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Mort de Giscard. N'ayons pas la mémoire courte.

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L'avis de Jean-François Touzé
Quel que soit l'âge auquel elle survienne, la mort d'un homme est toujours regrettable.
Mais au milieu des hommages et des éloges, souvenons-nous que Valéry Giscard d'Estaing ce fut 48 ans d'ambitions effrénées suivis de 7 ans de "démocratie libérale avancée", de gestion dilettante de l'Etat, de laxisme judiciaire, de préférence économique de classe, de faiblesse et de dépendance  internationales, de lois "progressistes", d'engrenage immigrationniste, qui entraînèrent le début de la dislocation morale, sociétale, politique et identitaire française et ouvrirent tout naturellement la porte à l'arrivée au pouvoir d'un socialisme plus que radical. Ce fut ensuite 39 années de rancœur, d'introspection psychologique, de romans grotesques, 17 ans  de fauteuil de complaisance à l'Académie française et un long reste de vie marqué de tentatives ridicules de retour au sommet et d'engagement nationalicide européo-mondialiste.
De tout ce fatras subsiste quand même le haut fait de Kolwezi grâce au REP du colonel Erulin.
Sa disparition sera bien sûr pour nos compatriotes qui ont vécu les années 60 et 70 l'occasion de se laisser aller à une vague d'émotion et de nostalgie. N'ayons pour autant pas la mémoire courte
Dieu ait son âme. Mais sa mémoire est de celles que la France ne doit pas honorer.

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