Si le Parti Socialiste, par son abstention, permettait au gouvernement Rajoy de poursuivre sa route, ce serait une grande leçon de démocratie.
Alors qu’elle bouleverse la politique interne de l’Espagne et fait la une de tous les médias nationaux, il est étonnant, pour ne pas dire stupéfiant, que la démission de Pedro Sánchez, leader du PSOE (Parti socialiste espagnol), n’ait pas eu davantage de résonance auprès du Président et du gouvernement français.
Pedro Sánchez exigeait, une nouvelle fois, de dire « NON » à la formation d’un nouveau gouvernement dirigé par Mariano Rajoy et le PP (Parti populaire).