Un communiqué de Breiz Atao cliquez ici :
Que voulons-nous ? C’est la question qui se pose logiquement une fois que nous avons énoncé ce dont nous ne voulons pas et, plus précisément encore, ceux dont nous ne voulons pas.
Pour le peuple breton, le moment est venu d’en finir avec les résidus de socialisme post-chrétien qui, mâtinés de spasmes ovariens, tiennent lieu d’idéologie dominante à la bourgeoisie sénile qui milite activement pour notre destruction raciale.
Nous ne devons plus tolérer de compromis avec la vieillerie dégénérée qui chie son indignation compassionnelle dans les cerveaux frais de notre jeunesse. Notre tâche, notre mission historique face à l’invasion africaine et musulmane, consiste à dresser la jeunesse bretonne dans l’esprit guerrier, éveiller son instinct de conservation face aux ennemis de l’intérieur et de l’extérieur qui œuvrent activement à son anéantissement.
L’avenir de tout peuple repose sur les épaules de sa jeunesse. De celle-ci dépend la continuité d’une longue chaîne de transmission.
Des empoisonneurs conspirent actuellement pour l’assassiner par procuration. Les noms de cette fin de race au regard bovin sont connus : ce sont tous ces curés de l’humanitarisme à faces diarrhéiques qui se bousculent sur les ondes ou qui se répandent dans les colonnes de la presse humanitaro-marxiste pour lui ordonner de consentir au suicide ou à la mort lente.
Nous devons en finir avec les cagots armoricains du socialisme pourrissant dans la marmite de l’égalitarisme. La seule présence, au sein du corps national, de ces gardiens de vaches faisant dans leurs couches à la seule vue d’une manifestation de virilité confine à l’obscénité.
Pour nous et notre jeunesse, nous ne voulons pas nous déféquer dessus tout en pleurant afin de communier avec les masses inaptes du tiers-monde. Nous sommes des athées de cette religion de l’échec.
Nous voulons forger une race de maîtres, donc d’hommes libres. Nous ne voulons pas de la grande partouze négrificatrice que nous promet la curaille rouge de l’église antiraciste crépusculaire. Ce serait la fin de la civilisation et de la culture européennes.
La rage, la colère, la furie doivent se lever dans les cœurs de la jeunesse celtique. C’est cette colère primitive que nous devons réveiller, sursaut vital indispensable au salut de notre peuple. Notre objectif consiste à doter celle-ci d’une volonté d’acier et d’une haute conscience d’elle-même et de sa tâche. Nos conceptions doivent progressivement refonder son imaginaire afin qu’elle remette en mouvement notre peuple, fort de sa mémoire profonde.
Si nous voulons affranchir notre peuple, il nous faut dissiper les ferments de mort qui stagnent dans les marais puants qui nous entourent et qui conduisent actuellement nos enfants à l’abîme.
Et pour cela nous devons imposer l’élitisme et la culture de la guerre. Ce qui suppose une claire identification de l’ennemi.