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Décrire la réalité est un crime contre le politiquement correct

Gloire au courage de ceux qui auront osé dénoncer les premiers la gravité des crises que connaît la France.

Par opposition à ce qui est imaginé, ou fictif, existe le concept de réalité qui désigne ce qui est perçu comme concret. Christophe Guilluy, géographe et auteur d’ouvrages scientifiques, a décidé de se confronter au monde concret, dans son dernier ouvrage intitulé « La France périphérique – Comment on a sacrifié les classes populaires. » Sa thèse, assez simple, explicite ce que l’instinct populaire perçoit assez distinctement, et démontre que s’ajoute à la fracture sociale une fracture ethno-culturelle de plus en plus prononcée dans notre pays. Il estime, par ailleurs, que seule la bourgeoisie urbaine des grandes villes profite de la mondialisation et des changements sociétaux qui ont conduit au multiculturalisme. Selon lui, la France des « invisibles », des « oubliés » ou, pour citer François Hollande, des « sans-dents » se réfugierait dans un vote protestataire en faveur du Front national, en raison de questions dites « identitaires ».

Ses ouvrages sont de grande qualité et comptent parmi ceux qui ont changé les mentalités sur des questions aussi diverses que l’immigration, la fracture sociale, la mondialisation ou l’émergence d’une France « péri-urbaine ». La fibre socialisante de leur auteur n’est plus à démontrer, pas plus que la rigueur des analyses. Éric Zemmour le cite régulièrement, comme de nombreux cadres de partis politiques de gauche ou de droite. Les travaux rendus par Christophe Guilluy font donc autorité, et toute personne de bon sens ne peut que se rendre à l’évidence : tout ce qu’il avance est correct.[...]

Gabriel Robin

La suite sur Boulevard Voltaire

http://www.actionfrancaise.net/craf/?Decrire-la-realite-est-un-crime

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