Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La gauche veut la mort de notre identité culturelle, empêchons-la d’agir !

Pendant que Guillaume Senet et son équipe étaient harcelés autour de leur magnifique spectacle historique « Murmures de la Cité », jugé non conforme aux fantasmes historiques de la gauche mais joué trois soirs de suite à guichet fermé, cette même gauche sombrait un peu plus dans l’ignominie au festival d’Avignon par la voix de son directeur Tiago Rodrigues.

En effet, ce dernier, en plus d’avoir mis cette année la langue arabe à l’honneur pour la 79ᵉ édition du festival – ce qui donne le ton et évince un peu plus notre langue, dont Mélenchon voudrait par ailleurs nous priver ! –, a affiché son soutien sans nuance à Gaza et au « peuple » palestinien, tout comme une centaine d’« artistes » du festival pour, disent-ils, « dénoncer les massacres de masse orchestrés par le gouvernement israélien ».

https://www.telerama.fr/theatre-spectacles/festival-d-avignon-nous-femmes-et-hommes-du-spectacle-declarons-notre-solidarite-avec-le-peuple-palestinien-7026456.php

Depuis trop longtemps la gauche tient la culture entre ses serres et n’entend pas admettre la plus petite voix dissonante dans ce pré-carré. Partout où elle sévit, on doit donc subir un discours de propagande qui est à la culture ce que La Villageoise est au nuits-saint-georges. Le pire dans cette galère c’est que ce discours de haine décomplexée de la France et ses traditions est financé par les deniers publics, c’est-à-dire votre argent messieurs-dames. Payer pour se faire insulter à longueur d’invectives « culturelles », c’est un concept !

Et puisque la machine à cash tourne à plein régime ces « artistes » engagés dans tout sauf l’Art peuvent pondre les pires navets sans souci de rentabilité et surtout de plaire au public. Ainsi, lorsqu’on est admis dans le cénacle culturel de gauche, on peut s’en donner à cœur-joie, et peu importe l’échec commercial puisque que quand on est de gauche on ne compte pas !

Contribuables associés énonçait toutefois des vérités accablantes à propos de cette dilapidation de l’argent public, particulièrement dans le cinéma français, financé à hauteur de 31 % pour l’année 2021 :

« Un quart des longs métrages diffusés en France, majoritairement des films d’auteur, totalisent moins de 10 000 spectateurs durant leur exploitation en salle. Beaucoup plafonnent sous les 5 000 entrées.

Parmi les plus beaux flops de l’année 2023, on peut décerner la Palme d’or à « Slava Ukraini », le film de Bernard-Henri Lévy et de Marc Roussel.

Sorti le 22 février dernier et retiré des salles à la mi-mars, il n’aura totalisé que 1 024 entrées.

Parmi les autres méga flops du cinéma français enregistrés en 2022, on recense notamment « Vortex » de Gaspar Noé (30 000 entrées) « Cœurs vaillants » de Mona Achache (26 000 entrées), « Ogre » de Arnaud Malherbe (20 000 entrées), etc. »

https://contribuablesassocies.org/2023/06/15/film-d-auteur-sans-public-le-cinema-francais-coute-une-fortune-aux-contribuables/

Ce financement automatique permet à des « artistes engagés » dans le mur de nous asséner leur logorrhée « vivre-ensembliste » en miroir de leur détestation hystérique de la France réelle.

Et malheur à qui voudrait y mettre bon ordre, comme la ministre de la Culture Rachida Dati ayant proposé de créer une holding regroupant tout l’audiovisuel public, avec le souhait qu’il soit un peu plus conforme aux goûts des auditeurs et téléspectateurs, lassés de se faire insulter à longueur d’antenne. Aussitôt dit aussitôt grève ! Le projet a pour l’instant été rejeté par les députés le 30 juin dernier à l’Assemblée, mais approuvé en commission par le Sénat le 3 juillet suivant. On attend de voir la suite, mais il serait effectivement bon de mettre un terme au tout-puissant Service public – ou « Sévices », au regard de ses programmes ! – qui, la plupart du temps, ne plaît en réalité qu’à un microcosme urbain et ignore superbement le reste du pays.

La gauche est un nuisible et elle agit avec la culture comme avec le reste : déconstruire tout, pour ne pas dire détruire. Or, dans ce temps de troubles intérieurs et extérieurs, de violence débridée, de pertes de repères identitaires pourtant essentiels, il est impératif que la culture redevienne ce sanctuaire rassurant qui nous raccroche à des valeurs solides. Toutes choses que la gauche pseudo-culturelle balaie d’un revers méprisant de la main.

Le Rassemblement national a raison lorsqu’il promet que, s’il arrivait au pouvoir, il « provoquerait une rupture en favorisant notamment le patrimoine au détriment de la création ». Pour aller dans le sens de cette proposition, il n’est qu’à voir l’engouement du public pour le passé afin de comprendre que la décadence de la culture n’intéresse personne, une décadence très gauchiste tout de même. En 2019, lorsque le Louvre célébra le 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci par une sublime exposition, ce fut une ruée. Par contre, quand un « artiste contemporain », à l’œuvre aussi molle qu’une guimauve, exhibe ses déjections artistiques, il n’y a pas foule. Et ce, même si la gauche préfère la guimauve, surtout si elle est woke. Tout est dit !

« La gauche est-elle propriétaire de la culture ? » se demandait un article très pertinent de Causeur, signé Philippe Bilger, qui voyait fort justement dans cette mainmise un rejet du peuple authentique : « Dans l’ensemble de l’analyse que j’évoque, court en effet, en filigrane, ce refrain condescendant que la gauche est propriétaire de la culture, que le simple fait, pour l’extrême droite, de venir s’en mêler serait une usurpation et qu’il s’agit d’activités trop nobles et élevées pour être confiées à ces “ploucsˮ. »

Ne seront pas considérés comme « ploucs » par la gauche les porte-voix de la haine allogène qui éructent leur envie de détruire la France en toute impunité !

En l’état actuel on ne peut que répondre par l’affirmative à la question posée par Causeur car la gauche empêche tout autre initiative que celles émanant de sa doxa.

https://www.causeur.fr/rn-culture-la-gauche-est-elle-proprietaire-de-la-culture-286533

Pourtant, il suffit de voir les touristes étrangers se presser à Versailles, Giverny, dans nos cathédrales, nos châteaux de la Loire et d’ailleurs, au Mont Saint-Michel, etc., pour comprendre que ce qui intéresse le monde chez nous ce ne sont pas les gesticulations « culturelles » de gauche mais bel et bien notre patrimoine. Même lorsqu’il s’agit de culture populaire, le monde préférera toujours Louis de Funès à un comique de cité qui ne fait rire que les siens.

Alors oui, il est temps d’en finir avec ce coup d’État permanent initié par Mitterrand et sa clique, le même qui accusait de Gaulle de ce travers en politique. La culture est un bien trop sacré pour le confier à des individus n’ayant qu’un but : la violer pour lui faire des enfants dégénérés…

Cyrano

https://ripostelaique.com/la-gauche-veut-la-mort-de-notre-identite-culturelle-empechons-la-dagir.html

Écrire un commentaire

Optionnel