Bernard Plouvier
Les Français battent des records en matière de chômage, d’attentats et de fiscalité. Ils ont au moins la consolation d’entendre des discours. Auparavant, nous avions de beaux parleurs ; désormais, nous jouissons du spectacle de moches parleurs. Y avons-nous gagné ? Pas vraiment, mais nous vivons une époque fade et niaise, de politiciens médiocres, laids et gras… peut-être à l’instar d’une majorité d’électeurs.
Depuis 2014, les Français de souche européenne ont enregistré plus de victimes innocentes d’attentats meurtriers que durant la tant lamentée période de l’OAS. En réponse à l’angoisse de ses administrés, notre plantureux Président inaugure les chrysanthèmes, à sa façon gauche et bedonnante, dans laquelle des millions de citoyens doivent se reconnaître.
Lui-même et son gouvernement se sont gargarisés de formules martiales et n’ont en pratique rien fait. Les immigrés extra-européens entrent sur le territoire national, avec ou sans autorisation et, dans les deux cas, sont accueillis par des organismes sociaux qui déboursent des allocations, même pour les clandestins ! Les islamistes se considèrent chez eux, alors qu’ils sont chez nous.
Quelques apprentis terroristes sont-ils interpelés. Aussitôt, de bonnes âmes hurlent que ces assassins en puissance « ont des droits ». Les honnêtes citoyens, ceux qui travaillent et paient des impôts, n’ont que le droit de se taire, puisque la police, fort complaisante lorsque manifestent les immigrés très violents, tabassent les autochtones dès que ceux-ci réclament le retour à l’état antérieur : l’époque où la France était massivement peuplée d’Européens, l’époque où l’islam se faisait discret voire silencieux.
On expulse une dizaine d’activistes gueulant rituellement, tous les vendredis soirs, leur haine de l’infidèle, mais il en reste des milliers sur le sol français et de doctes collaborateurs de l’invasion dissertent sur la « place de l’islam en France ». La réponse est pourtant simple : la République française étant une, indivisible et LAÏQUE, l’islam en tant qu’organisation et que civilisation n’a aucune place.
Les mahométans peuvent croire ce qu’ils veulent, mais ils ne doivent en aucun cas se manifester en dehors de leurs mosquées, qui servent parfois de salles de sport de combat. Quant à la loi coranique, elle n’a pas à être pratiquée en Europe, terre enfin civilisée où la barbarie n’a plus sa place… esclavage, polygamie et asservissement des femmes, mise à mort pour blasphème, tout cela est peut-être bien assorti à un mode de vie primitif et peut sembler utile à des Africains et à des Moyens et Proches-Orientaux, mais n’a rien à faire en Europe.
Évidemment, il y a l’islamo-pétrodollar, l’islamo-dollar du haschich et du trafic des opiacés. Il est certain que roitelets, émirs, présidents islamiques (Saddam Hussein et Muhammad Kadhafi étaient réputés généreux) savent graisser la patte des toutous sages. Il faudra bien, un jour, que des juges s’attèlent à la lourde tâche de rechercher et d’identifier corrompus et corrupteurs. Nous n’en sommes pas là, hélas !
Pour l’heure, nous contemplons le spectacle d’un Président de la Ripoublique encensé, fêté comme une starlette de cinéma, désigné « Homme d’État de l’année »… pour un Français, cela paraît le gag du siècle. C’est peut-être le symbole du rapprochement de l’esprit de New York et de celui d’Hollywood. C’est surtout une pitoyable comédie, jouée par des utilités. Pendant ce temps, la France continue d’aller de mal en pis. Et c’est logique.
Pratiquer en Europe la « politique du chien crevé au fil de l’eau », ce ne peut qu’être applaudi par les maîtres de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle. L’immigration-invasion, par l’effet du nivellement culturel et du métissage des populations, ne peut que faire disparaître la fraction des Européens dotée d’esprit inventif et critique.
On comprend dès lors que notre plantureux Président, du fait de sa politique globalo-mondialiste et de l’encouragement à l’invasion islamo-africano-orientale, soit un non-chef d’État qui plait à nos véritables maîtres. Mais d’autres non-valeurs, d’autres collaborateurs en puissance de la globalo-mondialisation se bousculent pour lui succéder dans sa sinécure. On peut penser que notre « Président » vient de recevoir son prix de consolation.