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“Politique de peuplement” de la France : francophobie d’État

En réponse aux massacres islamiques de janvier, le pouvoir, au delà de mesures sécuritaires  inefficaces, veut imposer  finalement une immigration et une islamisation accrues par une « politique de peuplement » (expression de Manuel Valls  et reprise par François Hollande) sous prétexte de ”mixité sociale”. Il jette de l’huile sur le feu. Comme si la cause des attentats islamiques étaient les ”ghettos”. Toute politique d’”intégration” ou « d’assimilation” étant impossible, vu la massivité de l’immigration, il s’agit maintenant d’organiser de force la dissémination territoriale (habitat et carte scolaire) des populations d’origine immigrée. Le but caché du pouvoir serait-il la destruction de l’identité européenne française ?  Le racisme anti-Français a du carburant.

La République contre la Nation

« La République contre la Nation » tel était le titre d’un article de Jean Raspail, paru voici plus de dix ans dans Le Figaro – d’ailleurs poursuivi par des actions en justice. Comme avec son roman prémonitoire Le Camp des Saints (1973), il voyait juste. Mais la République, en métamorphosant la Nation, en favorisant son islamisation, se suicidera. Car les ”nouvelles populations” sont aussi incompatibles avec la francité et l’européanité (la Nation) qu’avec l’idée républicaine. M. Valls et ses apprentis sorciers l’ont-ils compris ?

Après les assassinats terroristes islamiques des 7, 8  et 9 janvier – approuvés par une partie des jeunes immigrés musulmans – le pouvoir, dans un réflexe pathologique classique, en a déduit, non pas qu’une guerre était entreprise sur son sol contre la France, qu’il fallait donc impérativement stopper et inverser les flux d’immigration et l’islamisation, terreau du terrorisme et de la guérilla ; mais, tout au contraire, que les Français étaient coupables d’ ”apartheid” et qu’il fallait leur imposer, partout sur le territoire, de force, la présence des populations immigrées majoritairement musulmanes.

Comme si l’objectif était d’empêcher les Français de souche de se regrouper entre eux, en leur imposant de nouveau la présence d’une population qu’ils avaient fuie et avec laquelle toute cohabitation est impossible. Ceux qui concoctent cette stratégie (imposer la fameuse ”diversité”) vivent, eux, bons bourgeois de gauche caviar, préservés, loin de leurs immigrés chéris, dans des centres-villes  ou des villages de luxe qui abritent leur maison de campagne.     Manuel Valls propose « une politique du peuplement pour lutter contre la ghettoïsation, la ségrégation », une politique «  pas seulement de logement et d’habitat ». Il veut dire par là qu’il veut durcir la carte scolaire, en mélangeant de force les populations de souche et immigrées. Et en augmentant les mesures de ”discrimination positive”, c’est-à-dire de favoritisme, qui aboutissent à l’exclusion de nombreux secteurs des Français de souche, en quelque sorte ”punis”.

À l’agression islamique contre la France, on répond donc par des mesures… contre l’”islamophobie” ! Les fondamentalistes doivent se frotter les mains et se sentir encouragés.

Et en même temps, on envoie une armée exsangue guerroyer au Mali et bombarder les milices islamiques en Irak. Tout en laissant l’immigration à 90% musulmane se déverser sans contrôle. Et en organisant, sous l’égide de Mme Taubira, le laxisme judiciaire et l’impunité des criminels et délinquants. Du délire total. La République ne défend plus la Nation,  elle scie la branche sur laquelle elle est assise, elle est devenue folle.

Dérapage sémantique et lapsus de M. Valls

Ce terme de « politique de peuplement » a des relents bizarres, de consonance quelque peu totalitaire.  Un lapsus linguae ?  Manuel Valls aurait-il voulu dire  ”repeuplement”, c’est à dire ”remplacement de population” ? Ou ”colonisation” par une nouvelle population ?  Les mots ne sont pas neutres. En conformité avec le laxisme migratoire (clandestins inexpulsables et subventionnés, droit d’asile à tout va, régularisations et naturalisations en hausse constante), ce remplacement de population s’accompagne d’un impératif de répartition territoriale. C’est conforme aux idées de Terra Nova  (au nom très parlant, ”nouvelle terre”, nouvelle population”), le think tank du PS : défranciser la population, construire une ”nouvelle France”, si possible islamisée, et, par la même occasion, acquérir un nouvel électorat immigré puisque, de toutes façons, l’électorat populaire de souche abandonnant la gauche (pour le FN) est considéré comme perdu et, de plus, en vieillissement et en déclin démographique. Cette stratégie de dissémination de la population immigrée (la ”peau de léopard”) de Terra Nova et du PS correspond exactement au projet de ceux qui veulent islamiser la France. Il y a une francophobie  subliminale dans cette formulation idéologique de M. Valls : ”politique de peuplement”. Pourquoi n’a-t-il pas choisi un autre terme plus passable, plus soft ? Il a commis une bévue, il a dit le mot de trop. Électoralement (c’est sa principale préoccupation, comme celle de tous les autres), il a peut-être commis une grosse erreur. Il a semblé dire qu’il voulait en finir avec le peuple français de souche, le remplacer, le repeupler .Ce qui est positif, c’est qu’il a abattu ses cartes. On sait pour quelle idéologie il travaille : ”politique de peuplement” signifie tout simplement : ”modification autoritaire de la population”. Certains parleront d’ethnocide. Je n’irais pas jusque là… M. Valls adore la France, c’est pour cela qu’il multiplie les régularisations de clandestins et les naturalisations… Mais sa conception de la France, celle de toute sa famille de pensée, est abstraite, désincarnée, déracinée. Elle programme la disparition à terme du peuple français et son remplacement par autre chose dont je vous laisse deviner le nom.

