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Quelle est la ligne juste pour un combattant nationaliste ?

Notre génération qui, malgré tous les avantages dont elle bénéficie, hésite à bouger et à trouver le culot de s’imposer doit prendre conscience de sa force au sein de la convergence nationaliste ! De cette génération qui sait, souvent, de manière arrogante, interroger ses pères et mères sur ce « qu’ils ont fait » ou « n’ont pas fait », durant ces dernières années mais qui ne sait prendre ses propres positions … De cette génération qui ne sait même pas tirer les leçons qu’elle devrait tirer de ses erreurs, de ses errements …De cette génération qui petit-à-petit fait un mauvais usage de nos organisations politiques ! 
Le Front de Défense de la France ne comprend pas cette faiblesse et veut aboutir à des principes de fonctionnements qui rétablissent la primauté du Peuple. Fonctionnement certes anti-démocratiques mais qui veulent déterminer d’autres axes stratégiques de l’action ! 
Aujourd’hui, en France, si personne ne tend à s’engager activement dans le combat pour les idées et l’occupation de la rue, alors bientôt nous n’aurons plus la possibilité de changer le monde selon nos désirs, selon nos besoins. Aussi, nous ne pouvons pas accepter de gagner sagement le conformisme ambiant. Et puisque nous refusons de croire aux fables, qui du libéralisme et socialisme à la sauce marchande, nous devons nous constituer comme les instruments fidèles d’une pensée politique qui permette l’échec des conceptions politiques fondées sur les modèles de la société multiculturelle. 
Effectivement, le grand projet du changement social, de la mise en place d’une société nouvelle nous impose de modifier nos manières de penser les choses est une affaire de discipline nationaliste qui déterminera des actes d’intelligence collective en vue de réaliser une action qui porte radicalement ses fruits. L’action prend toujours un tout autre sens lorsqu’elle est pensée et partagée. Elle ne saurait être réduite à n’être que le « faire valoir » de certaines structures contre les autres. La victoire sera dans tous les cas au bout du chemin. 
Cette démarche qui fait de la convergence l’instrument fidèle de la stratégie de combat nationaliste vient déjà des échecs rencontrés. Elle ne saurait dans tous les cas se satisfaire d’une conception de l’engagement fondée sur la reconnaissance des lois d’une démocratie quoi nous rejetons. C’est l’action du soldat politique nationaliste qui, en tant qu’être social intelligent et formé, crée, par ses actions, sa pratique, les conditions historiques mais aussi les conditions d’émergence de sa propre conscience sociale et de ses valeurs morales
Par exemple, dernièrement un Parti ami a voulu organiser une manifestation contre l’implantation d’une communauté de migrants au cœur de la Bourgogne. Quelques instants, cette bourgade de Pouilly-en-Auxois, pour de nombreux camarades, donnait un sens au combat pour les idées. Mais c’était sans compter sur l’interdiction de tout attroupement. Le gouvernement de Manuel Valls a rendu impossible l’expression libérée de nos idées
C’est aussi l’acceptation de la loi disciplinaire républicaine qui a fait que chacun ait accepté, sans rien dire, la dérive de la démocratie totalitaire. Toutefois, et c’est aussi un bon point, l’action même de Manuel Valls prend un tout autre sens puisque nous savons tous à présent que toute manifestation sagement organisée devient dans ces conditions une véritable caricature de ce qui devrait constituer un acte d’intelligence collective apaisée. L’action qui devra être la nôtre prend alors un tout autre sens. Elle doit être impérativement déconnectée de ce qui devrait démocratiquement en constituer le fondement. 
Le gouvernement socialiste, dans ses interdictions et dans la chasse qu’il fait des groupes nationalistes, fussent-ils jugés trop radicaux, doit nous permettre de nos organiser selon une projection plus offensives dans le futur. Et si aujourd’hui les organisations qui revendiquent plus ou moins sérieusement et avec plus ou moins de détermination que les choses changent dans ce pays, il convient de changer nos manières de penser l’action. Jamais effectivement ne seront prises en compte nos initiatives si elles ne savent ébaucher de nouveaux rapports sociaux et militants. 
On remarquera par exemple, et c’est ceci qu’il convient de reprendre, que dans une note interne, la direction de la police nationale prépare ses services à une « mobilisation exceptionnelle », pour pouvoir faire face à « des manifestations revendicatives » pressenties pendant la COP 21. Notamment celles des Black Blocs, des militants d’extrême gauche ultra-violents. 
L’objectif de l’efficacité politique doit nous occuper et l’organisation de la pensée revendicative nationaliste doit se construire sur de nouvelles bases. Ne pas le faire, c’est accepter une nouvelle fois de se soumettre aux lois de la République, ce qui est le signe de la dégénérescence et de l’impuissance de nos groupes ! 
S’agissant de Pouilly-sur-Loire, il n’y avait, dans tous les cas, aucun élément factuel qui aurait pu prouver qu’il y avait un risque exceptionnel de gravité. Qu’il s’agisse du Parti de la France, ou même et surtout du Front de Défense de la France, aucune des deux organisations politiques n’avait le but de faire échouer leurs revendications en étant violent. Cependant la réalité sociale actuelle ne permet pas aux activistes nationalistes de s’exprimer ! Nous devons observer d’autres stratégies ! 
Le Front de Défense de la France compte dans ses rangs d’anciens nationalistes autonomes. Selon les valeurs que ces éléments veulent partager avec nous, il est évident qu’aujourd’hui, pour se faire entendre, le clan le plus rusé, le plus habile, ayant le moins de scrupules, s’impose et écrase tous les autres. On comprend dès lors que si l’idéologie joue un rôle considérable dans nos rangs, la réalité du terrain et les maigres libertés d’expression qui sont les nôtres, nous imposent de ne plus rester dans les limites du politiquement correct
Aussi le Front de Défense de la France pose cette question : Devons nous changer nos méthodes de revendication politique pour fuir l’incontestable échec de notre Mouvance ou donner un caractère servile à nos engagements ?
Devons nous intégrer les modèles de pensée dominante ou devons nous nous entraîner aux techniques militaires ? Devons-nous, comme le réclament certains de nos membres les plus radicaux développer de véritables tactiques de guérillas urbaines ? Devons nous nous habiller de noir et nous masquer afin de nous rendre invisibles et briser tout ce qui fonde l’oppression du Pays réel ? 
Devons-nous imiter l’ultra gauche afin d’assurer la cohésion de tous les nationalistes contre la gouvernance du capitalisme apatride ?
Le combat qui s’annonce doit être celui d’une marche forcée ! Nous devons brûler les étapes ! Nous devons faire rapidement évoluer les mentalités, les valeurs et la conscience supérieure nationaliste !
En avant pour le combat, en avant pour la victoire afin que VIVE LA FRANCE !

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