Les clandestins sont, non seulement, une chance pour la France mais aussi pour les maladies infectieuses éradiquées depuis longtemps de notre territoire.
Le 5 septembre 2017, le bulletin épidémiologique hebdomadaire publiait un rapport relatif à l’état de santé des demandeurs d’asiles présents en France. Il fait état de cas de gale, de tuberculose et de grippe H1N1 dans la jungle de Calais. Ce rapport note que la proportion d’hommes chez les clandestins parisiens atteint 97 % et que surprise 25 % d’entre eux sont en surpoids !
Il souligne en outre, que 84 % des clandestins sont Soudanais, Afghan et Erythréen. Nous sommes donc bien loin du cliché de la famille syrienne persécutée par le régime de Bachar El Assad. Une question reste néanmoins en suspend : quel est le coût de traitement de ses maladies pour le contribuable français ?