Repeuplement : l’ombre de Staline     

La ”politique de peuplement” comprend, dans son principal volet, le durcissement de la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbain) de Jospin en 2000. Les quotas de HLM réservés en priorité aux immigrés passe de 20% à 25 % avec augmentation des pénalités pour les communes réticentes, quintuplées par Cécile Duflot. Relevons les propos staliniens de François Puponni, maire PS de Sarcelles, d’accord avec Valls sur le constat d’apartheid  : « si l’on veut vraiment changer tout cela, il faut accepter de parler de quotas sociaux et ethniques ». Le mot est prononcé. Il ajoute : « Il faut aussi que l’État reprenne la main sur les collectivités locales » L’électorat juif, nombreux à Sarcelles et qui subit l’antisémitisme violent de certains musulmans (voir les récentes émeutes) appréciera. Mais il faut dire que l’électorat juif ne compte plus pour cette gauche cynique qui va pourtant faire ses salamaleks au Crif : les Juifs déménagent ou émigrent en Israël et ne mettent plus leurs enfants dans les écoles publiques.

Le ministre de la Ville, Patrick Kanner assène, quant à lui : « il faut que l’État puisse se saisir de terrains disponibles dans ces quartiers et construise à la place des collectivités territoriales ». Ces propos sont curieux de la part de ”décentralisateurs”. Quand il s’agit de détruire le peuple français, on redevient jacobin. Mais on s’amuse à redécouper les régions pour jouer aux ”fédéralistes”.

Laurent Chalard, géographe membre du think tank European Center for International Affairs, estime que cette politique de ”peuplement” forcée et de répartition autoritaire des populations est inefficace : «  En règle générale, les politiques de mixité sociale ont peu d’effet car dans le monde actuel, les individus recherchent l’entre-soi et non le mélange […]. Il faut sortir de l’idéologie. Dans les États pluriethniques, les populations ont tendance à se regrouper selon leur communauté d’origine ». (Le Figaro, 24-25/01/2015) On le voit notamment avec les Asiatiques dans le XIIIe arrondissement de Paris. Eux aussi, on va chercher à les ”disperser” ? Staline avait cherché à redéployer et réinstaller les populations de l’Union soviétique selon une cartographie autoritaire de déportation. Les socialistes français, qui n’ont pas oublié leur passé et leur formation idéologique, suivent sa leçon, de manière soft. On est très loin du modèle de démocratie et de liberté. Depuis Robespierre, la gauche a du mal à avaler ces deux notions.

Malek Boutih, lucide mais utopique

Curieusement, ce sont souvent les élites issues de l’immigration maghrébine et musulmane qui sont les plus lucides sur la colonisation de la France et qui n’ont pas de mauvaise conscience.   Malek Boutih, député PS de l’Essonne, ancien dirigeant de SOS Racisme, le plus indépendant de tous les cadres socialistes, a critiqué en ces termes la loi SRU et la politique de M. Valls : «  C’est de la démagogie pure. Ce que refusent les maires, de gauche comme de droite, ce n’est pas de construire du logement collectif, c’est d’attirer une population islamiste. On ne fera pas disparaître les foyers radicaux en les disséminant ». Effectivement : au contraire, on les augmentera.  Dans d’autres déclarations, (notamment à Valeurs Actuelles) le député socialiste a dénoncé les petits arrangements entre les municipalités de banlieue et les autorités islamiques locales, complètement contraire à la ”laïcité”.

