Encouragement et billet d’humeur. Partagez si le cœur vous en dit.
Il faut saluer le dévouement du camarade Georges Vexternel (que je vous invite à ajouter en ami) qui semble monter en puissance ces derniers temps. Voilà un militant dynamique qui crée lui-même un blog, qui alimente une chaîne YouTube, qui enrichit des débats sur les réseaux sociaux, qui manie le trolling avec une pertinence certaine, qui se rend disponible, etc. Mieux que cela, il offre volontiers sa plume et son temps pour participer à d’autres projets sans rien attendre en retour. Autre qualité, son activisme récent le pousse à adopter une attitude mesurée et humble, très loin des prétentieux euphoriques qui se jettent des fleurs à n’en plus finir parce qu’ils viennent de comprendre subitement que Soral n’est pas le Reichsführer tant attendu.
J’espère que d’autres personnes – qui sont pourtant dans le milieu depuis bien plus longtemps que lui – prendront exemple sur ce jeune talent prometteur et cesseront d’adopter exclusivement un comportement passif et récréatif. Se divertir sur Facebook c’est marrant, mais l’urgence de la situation doit nous pousser à agir, et à agir encore.
J’ai pour ma part un nombre incalculable de projets en cours, mais bien peu de temps et de volontaires pour les concrétiser. Pour dire vrai, ce sont toujours les mêmes qui se sacrifient sans compter pendant que les autres se contentent d’applaudir en s’empiffrant de pop-corn. Si vous estimez que vos compétences ne s’accordent pas avec celles qui sont requises pour faire de la « propagande de masse », ne vous en étonnez pas ; nous avons tous des profils différents et il n’y a pas à en rougir. Par contre, n’ayez pas l’audace de prétendre que le constat précédent vous empêche de faire avancer la cause, car le simple fait que vous lisiez cette publication prouve le contraire. A moins que vous soyez amputés des deux avant-bras, chacun a la possibilité de promouvoir massivement des projets existants (je prends cet exemple au hasard), mais pourtant vous ne le faites pas, ou pas assez. Les possibilités d’expansion sont nombreuses, mais peu de courageux s’y aventurent. Cette situation ne peut plus durer. Un déclic doit s’opérer dans vos esprits, et vite. Militer n’est pas une option, mais un devoir si nous voulons survivre.