Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

On n’est pas homophobe si on est contre la Gay Pride et toutes les dérives LGBT

Il devient difficile, en France, d’exprimer une opinion sans se voir immédiatement attribuer un qualificatif honteux. Un stratagème classique de la bien-pensance pour intimider les dissidents et les esprits libres, et les faire taire.

Exprimez votre hostilité à l’invasion migratoire, et vous trouverez le gaucho de service qui vous qualifiera de raciste, voire de suprémaciste blanc.

Exprimez votre méfiance par rapport à l’islam, et vous trouverez le lèche-babouches de service qui vous qualifiera d’islamophobe, voire de nazi.

Exprimez votre scepticisme sur le vaccin anti-covid et le confinement qui a précédé, et vous trouverez le Herr Doktor Marty de service des plateaux télé qui vous traitera d’obscurantiste, voire d’assassin.

Exprimez votre perplexité sur le réchauffement climatique dont l’homme serait coupable, et vous trouverez l’écolo de service qui vous qualifiera d’assassin de la planète, voire de négationniste.

Exprimez des doutes sur la politique de l’Otan en Ukraine, et vous trouverez des atlantistes de service style Glucksmann qui vous traiteront d’agent russe, voire de traître à l’Europe.

Exprimez des réserves historiques sur certaines périodes délicates de l’Histoire, et vous aurez le juif de gauche de service qui vous qualifiera d’antisémite, voire de révisionniste, même quand c’est un Juif qui conteste la version officielle de l’Histoire.

Exprimez votre colère sur un nouveau francocide, et vous trouverez l’islamo-collabo de service qui vous qualifiera de charognard, voire de haineux.

On pourrait trouver de nombreux autres exemples, où le politiquement correct qui corsète notre société interdit tout débat, sous l’impulsion de la gauche et de l’extrême gauche, avec la complicité des associations gavées de subventions et des Macronistes.

Ce samedi, c’était la Gay Pride dans les rues de Paris, et dans de nombreuses villes d’Europe. Pour s’y opposer, Viktor Orban se voit insulté par tous les européistes, par la gauche et bien sûr par les LGBT. Comme Vladimir Poutine, il est considéré comme un homophobe. Pourtant, les homosexuels ne sont pas pendus aux grues à Budapest, ni à Moscou. C’est à Téhéran et dans les pays musulmans qu’ils sont persécutés, et on attend avec impatience nos vaillants LGBT, soutenus par Manon Aubry et Valérie Hayer, ainsi que les députés européens qui veulent défier Orban, aller organiser une Gay Pride dans un pays musulman…

Les musulmans refusent l’homosexualité – pourtant très développée dans leurs pays – parce que c’est haram dans le Coran, rien d’autre. Par contre, Orban, comme Poutine et tous les patriotes, refusent l’homosexualisme, c’est-à-dire la propagande homosexuelle. Ils osent affirmer des évidences, comme le fait que la propagande LGBT n’a pas sa place dans nos écoles, pas davantage que les drag queens. Ils affirment que l’hétérosexualité est la norme, et que dans une société qui ne veut pas mourir, l’homosexualité ne peut devenir, sous le feu de la propagande, égale à l’hétérosexualité. Ils estiment qu’une famille, c’est un père, une mère et des enfants, et se refusent à des réformes sociétales comme le mariage homosexuel (rappelons que la majorité des homosexuels y était opposée), l’adoption d’enfants par des couples homosexuels, et la PMA-GPA avec toutes ses dérives.

Pour avoir défendu, nous aussi, ces positions lors des débats sur le mariage homosexuel (appelé de manière sournoise mariage pour tous), nous avons été, à notre tour, qualifiés d’homophobes sur des sites patriotes amis, et certains amis proches se sont fâchés avec nous.

Ce jour, dans un article fort intéressant, Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, explique et démontre que, selon elle, on ne peut être patriote et antisémite. Mais elle justifie également, vis-à-vis de ceux qu’elle accuse de ce travers, une attitude totalement différente de celle de son compagnon, Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque, qu’elle qualifie de plus ouvert au débat, voire plus rassembleur, lui considérant que l’essentiel, c’est la défense de la France, et que le reste, même quand il s’agit d’antisémitisme ou d’homophobie, n’est que polémiques mineures.

https://resistancerepublicaine.com/2025/06/28/peut-on-se-dire-patriote-et-etre-antisemite/

Mais Christine, dans son article, reproche également à quelques militants du Parti de la France (parti avec lequel Riposte Laïque et Pierre entretiennent de bons rapports) une homophobie supposée. D’abord, n’en déplaise aux associations racketteuses comme SOS Homophobie et Mousse, on a le droit d’être homophobe, au sens propre du terme. Ce qui devrait être interdit, par contre, c’est d’inciter à la haine et à la violence contre les homosexuels, par exemple comme dans le Coran. Ainsi, dans « Le licite et l’illicite en islam », Youssef Qaradawi, idéologue des Frères musulmans et chef de la Fatwa en Europe, aujourd’hui rappelé à Allah, nous expliquait les règles pour les homosexuels. « Pour compléter les règles islamiques quand à l’instinct sexuel, il nous reste à voir que l’Islam a aussi interdit l’homosexualité qu’on désigne par « ce que faisait le peuple de Loth », comme il a interdit la fornication et tous les moyens qui y aboutissent. (…) Les savants en jurisprudence ne furent pas d’accord sur le châtiment que l’on doit infliger à l’auteur de cette immoralité. Est-ce que les deux partenaires reçoivent le châtiment du fornicateur ? (la lapidation). Est-ce que l’on tue l’actif et le passif ? Par quel moyen les tuer ? Est-ce avec un sabre ou le feu, ou en les jetant du haut d’un mur ? Cette sévérité qui semblerait inhumaine n’est qu’un moyen pour épurer la société islamique de ces êtres nocifs qui ne conduisent qu’à la perte de l’humanité. » (Troisième partie « Le licite et l’illicite dans le mariage et dans la vie familiale » Chapitre 1 : Dans le domaine de l’instinct. p.174-175)

À Riposte Laïque, nous pensons, comme Jean-Yves Le Gallou, qu’on doit éviter la diabolisation entre nous, et qu’il est inutile d’affubler d’autres composantes de la famille patriote, de qualificatifs désagréables, alors que nos ennemis sont bien assez grands pour nous les attribuer. Ainsi, cette semaine, notre ami Bernard Germain a répondu fraternellement à Thomas Joly, président du Parti de la France, sur le conflit Israël-Iran. Mais aucune insulte, aucun qualificatif inutilement injurieux comme « antisémite », rien qu’une réponse, très argumentée, à un communiqué de Thomas Joly, au nom de son parti.

C’était l’esprit de Callac, où Bernard et Pierre, qui avec d’autres patriotes animaient le mouvement, avaient tenu à ce qu’il n’y ait aucune exclusive dans le combat, malgré les demandes de quelques états-majors parisiens contre le Parti de la France, Civitas ou les jeunes du Comité du 9-mai.

Selon nous, c’est cet esprit qui doit être la boussole de toute la mouvance patriote, tant le péril de perdre la France, sous la houlette de Macron et Mélenchon, est grand.

https://ripostelaique.com/on-nest-pas-homophobe-si-on-est-hostile-a-la-gay-pride-et-a-toutes-les-derives-lgbt.html

Écrire un commentaire

Optionnel