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BUDGET FOU BAYROU : SEULES DES MANIFESTATIONS DE MASSE PLUS NOMBREUSES QUE LES GILETS JAUNES POURRONT SAUVER LA FRANCE !

C’est un aveu d’échec transformé en leçon de morale. François Bayrou, fraîchement nommé à Matignon, a présenté ce mardi un budget 2026 censé « sauver » les finances publiques. L’exercice était attendu, il fut sans surprise : pour éponger des années de gabegie, de dépenses clientélistes et d’errements idéologiques, l’État s’apprête à présenter l’addition au peuple français. Encore une fois.

Une France exsangue… mais toujours aussi généreuse avec certains

Tout part d’un constat devenu presque rituel : la dette explose, le déficit dérape, la France vit à crédit. Chaque seconde, nous dit Bayrou, 5000 euros de dettes supplémentaires. Mais que l’on ne s’y trompe pas : cette situation n’est pas tombée du ciel. Elle est le fruit de choix politiques assumés. D’années de dépenses incontrôlées, de chèques distribués sans discernement, de politiques sociales de plus en plus dispendieuses, souvent tournées non vers les Français qui travaillent, mais vers ceux qu’on attire ici pour mieux les assister.

Résultat : un plan drastique, taillé à la hache, pour tenter de rassurer Bruxelles, Bercy et les marchés. Objectif : 43,8 milliards d’économies en 2026. Un record.

L’année blanche : l’effort, c’est pour les Français moyens

Pas de revalorisation des retraites, pas d’ajustement des allocations, pas d’évolution des barèmes fiscaux : ce sera « l’année blanche ». Une parenthèse gelée, comme un hiver budgétaire. Mais uniquement pour ceux qui n’ont pas les bons réseaux, les bons statuts ou les bonnes origines. En clair : les retraités, les familles de la classe moyenne, les Français ordinaires, encore et toujours sommés de payer plus pour avoir moins.

Suppression de jours fériés : travailler plus, mais pour qui ?

Coup de grâce symbolique : deux jours fériés supprimés, le 8 mai et le lundi de Pâques. L’un pour mémoire nationale, l’autre enraciné dans nos traditions chrétiennes. Les voilà balayés au nom de la productivité. On croirait presque du Raffarin bis. Mais le vrai courage politique aurait été d’annoncer l’arrêt de certaines politiques ruineuses, comme l’accueil sans limite de populations étrangères toujours plus nombreuses à dépendre de la solidarité nationale. Rien de tel ici.

Santé, impôts, fonctionnaires : le tour de vis général

Dans le collimateur également : la santé. Franchise médicale doublée, fin des remboursements à 100 % pour certaines affections, chasse aux arrêts maladie… L’effort sanitaire sera conséquent. Les fonctionnaires ? Un sur trois ne sera pas remplacé. Quelques agences administratives seront supprimées. Des symboles, certes, mais loin de la réforme structurelle que la situation exigerait.

Et bien sûr, comme dans tout bon budget d’austérité, une « contribution de solidarité » pour les plus riches. Autrement dit : un nouvel impôt. Car il ne faut jamais rater une occasion d’alourdir la fiscalité.

Rien sur l’immigration, rien sur les dépenses communautaires

Étrangement – ou non – aucun mot sur les dépenses liées à l’immigration, à l’hébergement d’urgence, aux prestations sociales allouées à des millions de non-Européens récemment arrivés. Aucun débat non plus sur les milliards engloutis chaque année dans des politiques « d’intégration » dont tout le monde constate l’échec.

Pourtant, ces dépenses-là pèsent. Pourtant, c’est aussi cela qui fait exploser nos hôpitaux, nos écoles, nos allocations. Mais sur ce point, Bayrou est resté muet. On tape sur les retraités, pas sur les clandestins.

Un appel hypocrite au dialogue

Comble du cynisme, François Bayrou appelle les forces politiques à « perfectionner » le budget. En clair : qu’on participe au maquillage collectif de cette austérité sélective. Qu’on lisse les angles, qu’on habille les coupes sombres de formules creuses.

Mais la vérité est là : on demande aux Français de se serrer la ceinture, non pour corriger une erreur de gestion passagère, mais pour compenser des décennies de lâcheté, de laxisme et de compromission. Et pendant ce temps, l’immigration continue. Les subventions communautaires perdurent. Les gaspillages culturels, idéologiques ou européens restent intouchables.

Jusqu’à quand les Français accepteront-ils de payer pour un système qui ne les protège plus, mais les ponctionne ? La réponse pourrait bien venir plus vite qu’on ne le croit.

Luc Berroyer

Via http://marcrousset.over-blog.com/2025/07/budget-fou-bayrou-seules-des-manifestations-de-masse-plus-nombeuses-que-les-gilets-junes-pourront-sauver-la-france.html

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