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Médecins en colère : l’hôpital va mal, la médecine libérale aussi

Nos énarques dans leur grande sagesse croient que le manque de médecins hospitaliers sera compensé par une nationalisation de la médecine de ville.
Ce titre peut vous paraître pessimiste, pourtant c’est la stricte vérité. Depuis des années les politiques, de droite comme de gauche ont cherché à contraindre les médecins dans un carcan financier. Du temps de Juppé et autres « inventeurs de droite » nous avons eu les découvertes géniales. Le style de réflexion des énarques était simple : « La santé coûte trop cher diminuons le nombre de médecins ». Sous l’impulsion de quelques conseillers illuminés on a donc demandé, en leur offrant un belle somme, à des médecins de partir en retraite prématurément. Les mêmes grands penseurs du vingtième siècle ont aussi fermé le numérus clausus de façon à former moins de médecins.

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