Ici Alain Bauer explique, très justement d’ailleurs que lorsque l’on est pour la « libération de l’individu », son épanouissement, on est forcément contre toutes les formes d’addictions.
Bien évidemment qu’il est très difficile de lutter contre les narcotrafics, mais la première chose à faire c’est de lutter contre la banalisation de l’usage des drogues, lutter et refuser l’idée que cela pourrait être « récréatif » « drôle », « mignon » ou « sympathique ». Tous ceux qui parlent de drogues « douces » se mentent généralement à eux-mêmes et aux autres. Il n’y a aucune addiction douce.
L’addiction est une prison. Une aliénation.
Si l’on a réussi à faire vacciner 90 % des Français qui ne le voulaient pas, je peux vous assurer que l’on peut réduire considérablement le nombre de consommateurs par une politique plus dure du même type que le « passe vaccinal » mais avec le passe drogue… Et là c’est plus simple, même pas besoin de vous tester en enfilant un bâtonnet jusqu’au cerveau ! Un peu de salive suffit. Vous allez me dire que c’est extrême. Pas plus que le passe vaccinal. Mais oui, je vous l’accorde c’est extrême. Avant d’en arriver là on peut déjà commencer par empêcher d’évoquer le coté récréatif ne serait-ce que dans toutes les émissions télé !
L’idée d’obligation de soins est une bonne idée, car oui, aider les gens à sortir des addictions, de l’alcool aux drogues, est une excellente chose.
Enfin, il évoque la brutale reconquête du territoire. Là encore il a raison.
Quant à notre lumière éteinte du Palais, il ne lui viendrait pas à l’idée d’avoir une furieuse envie d’emmerder les narcotrafiquants ! Il ne lui viendrait pas à l’idée de déployer les grands moyens de communication contre la drogue, que partout, chaque jour on nous répète ses dangers, comme il a su si bien le faire contre les méchants non vaccinés, ou les méchants Gilets jaunes.
Cela manque cruellement de volonté tout de même. Notre Mozarillon des Carpates nous a tout de même habitué à beaucoup mieux quand il veut. Et quand il ne veut pas, c’est qu’il ne veut pas. Et là… il ne veut pas.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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