michel Onfray a soulevé le voile historique d’une autre Collaboration ignominieuse, initiée par les plus grands maîtres à penser, par ailleurs français, de ce monde.
Les maîtres penseurs du totalitarisme islamique , de l’islamo-fascisme sont tous français… Inouï.
Une collaboration détaillée, honteuse, soigneusement mise sous la chape de plomb de l’histoire par les amis des collabos lettrés. Cette collaboration nous révèle que, dans l’Histoire, une meute d’écrivains gauchistes, corrompus, de pseudo-philosophes drogués, alcooliques, mœurs dévoyés, perfides, obsédés, dégénérés, ont fascisé l’Histoire et nous payons, de nos jours, au prix fort, leur sale idéologie dégénérée de caniveaux. Ces penseurs-idéologues, ces influenceurs de masses arabes, ces collaborateurs de l’islamo-gauchisme, et cet académicien collaborationniste qui chasse le Juif errant et désigne Pétain comme le Bon Dieu, sans oublier ces parvenus, ces vendus, ces moins que rien, ces islamo-fascistes, doivent-être jugés par contumace, au plus vite, au tribunal de l’Histoire, même si, trop tard, le mal est fait.
Tous se protégeaient, entre eux, les uns masquant leurs pétainisme, hitlérisme, antisémitisme, antisionisme, islamo-gauchisme, les autres leur haine d’Israël et des Juifs. Tout cela est étalé au grand jour aux éditions Plon. Pour tout comprendre : Onfray c’est du Duralex, du béton si vous préférez.
Dans cette nasse infâme, digne d’un panier de crabes, on observera que Alain préfère Hitler à de Gaulle ; Sartre répand sa vieille scie musicale antisémite, la néantisation des Juifs, estimant que l’essence du Juif précède son existence ; Beauvoir pense qu’on pleure trop Anne Franck ; Jean Genet fait l’éloge de Hitler qui venge son enfance en humiliant la France ; Derrida Absout Genet ; Garaudy affirme que les Juifs ont inventé la Shoah pour se faire offrir l’État d’Israël ; Deleuze assène qu’Israël est coupable de nombreux Oradour-sur-Glane ; Foucault s’agenouille devant les mollahs iraniens en passant sous silence leur antisémitisme viscéral ; Paul Ricoeur escamote son long pétainisme (qu’on a tant reproché injustement à Zemmour, mais jamais à Ricoeur, ni à Guitton parce qu’il était académicien) ; Nancy déplore le « national esthétisme » nazi, Lacoue-Labarthe estime que parler d’Holocauste est un contresens intéressé ; quant à Badiou, il invite tout bonnement les Juifs à oublier l’Holocauste, la Shoah.
Les ayants droit de la descendance honteuse de Sartre, Beauvoir, Genet, Foucault ont cherché à dissimuler dans l’histoire les preuves, les thèses, les conséquences aujourd’hui irréversibles qui conduiront à la submersion de la France par le Grand Remplacement, à l’explosion du terrorisme islamique, et à la protection des églises par des gens d’armes, organisée par Bruno Retailleau, pour l’Assomption, le 15 août 2025.
L’histoire de la communauté juive, c’est l’Universalisme
Pour E. Macron, aussi grand historien devant l’éternel que l’était Mozart à la finance, « l’histoire de la communauté juive de France c’est l’universalisme ». Cette injonction identitaire passée dans le décodeur de RL signifie que les Juifs français sont tolérés à condition de se conformer à une image idéalisée, celle du Juif moral, sans attache, sans revendication, sans colère, sans défaut. En d’autres termes, ce que dit E. Macron, c’est que les Juifs doivent rester à leur place, en silence, avec dignité et soumission. En aucun cas, les Juifs de France ne doivent faire allégeance à Israël, ni se montrer trop solidaires, ni s’inquiéter de l’explosion de l’antisémitisme en France, même s’ils sont ciblés.
Hors de ce cadre de faux respect, si les Juifs se montrent trop visibles et dérangent la paix sociale, ils seront accusés de se radicaliser. Les Juifs doivent se fondre et se confondre avec le profil bas dans l’universel sans jamais revendiquer leur particularisme. Aucune autorisation ne leur sera accordée d’être un groupe géopolitique parmi d’autres. L’État juif enraciné dans une histoire, une langue, un territoire, une armée, une souveraineté devient une anomalie, une délégitimation en tant qu’État nation.
Dans ce cadre, l’État d’Israël devient suspect par nature puisqu’il incarne un particularisme juif devenu puissance dominante.
