La justice en France, censée être un pilier impartial de l’État de droit, est de plus en plus accusée de pencher idéologiquement vers la gauche radicale. Cette orientation supposée ne serait pas seulement une perception médiatique ou politique : plusieurs affaires récentes tendent à montrer un traitement plus clément lorsque les agresseurs appartiennent à une mouvance d’extrême gauche ou à des milieux militants progressistes. Ce constat alimente la conviction que l’institution judiciaire, loin d’être neutre, applique une grille de lecture politique dans ses décisions.
Origines et preuves d’un biais à gauche
Les origines sociologiques de ce biais ont été largement étudiées : la majorité des magistrats se situeraient plutôt au centre-gauche, et certains syndicats comme le Syndicat de la magistrature ont publiquement affiché des positions politiques progressistes. Mais au-delà de cette toile de fond idéologique, plusieurs affaires concrètes illustrent une tendance inquiétante à la clémence envers certains profils d’agresseurs.
Exemples flagrants de cette justice à double vitesse
- L’affaire de Meaux : Le 26 avril 2025 à Meaux (Seine-et-Marne), de jeunes militants de la Jeunesse du Rassemblement national (RNJ) collant des affiches ont été violemment attaqués. Les agresseurs, hostiles au RN, ont insulté les victimes (« fachos »), arraché leurs affiches, et commis des violences physiques. L’auteur des violences a écopé de seulement six mois de prison avec sursis, peine qui ne sera même pas inscrite à son casier judiciaire. Une décision qui relève d’une incroyable indulgence, quasiment une impunité judiciaire, envoyant un message clair : la violence politique de gauche est tolérée, presque encouragée. L’affaire est d’autant plus scandaleuse que les trois agresseurs sont d’origine algérienne, proches de la mairie de Meaux et donc du maire LR Jean-François Copé et qu’ils ont un casier judiciaire long comme le bras pour deux d’entre eux.
- Nathan Colin : connu pour ses violences contre des jeunes femmes militantes du collectif Némésis ainsi que contre des journalistes de Valeurs Actuelles, il n’a écopé que d’un mois de prison avec sursis. Une sanction ridicule face à la gravité des agressions, qui souligne une complaisance judiciaire abyssale.
- Le cas d’Éléonore Ranchin : victime d’une agression collective par plus de vingt individus, elle doit encore attendre pour voir enfin des mesures judiciaires réellement engagées. Cette lenteur coupable témoigne d’une volonté manifeste de ne pas protéger certaines victimes lorsque leurs agresseurs proviennent de milieux militants de gauche.
Une volonté politique claire de protéger la gauche et les racailles
Il ne s’agit plus seulement de biais individuels ou de lenteurs administratives. L’État lui-même semble cautionner ce double standard judiciaire. Par son silence, son inertie ou ses interventions directes, il protège les agresseurs issus de la gauche, laissant dans l’impunité des violences qui seraient sanctionnées sans délai et avec fermeté si leurs auteurs étaient issus de la droite. Il laisse la gauche recruter des racailles pour l’aider dans ses basses œuvres.
Ce choix politique délibéré transforme la justice en un outil de guerre idéologique, sapant gravement la confiance des citoyens dans l’équité des institutions. Cette complaisance nourrit une fracture profonde, alimentant la défiance, voire la radicalisation de ceux qui se sentent abandonnés par un système qui ne garantit plus l’égalité devant la loi.
Conclusion
La justice française n’est plus le garant neutre et impartial de la démocratie. Elle est devenue une cour partiale, soumise à des influences politiques clairement orientées vers la gauche radicale, prête à excuser les violences idéologiques quand elles servent un certain camp. Cette situation n’est pas seulement injuste, elle est dangereuse pour la cohésion sociale et la stabilité du pays. Il est urgent d’appeler à une remise à plat complète, afin de restaurer la confiance et garantir que la justice soit enfin la même pour tous, sans distinction d’appartenance politique.
Elise de Lang-Guyenne