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  • Dette publique : ce que l’on voit, ce que l’on ne voit pas, par Olivier Pichon.

    Toute dette publique est d'abord et au final une décision politique, et donc une décision de violence politique : violence de l'impôt, surtout quand il est justifié par des considérations extra-nationales et moralisantes. Une violence qui s'exerce surtout à l'encontre des classes pauvres.

    Il est entendu comme une évidence que la dette n’est pas un problème tant le déferlement de monnaie de singe (le quantitative easing, assouplissement monétaire) devrait continuer par la grâce de la BCE. Il est vrai que le coût du service de la dette, en France, a baissé logiquement en raison de taux nuls ou négatifs : en 2018 les intérêts représentaient 3 % de la dépense publique contre plus de 6 % dans les années 90 pour une dette plus modeste.

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  • À la Fête de L’Huma, tout le monde va… même la droite !

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    par Gabrielle Cluzel sur BVoltaire

    Ils sont venus, ils sont tous là, pas un ne veut louper la Fête de L’Huma. C’est tellement sympa. Thomas Piketty, Philippe Martinez, Sandrine Rousseau, Anne Hidalgo, Gabriel Attal, et même Valérie Pécresse.

    S’il était un symbole de l’hégémonie idéologique de la gauche, ce serait celui-là. Foin des millions de morts du communisme. Foin de la présence tonitruante d’Assa Traoré – Sandrine Rousseau poste même fièrement, sur Twitter, un selfie avec elle -, foin du concert, vendredi soir, du rappeur marseillais, ancien dealer et repris de justice Soso Maness, et de la foule en délire qui a scandé avec lui « Tout le monde, tout le monde déteste la police ».

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