Les trafiquants d’êtres humains, ces passeurs de « migrants », ont un business de mieux en mieux organisé. Ils profitent des communications via les réseaux sociaux pour organiser les traversées des clandestins en Méditerranée vers les côtes italiennes.
La page Facebook HaRaGa Dz, donne des informations sur les voyages « de l’espoir » le long de la route algérienne, qui porte des milliers de migrants des côtes africaines aux côtes de Sardaigne.
Sur les réseaux sociaux, des pages comme celle-ci, qui présentent la traversée vers l’Italie comme un voyage normal à effectuer avec une quelconque agence de voyage, sont légion. On y trouve les prix, les informations pour partir en embarcations, les ports de départ, les trajets, des photographies attractives du pays de destination, de la coupole de la place Saint-Pierre au Forum romain… Pour aller de Bodrum, au sud-est de la Turquie, à Cosenza dans le sud de l’Italie, le migrant clandestin devra débourser entre les 2 000 et 4 000€.
En 2019, sont arrivés en Italie selon les chiffres officiels du ministère de l’Intérieur, donc inférieurs à la réalité, 7032 personnes, mais seulement 2 sur 8 sont arrivées avec des bateaux marchands, les navires des ONG et des gardes-côtes. 80 % ont débarqué en Italie de manière autonome, sur des petites embarcations et zodiacs.
Ainsi pendant que certains politiques essayent de réguler, de stopper ces flots de « migrants » illégaux, en se mettant à dos toute la bien-pensance, la conscience morale universelle, le pape François, ces voyages favorisant cette immigration illégale s’organisent et se payent au vu et au su de tout le monde sur internet, Facebook, Skype.
Pour comprendre comment on entre si facilement en Europe, ne regardez donc pas la mer mais Facebook et les autres géants des réseaux sociaux aux mains des purs et durs mondialistes…
Francesca de Villasmundo