Souvenez-vous, il y a quelque temps, Israël ne devait son existence qu’à une résolution de l’ONU, disait Macron, afin de refuser à Israël le droit d’être une Nation. L’universalisme devient alors une arme politique : il ne contraint pas toutes les Nations à la même exigence, mais sert à délégitimer une nation précise : ISRAËL, la seule à qui l’on demande d’être éthique avant d’être souveraine.
Dans ce dilemme perfide, Macron créé un système dans lequel les Juifs sont piégés des deux côtés. D’un côté : ceux qui vivent en France doivent se dissocier d’Israël pour rester fréquentables. Et, de l’autre : Israël ne peut exister ou survivre qu’à condition de renoncer à ce qu’il est càd : un État juif.
Dans les deux cas de figure, une mécanique implacable, diabolique, est mise en place càd que « les Juifs sont tolérés à condition de ne jamais être eux-mêmes ». Il faut y voir une mise en demeure macronienne et non un universalisme. Il faut y voir le retour d’un antisémitisme, avec de nouveaux habits neufs élyséens.
NI OUBLI NI PARDON
L’Europe génocidaire de 30-45 n’a jamais voulu voir les six millions de visages émaciés, les enfants déshabillés, numérotés, gazés, arrachés à leurs mères avant d’être brûlés. Quatre-vingts ans plus tard, ce n’est plus le bourreau qu’on accuse mais le survivant hagard, cette victime devenue bourreau. Ce n’est pas l’antisémite qu’on juge, mais le Juif qu’on soupçonne et accuse. Cela n’a pas suffi qu’on lui vole son deuil, qu’on retourne sa tombe, qu’on nie son histoire, qu’on le cloue au banc des accusés, il fallait aussi lui voler sa terre, éradiquer son existence, l’anéantir, l’effacer de la carte. Mais cela n’a pas suffi ! …
Abasourdi, il regarde ce jour le monde récompenser les responsables du massacre du 7 octobre, et ne comprend pas pourquoi il est jugé, nommé, condamné sans jamais recevoir aucun droit à se défendre.
Ils sont pourtant entrés au lever du jour, hurlant « allah akbar ». Ils ne se battaient pas à la loyale contre des soldats pouvant se défendre, mais contre des enfants en pyjama, sortis avec stupeur de leur sommeil, puis de leur lit. Ils ont filmé ces mères se faire violer sur les corps de leurs fils, ces vieillards brûlés vifs, ces bébés décapités en silence et parfois jetés vivants dans un four bouillant.
L’ONU appelait au calme, pendant que la France disait « deux États sinon rien » !
Les foules ont crié à l’Intifada mondiale pendant que 250 otages suffoquaient dans les tunnels du mal.
Les États complices ont dit « voyons, ne réagissez pas trop fort », « il n’y a pas eu de génocide, mais faites donc un effort » !… Ils ont parlé de riposte disproportionnée, comme s’il fallait compter les larmes sans jamais avoir raison après ce plus grand massacre de Juifs depuis la Shoah.
Depuis le 7 octobre, plus de pardon, ni d’oubli derrière les portes de l’enfer du Hamas, derrière les visages masqués du camp des tyrans qui dansaient dans le sang en égorgeant nos frères dans la joie et le triomphe.
Pendant que nos otages morts n’ont pas eu de sépulture digne, en pierre, pour commencer le travail de deuil familial, ils votent à l’ONU, les mains tâchées de sang. Les lâches, ils condamnent les survivants. Ils blanchissent les armées fantômes du Hamas. Les appellent résistants alors qu’ils se cachent derrière la populace civile pour épargner leur vie devant les soldats israéliens. Depuis leur salon, ils nient la Shoah. Jamais on n’oubliera l’effacement, le mensonge, la haine juive qui se dissimulent derrière un costume cravate.
Pour nos morts : la mémoire constituera une muraille, chaque mot deviendra un bloc, chaque mur sera un silence, chaque silence… une honte. Ni oubli, ni pardon pour nos morts, pour notre dignité, pour notre devenir.
Pour ceux qui tentent de nous faire taire, de nous effacer de la rivière à la mer, la loi des vivants deviendra notre ralliement, notre raison de vivre, notre résistance contre leur haine recyclée, financée par le monde entier depuis un demi-siècle et confiée à la barbarie pour nous détruire.
Nous sommes les enfants d’Auschwitz et de Sederot, on réécrira l’histoire et on parlera jusqu’à ce que le monde nous écoute.
Texte revue et adapté, issu d’un chant au rythme Rap de @Simon Weinberg
Patrick Granville.
https://ripostelaique.com/du-palestinisme-islamo-gauchiste-a-lantisionisme-genocidaire.html