Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Si l’on compare les bilans du méchant Milei le massacreur à la tronçonneuse des dépenses publiques et celui de notre sainteté Macron, Mozart de la finance et de la faillite, il n’y a pas de quoi se réjouir pour nous Français.
L’Argentine connaîtra la seconde croissance la plus forte au monde en 2025 avec un taux de 7,6 % ! Rien que ça.
Si la France évite le -0.7 % ce sera un miracle.
Le taux de pauvreté est en chute libre.
Le pouvoir d’achat réel est en hausse de 18 %. D’ailleurs le marché automobile argentin est en hausse de 50 % là où le marché français et européen s’effondrent. C’est logique. Alors qu’en 2024, il fallait 31,4 mois salaires pour acheter une voiture en 2025, il ne fallait plus que 17,4 mois de salaires !
L’Unicef a félicité le gouvernement argentin car c’est 1,7 million d’enfants qui viennent de sortir de la pauvreté.
La politique et l’économie doivent se faire pour les gens.
Croire qu’en protégeant plus on est plus social que social c’est se mettre le doigt dans l’œil jusqu’au cerveau et jusqu’à l’AVC économique.
En économie tout est affaire de simplicité, d’équilibre, de bon sens, et d’incitations positives.
La simplicité c’est la suppression de toutes les normes et règles étouffantes. Rien ne justifie un code du travail de centaines de pages. Rien si ce n’est le délire technocratique de nos enfileurs de perles et pondeurs de normes.
L’équilibre c’est la juste solidarité par opposition à l’assistanat mortifère, c’est la juste place de l’Etat, c’est le régime normal de la liberté totale et celui de l’interdiction qui doit toujours rester l’exception.
Le bon sens, c’est mettre les méchants en prison et les gentils dehors, c’est savoir qu’il n’y a aucune économie saine sans confiance et donc il faut lutter contre la délinquance. La vraie et garantir la propriété et cesser de taper toujours sur les mêmes.
Les incitations positives c’est de ne jamais oublier que les gens doivent avoir un intérêt à faire ce qu’ils doivent faire ! En clair l’effort, le travail, les sacrifices doivent payer, ils doivent être récompensés. Les inégalités ne sont non seulement pas un mal en soi, mieux, elles sont indispensables, nécessaires dans une société fonctionnelle. Il n’y a rien de moral à maintenir une égalité entre celui qui travaille dur à l’école et celui qui ne fiche rien. Quand tout se vaut alors plus rien n’a de valeur.
Que fait Milei ?
Rien de délirant.
Rien de génial.
Rien d’innovant.
Il fait le plus important cependant.
Il remet de la simplicité, de l’équilibre, du bon sens et des incitations positives et ça marche.
Vous savez pourquoi ?
Parce qu’il ne sort pas de l’ENA.
Ce qui m’amène à la réflexion suivante.
Un con qui marche va plus loin qu’un énarque assis.
Il est grand temps que notre pays laisse les cons qui marchent avancer et que l’on mette dehors nos énarques et autres technocrates dehors.
Milei dirait « afuera »… « dehors » en français.
C’est simple.
C’est efficace.
C’est du bon sens.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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