Malek Boutih, évidemment, croit par ailleurs sincèrement à l’ ”intégration” et à la double appartenance possible (être ” Français” et arabo-musulman en même temps), ce qui relève de l’utopie onirique pure et simple, du jamais vu dans l’histoire, chez aucun peuple. Cette conciliation des contraires, cette double identité, n’est possible que chez des élites policées et minoritaires, pas chez les masses. Cette idée d’appartenance multiple, d’identité plurielle, très prisé par la sociologie à la mode (Maffesoli, Attali) n’est pas applicable en politologie. D’Aristote à Julien Freund, cette dernière démontre que l’unicité d’identité est la loi générale des peuples. La schizophrénie (cohabitation de deux logiciels mentaux) n’est pas viable. Mais cela n’enlève rien à la lucidité de Malek Boutih qui, d’un certain point de vue est tragique parce que sa bonne volonté est une impasse. Sa sincérité est tragique, comme celle de beaucoup d’élites et d’intellectuels d’origine arabo-musulmane qui veulent concilier la ”francité” et leur identité, leur mémoire et leur origine. Eux peuvent résoudre cette équation, pas les masses de leurs coreligionnaires. C’est l’impasse.

La préférence étrangère

Dans une récente manifestation des Verts (gauchistes pseudo-écolos) de soutien aux clandestins, on pouvait lire ce slogan provocateur sur une énorme banderole : « Les étrangers, aimez-les ou quittez la France », en réponse à un autre slogan de la mouvance identitaire ” La France, aimez-la ou quittez-la”.  Ce qui signifie : ”Français de souche, partez si vous refusez la colonisation et l’invasion étrangères.” Chasser les Français de chez eux ? (Remarquez, déjà, les jeunes élites autochtones émigrent en masse…) Ce racisme anti-français implicite, Mitterrand, ce démagogue roué et ambigu, l’avait déjà exprimé : « ils sont chez eux chez nous ». C’est la base de cette pathologie ethnomasochiste des élites  de gauche qui a abouti à ce ”suicide français” analysé par Eric Zemmour. En ce sens, l’oligarchie française est responsable de ce qui arrive au peuple : pour la première fois dans l’histoire, des Européens organisent leur propre invasion, la programment, sans aucune agression militaire extérieure. Ce n’est plus de la collaboration forcée (1940–1944) mais de la collaboration volontaire.

Patrick Kanner, ministre de la Jeunesse , des Sports et de la Ville (encore une usine à gaz) a déclaré, à la suite des assassinats islamiques de janvier, à propos du Service civique : « les places doivent d’abord aller aux jeunes de banlieue ». Euphémisme pour désigner les jeunes d’origine immigrée. Il revendique ouvertement la « discrimination positive » au nom de « la lutte contre les inégalités,  le combat pour l’égalité ». Le but, complètement utopique, est de flatter ces populations, les calmer, d’acheter la paix sociale (pardon, ethnique), d’éviter la radicalisation islamique, notamment par des subventions et aides supplémentaires.  Personne n’a vue le nœud de contradictions de cette ”discrimination positive” qui a complètement échoué aux Etats-Unis  (affirmative action) : elle contrevient au principe d’égalité individuelle dont on se réclame par ailleurs et elle manifeste un racisme inconscient, puisqu’on victimise les immigrés en sachant très bien qu’ils ne sont pas victimes et en leur donnant l’impression qu’ils sont favorisés parce que moins capables. La même contradiction se retrouve avec les politiques de ”parité” vis-à-vis des femmes. Bref, on met en place sans le dire une politique d’ethnicisation, de racialisation des normes sociales, au détriment principalement du Français de souche des classes populaires, le détesté “petit Blanc”.

Que veut dire « mixité sociale » ?

Nadjat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, qui est aussi féministe militante et adepte de la théorie du genre (gender theory) que muette sur l’oppression des femmes dans les pays musulmans et dans les banlieues islamisées, prône une « action résolue pour favoriser la mixité sociale dans les collèges, pour revoir la carte scolaire, pour que le ministère prenne toutes ses responsabilités dans les affectations des élèves ». Autrement dit, mélanger de force,  sans avis des parents, les populations scolaires. Version française du busing américain, qui a totalement échoué et qui a été abandonné. On notera là, encore une fois,  un relent de cet autoritarisme totalitaire hérité à la fois des pires moments de la Révolution française et de l’idéologie communiste, qui innerve toujours le PS.

Le terme même de « mixité sociale » est de la langue de bois. Ça veut dire mixité ethnique et raciale. Le discours ”républicain”  essaie de corriger sa myopie idéologique en manipulant le vocabulaire. Et en fabriquant une utopie, rêvée par les intellectuels dépourvus de toute expérience de la vie et de l’histoire. Car le mélange ethnique de grande ampleur n’a jamais fonctionné et ne fonctionnera jamais, avec un taux d’échec (guerre civile inévitable) proportionnel à la distance ethnique.

