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Le problème allemand

La politique allemande s’affirme dans l’Union européenne avec une violence croissante. L’agression subie par les peuples grec et chypriote est d’une brutalité inouïe. Au Portugal, en Espagne, en Italie, l’idéologie et les méthodes allemandes sont en train de provoquer des catastrophes.

En France, le gouvernement accepte de se soumettre aux injonctions de l’Allemagne, dont les conséquences seront de plus en plus désastreuses. Je dis bien l’Allemagne car c’est elle qui inspire les dirigeants de la Banque centrale européenne et qui domine l’Eurogroupe. En Grèce, au Portugal, à Chypre, la Troïka est le bras armé de l’Allemagne, haïe comme telle.

J’écris ces lignes avec regret. Quand l’Allemagne unifiée a trouvé sa pleine souveraineté après avoir signé le traité de Moscou du 12 septembre 1990, elle a abandonné tout projet d’impérialisme ethnolinguistique et nous pouvions espérer qu’elle apporterait désormais une contribution paisible et démocratique à l’équilibre des ensembles européens. Cet espoir n’a plus lieu d’être. Il n’a pas été détruit par des ressentiments et des haines que nous aurions trop longtemps étouffés mais par la politique allemande : celle de la Chancelière, du gouvernement, des principaux partis politiques allemands. Politique égoïste, nationaliste, qui cette fois ne conduira pas à l’affrontement militaire - l’Allemagne a renoncé à l’arme nucléaire dont la France dispose – mais qui est d’une insupportable violence monétaire, économique et financière. [...]

La suite sur le blogue de Bertrand Renouvin

http://www.actionfrancaise.net

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