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Béziers : Robert Ménard vient troubler le petit jeu politicien

Candidat à la mairie de Béziers, Robert Ménard répond à l'Action Française 2000. Extraits :

A"Si mes relations avec les Biterrois sont agréables, il n'en est pas de même avec certains politiciens : je viens troubler le petit jeu traditionnel de partenaires habitués à se côtoyer et qui savaient d'avance que la victoire appartiendrait à l'un d'entre eux. Avant que je me présente, le sénateur-maire actuel, Raymond Courderc, était persuadé qu'il l'emporterait au premier tour. Il a depuis laissé la candidature au député Élie Aboud, son ex-premier adjoint, qui commence à comprendre que rien n'est gagné et que ce sont les Biterrois qui ont les cartes en main. Bien malin qui pourrait aujourd'hui pronostiquer qui l'emportera ! Quant aux électeurs de gauche, un sondage a révélé que certains d'entre eux n'étaient pas insensibles à ma candidature... Je le répète, je viens troubler le petit jeu traditionnel entre droite et gauche. [...] Il y aura de toute évidence une triangulaire entre l'équipe actuelle dirigée par l'UMP, la gauche et la liste "Choisir Béziers" qui, je l'espère, sortira gagnante. [...]

Ce que je dis pour Béziers est évidemment valable pour le reste de la France. Sur le plan national, les hommes politiques n'osent pas aborder les vraies questions, se confronter aux vraies difficultés permettant de faire les vrais choix. Ni la droite, ni la gauche ne regardent le pays tel qu'il est. La gauche construit le pays de ses rêves ; quant aux politiciens de droite, ils ne s'assument pas comme tels. Parce qu'il faut une autre politique, les Français ont besoin de représentants qui disent les choses telles qu'elles sont, tout en cessant de culpabiliser leurs concitoyens en les traitant de racistes, d'antisémites ou de xénophobes. Cessons d'ouvrir les frontières au monde entier, parce que notre pays n'a plus les moyens d'une politique migratoire aussi généreuse. Cessons aussi de tergiverser sur les problèmes de sécurité, alors qu'il faut les prendre à bras-le-corps. Il convient également de diminuer les frais de fonctionnement tant des municipalités que des autres collectivités ou de l'État. [...]

La situation est suffisamment grave pour réunir tous les Français de bonne volonté. Je ne suis issu d'aucun parti politique et il en est de même de la majorité de mes colistiers, qui sont simplement soucieux de changer leur ville. Mais nous avons le soutien de quatre partis, le Front national de Marine Le Pen, le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers, Debout la République de Nicolas Dupont-Aignan et le Rassemblement pour la France de Christian Vanneste. Nous visons à réunir tous ceux qui incarnent une résistance patriotique."

http://lesalonbeige.blogs.com

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