La ”mixité sociale” existait partout dans l’habitat urbain et rural jusqu’au milieu du XXe siècle. Bourgeois et prolétaires, riches et pauvres, se mêlaient. Il n’y avait pas de ”lutte de classes”. Dans les immeubles parisiens, les classes sociales cohabitaient, selon les étages, en fonction des revenus, sans conflits. De même, dans les villes moyennes et les villages, les classes sociales se côtoyaient sans heurts. La cohabitation se passait bien parce qu’il existait une homogénéité ethnique (culture, éducation, origine). Aujourd’hui, une telle cohabitation est impossible parce que conflictuelle. Puisque les populations qu’on force à cohabiter n’ont aucune infrastructure ethno-culturelle  commune, ni évidemment nationale.

Les bourgeois de gauche ”antiracistes” qui  vivent confortablement entre eux et dans des quartiers protégés et qui veulent obliger les ”petits Blancs” à cohabiter avec les populations immigrées refuseraient cette solution pour eux-mêmes. De même, ils s’arrangent pour ne pas mettre leurs enfants dans les écoles publiques, multiethniques, de bas niveau. Sublime hypocrisie. Toute cohabitation pluriethnique a toujours été impossible dans l’histoire et a fortiori avec des populations musulmanes qui ne partagent ni les mêmes  valeurs, ni les mêmes modes de vie. L’utopie ”républicaine” est condamnée d’avance. La cohabitation pluriethnique  n’est possible que superficiellement, dans des classes supérieures riches et minoritaires, dans un simple réflexe de ”bon voisinage” distant. Dans les masses populaires, elle est explosive. Et la politique qui se dessine va conduire à l’explosion, comme une réaction chimique de base.  La mixité ethnique (et non pas ”sociale”), c’est la réunion du salpêtre et du souffre. Boum !

Du désespoir à l’espoir

La radicalisation islamique, la ”salafisation” des cités de banlieue pousse les ”petits Blancs” délaissés par le pouvoir qui méprise les voix ”populistes” à fuir. Ils se sentent victimes de l’assommoir fiscal et d’une hostilité de l’oligarchie contre eux et contre le modèle familial français traditionnel. Ils ressentent l’impression que chez eux, au cœur de leur pays natal, l’islam est favorisé par l’oligarchie. Ils éprouvent une insécurité et une criminalité  constantes, peu réprimées, quotidiennes, lancinantes, dont ils connaissent bien l’origine.   Cette situation va devenir ingérable par un État (gauche et droite confondues) qui a laissé se déverser des flux migratoires fous. « Fou » : c’est ce terme qu’à employé un homme politique japonais rencontré dans un dîner, qui venait pour la première fois à Paris et auquel j’expliquais les problèmes de l’immigration et sa genèse depuis les années soixante. Il m’a écouté parler et il a conclu : « vous êtes devenus fous ».

Le sentiment d’abandon se répand, ignoré par les élites politiques déconnectées du peuple qui souffre d’insécurité, de dépossession ethno–culturelle face à ce mitage du territoire (occupation) et de l’immigration de masse qui défigure le pays des ancêtres. Les mosquées qui poussent jusque dans les petites villes et les églises en ruine, fermées, désertées, la France profonde en souffre. Le Tribunal de l’Histoire dira un jour : ”vous les avez laissé entrer et nous n’avez pas fait assez d’enfants. Vous êtes responsables de vos malheurs”.

La fable de la cohabitation harmonieuse et de l’intégration, qui ressemble en tout point à une propagande stalinienne, ne convainc que les bobos préservés dans leur quartier. Écoutons par exemple cette formule, mélange de cynisme et de bêtise, d’un Alain Juppé : « j’ai du mal à expliquer pourquoi les Français ont à ce point peur de la mondialisation et de l’immigration, de l’autre ». (entretien à La Revue des deux mondes, septembre 2014). Ce genre de propos est insupportable. Cet aveuglement sur l’état de la ”France périphérique” (cf. La France périphérique. Comment on a sacrifié les classes populaires. Christophe Guilly. Flammarion) disqualifie le vieux politicien Juppé, pas plus ”homme d’État” qu’une mouche n’est un aigle.

Aller poursuivre les Français qui fuient jusque dans leurs refuges pour leur imposer de nouveau ces populations avec lesquelles ils ne veulent pas cohabiter, cela ressemble à un acharnement sadique. Jadis encensé, le petit peuple de souche est détesté. Le nouvel électorat, la nouvelle population de la ”nouvelle France” de la ”diversité” sont cajolés, subventionnés,  favorisés, victimisés, protégés, flattés, excusés. Même si c’est en leur sein que naissent et prospèrent les tueurs du djihad. Les classes populaires de souche paupérisées en zone périurbaines et rurales qui fuient l’islamisation et votent majoritairement FN (pour son programme anti-immigration et non pour son programme économique) sont hors-radar pour l’oligarchie. Le problème est : se révolteront-elles ? C’est un espoir mais pas une certitude.

Guillaume Faye

Source : le blog de Guillaume Faye.

http://fr.novopress.info/182182/politique-peuplement-france-francophobie-detat/

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