Bernard Plouvier
Nul ne l’ignore, la 3e épidémie de coronavirose, devenue pandémie (assez peu meurtrière pour l’instant : 7% de morts sur un peu moins de 3,4 millions de cas répertoriés et traités), nous vient de l’ex-Céleste Empire.
En bonne logique, la République communiste-capitaliste de Chine devrait être mise au ban de la politique internationale pour plusieurs excellentes raisons.
D’abord, par l’absence d’hygiène régnant dans ses campagnes et villes arriérées, d’où nous viennent des épidémies. C’est le devoir d’un État moderne que d’assurer l’hygiène partout dans le territoire du pays. Ce fut réalisé en Occident, de 1880 à 1960. Aux Chinois de démontrer qu’ils sont capables de faire entrer leurs recoins les plus attardés dans le XXe siècle, avant de prétendre diriger quoi que ce soit dans notre XXIe siècle.
Ensuite, parce que la Chine ne respecte pas – ou très mal – la législation internationale sur les brevets de fabrication et de commercialisation, et parce que son économie de copiage sans vergogne des inventions occidentales lui permet d’exporter des produits de très médiocre qualité, fabriqués à la chaîne par des ouvriers sous-payés... en quelque sorte, une économie assez proche de l’esclavagisme.
En outre, les cadres de la République populaire de Chine sont fortement corrompus, fonctionnant comme une mafia cynique et brutale.
Après avoir exporté ses virus (comme autrefois le Yersinia pestis), le gouvernement chinois a singé les bons Samaritains, en « conseillant » aux bonzes de l’OMS – dont l’incompétence a toujours fait la joie des médecins occidentaux – un « Confinement pour tous »... d’où elle ne pouvait que sortir la première, grâce à ses trucages statistiques.
En outre, en une période où la Chine communiste-capitaliste était en train de perdre sa guerre commerciale face à un Donald Trump en très grande forme, ce confinement imposé à l’Occident lui permettait non seulement de prendre de l’avance, mais aussi de générer un énorme chômage aux USA, certes temporaire, mais capable de briser l’image de marque du très bon Président Trump, avec l’aide de la presse cosmopolite et globalo-mondialiste, ethniquement très typée, capable de proférer tous les mensonges pour abattre un nationaliste.
En une période où les Occidentaux ouvrent enfin les yeux sur l’immense péril que leur fait courir la très stupide désindustrialisation des USA et des États d’Europe occidentale et scandinave, voulue par les spéculateurs de la mondialisation, l’économie chinoise devrait repartir en première position et inonder l’Occident de sa pacotille bradée à prix défiant toute concurrence, grâce à l’exploitation de son milliard d’ilotes sous-payés et dépourvus d’une protection sociale de qualité, grâce aussi à sa politique de copie à bon marché des excellents produits occidentaux.
Pour l’heure, les honorables Chinois exportent des milliards de « masques » qui sont au-dessous du médiocre et vont les donner, à des centaines de millions d’exemplaires, aux gouvernements d’Afrique pour mieux se positionner dans l’exploitation des richesses de cet énorme continent.
Les Chinois ne s’associent pas aux crétins d’Occident dans la politique illégale – car nul, et notamment pas Macron, n’a demandé l’avis des nations créditrices – de remise de la Dette des États africains, dont la quasi-totalité des gouvernants sont eux aussi des mafieux. Mais les Chinois, avec la complicité de l’OMS, vont se présenter en « sauveurs de l’Afrique », par le don de « masques » inopérants.
Et le pire, dans cette triste affaire, sera d’entendre des clowns et des imbéciles vanter, en Occident, la « charité » des Chinois, alors qu’il faudrait profiter de cette pandémie pour réindustrialiser massivement l’Occident et mettre la Chine au ban des États, pour cause de gangstérisme économique et de politique sanitaire désastreuse, laissant se développer des épidémies, par manque d’hygiène de l’énorme frange arriérée de sa pléthorique population.
En bonne logique, il incombe aux Occidentaux de tirer les leçons des catastrophes de la globalo-mondialisation et du stupide partenariat avec des individus malhonnêtes, menteurs et tricheurs.
Il faut se débarrasser de la lubie du « Gouvernement Planétaire unique », qui n’est rien d’autre que d’offrir le vrai pouvoir aux maîtres de l’économie globale. Il importe avant tout de se débarrasser de la niaise propagande mondialiste, imposée par des spéculateurs cyniques.
Il faut secouer l’arrogance des gouvernants chinois et leur rappeler que, sans la technicité occidentale, ils ne seraient rien d’autre que des fossiles de l’inefficacité maoïste. Il ne faut pas non plus oublier que la Chine est durement concurrencée par la sidérurgie et l’électronique indiennes, par l’Indonésie, les Philippines et l’Indochine pour la commercialisation de textiles bas de gamme. Enfin, les classes moyennes des grandes villes chinoises aspirent à un minimum de liberté d’expression et on peut raisonnablement s’attendre à des révoltes, voire à une révolution antitotalitaire.
Les Occidentaux doivent amorcer une saine réflexion, puis agir vite et de façon impitoyable. Ils ne doivent plus être les clients de hautains Chinois plagiaires et esclavagistes, pas plus qu’ils ne doivent se comporter en larbins des roitelets mahométans du pétrole, qui ont profité de l’aubaine pour tenter de ruiner l’industrie pétrolière occidentale.
Une réflexion saine doit partir d’indéniables réalités. C’est en Occident qu’est née la vie moderne. Le Tiers-Monde n’a fait que copier, imiter – et pas toujours bien -, puis nous a exporté des dizaines de millions d’êtres humains de qualité très variable et parfois plus que discutable... en plus de nous avoir généreusement fait don de quelques épidémies (vérole, peste, choléra, parasitoses, SIDA et autres fièvres exotiques).
L’Occident, étendu des USA à l’énorme Russie, peut-il vivre en quasi-autarcie, pour tout ce que l’on peut raisonnablement produire ? Bien sûr ! Et cela n’empêchera nullement d’exporter nos produits, en évitant toutefois de vendre le haut de gamme de notre technicité, qui peut être imité par d’habiles contrefacteurs.