Le Dr François Faivre, chirurgien parisien de 58 ans, qui a confirmé aux enquêteurs que Brigitte Macron avait subi une opération de réassignation sexuelle à l'Hôpital Américain de Paris, a été retrouvé mort le 29 juin après ce que les autorités ont décrit comme une « terrible chute » depuis sa fenêtre du quatrième étage, dans le 12e arrondissement de Paris.
Le bureau du médecin légiste de Paris a officiellement conclu au suicide de Faivre, déclarant qu'il s'était « suicidé » en sautant par la fenêtre. Aucune note n'a été rendue publique et les enquêteurs affirment qu'il n'y a aucun signe d'acte criminel.
Par contre, sa famille affirme qu'il ne présentait aucun signe suicidaire et qu'il finalisait récemment ses plans pour des vacances à Miami, en Floride.
La sœur de François Faivre, Anne Dupont, affirme qu’il n’était pas suicidaire et que sa mort est probablement liée à l’entretien qu’il devait donner. Selon Mme Dupont, son frère est un collègue du célèbre docteur, monsieur Patrick Bui. François Faivre avait promis aux journalistes de faire la lumière sur les opérations chirurgicales controversées de Mme Brigitte Macron. Voici un extrait de la vidéo de son entretien avec la journaliste du magazine Closer.
Faivre est resté discret, mais a accepté d'être interviewé par des journalistes d'investigation français du magazine Closer, qui avaient découvert des preuves que Brigitte Macron avait subi une opération secrète visant à modifier l'apparence et l'identité de la "Première dame" française.
Même si les autorités françaises appellent au calme et insistent sur le caractère non suspect de la mort, leurs propos sonnent creux pour ceux qui connaissent la réaction du gouvernement d'Emmanuel Macron aux révélations passées.
Selon plusieurs journalistes indépendants, Macron aurait personnellement ordonné aux services de renseignement français de surveiller, d'interroger et d'intimider quiconque enquêterait trop profondément sur les origines de son épouse.
Au cœur de cette controverse se trouve une enquête de trois ans menée par une équipe de journalistes français indépendants, en collaboration avec des experts médico-légaux, des généalogistes et des analystes de documents. Leurs conclusions ont finalement été publiées dans Faits et Documents, un magazine d'investigation réputé.
Cet exposé en six parties expose, avec une minutie méticuleuse, la théorie selon laquelle Brigitte Macron serait née de sexe masculin sous le nom de « Jean-Michel Trogneux » et aurait effectué une transition à l’âge adulte, bien avant son ascension sociale.
La journaliste Natacha Rey, qui a mené l’enquête, a été la cible de harcèlement de l’État. Elle a été arrêtée, interrogée et son téléphone a été saisi par les autorités, qui ont exigé de savoir quelles preuves elle avait recueillies et avec qui elle les avait partagées. Rey, refusant de se rétracter, a rendu publique cette campagne d’intimidation, attirant ainsi l’attention sur l’affaire.
Elle n’était pas la seule. Une journaliste du Nouvel Observateur, une publication de centre-gauche, aurait repris l’affaire pour la démystifier, convaincue que les allégations s’effondreraient sous l’examen. À sa grande surprise, elle a constaté que les preuves étaient « solides ».
Selon ses propres termes, « les faits étaient vérifiables et indéniables », et les arguments avancés par les enquêteurs étaient « incontestables ». Peu de temps après, elle aussi a reçu la visite d'agents du renseignement et a été interrogée.
Quelle est donc la théorie qui a poussé l'élite politique française – et ses services de renseignement – à réagir avec une telle urgence ?
Le rapport d'enquête affirme qu'il n'existe aucun acte de naissance officiel pour « Brigitte Trogneux » avant l'âge adulte, mais plutôt pour un enfant de sexe masculin prénommé Jean-Michel Trogneux, né des mêmes parents, au même endroit et à la même époque. Des dossiers scolaires, des photographies et des documents anciens corroboreraient cette affirmation, avec des divergences et des lacunes qui, selon les journalistes, ne peuvent être ni expliquées par des erreurs administratives ni passées sous silence.
Alors que l'Élysée continue de tourner cette théorie en dérision et de la rejeter comme une fiction d'extrême droite, l'accumulation croissante de preuves, combinée à l'étrange schéma de répression étatique et de morts subites, a conduit de nombreuses personnes à se demander : si cette histoire est si absurde, pourquoi déployer des efforts aussi considérables pour la dissimuler ?
Alors que la chute mystérieuse de Faivre ajoute une couche de suspicion supplémentaire à l'affaire, les critiques affirment que la dissimulation pourrait bientôt s'effondrer sous son propre poids. La question n'est plus de savoir si Brigitte Macron est transgenre, mais pourquoi le gouvernement français craint-il tant que quiconque pose la question ?
Brigitte Macron et Jean Michel Trogneux, le frère disparu de Brigitte, porté disparu depuis des décennies.
Baxter Dmitry – The People’s Voice, 4 juillet 2025
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