Sur le site de l'Institut d'Histoire sociale
Innombrables auront été les réactions les unes légitimement indignées, mais aussi, pour d'autres, faussement naïves face aux casseurs du 1er mai identifiés aux "blackblocs". Cyril Bennasar écrit ainsi dans Causeur du 3 mai 2018 sous le titre "Écoute-moi bien, petit con de casseur privilégié - La France, la vraie, te rit au nez" :
Écoute petit con, toi qui contestes qui revendiques et qui protestes, qui brailles et qui manifestes, qui défiles dans nos villes et qui nous les casses, de plus en plus souvent et de plus en plus fort, je te connais comme si je t’avais fait. Je te connais comme si j’étais ton père parce que j’en ai l’âge mais surtout parce que moi aussi à vingt ans, j’étais anarchiste. (...) → Lire la suite de cette chronique
Corée du Nord : elle reste communiste et totalitaire
La poignée de main symbolique du 27 avril, entre leurs dirigeants respectifs, à Panmunjom, frontière séparant les deux pays coréens, n'a pas trompé tout le monde. Pierre Rigoulot, directeur de l'Institut d'Histoire sociale et auteur de trois livres sur l'État voyou de Corée du nord, refuse de croire aux miracles. Dans un entretien réalisé par Paul Sugy et publié le 30 avril par Le Figaro , il souligne que, pour symbolique qu'il soit, le rapprochement affiché
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Venezuela : la crise des migrants que l’on cache
Alors que, souligne dans L'Opinion Éric Le Boucher, les yeux du monde sont tournés vers les réfugiés en Syrie, les embarcations de fortune partant de Libye ou la fuite des Rohingya de Birmanie, … le drame humanitaire d’ampleur équivalente des Vénézuéliens passe sous silence :
Les opinions publiques, poursuit-il, particulièrement en France, détournent le regard en toussotant, gênées, refusant d’admettre que le modèle de la "révolution bolivarienne"d’Hugo Chavez tant admiré par Jean-Luc Mélenchon, a tourné à la ruine, à l’oppression criminelle, à la famine(...) → Lire la suite de cette chronique