Charles-Henri d'Elloy
Les gens perdent toute notion de discernement, de relativité et de bon sens. J’en ai assez de m’entendre dire : « si vous aviez un proche mort du coronavirus, vous mettriez un masque ». Eh bien non ! Ce serait aussi stupide que de fumer avec un fume-cigarette sous prétexte que grand-papa est mort d’un cancer du poumon. Car le masque dans les lieux publics ne protège de rien à part de la mauvaise haleine et de 135€ d'amende.
Mais il y a bien plus grave : à cause de toutes ces mesures imbéciles (gestes barrière, masque, regroupements interdits…), de nombreuses personnes âgées restent isolées, sans soins et meurent dans la plus triste et honteuse solitude. Le voilà l’égoïsme des promoteurs du masque et des « déconfineurs avec prudence ». Et puis, le port du masque entretient la peur pour un virus inoffensif au regard du nombre de décès, d’autant que l’immense majorité de ces personnes décédées souffraient de pathologies chroniques (diabète, angine de poitrine, asthme…)
Je ne porte pas ce masque qui, pour moi, n’est qu’une muselière marquant l’asservissement à des autorités au mieux dépassées, au pire nuisibles et coupables de mettre un pays à plat. Alors, oui, ce virus est très dangereux, mais pas pour des raisons sanitaires, non. Il est très dangereux car il rend une partie de mes concitoyens irraisonnables, crédules, égoïstes, peureux et surtout, il a restreint en neuf mois beaucoup de nos libertés. Sur la mortalité, il faut ouvrir les yeux. Dans ma ville où nous avons cinq maisons de retraite nous avons vu qu'il n'y a pas de seconde vague. Les chiffres de mortalité sont faux car ils sont hyper gonflés pour obtenir les subventions pour le personnel. Je l'ai vu de mes yeux. La vraie mortalité du coronavirus est le nombre de suicides de petits entrepreneurs qui a explosé en six mois.
Sur un plan plus spirituel, j’ajoute qu’avancer masqué est le propre du démon. Le visage est l’expression de l’âme, il est le lieu de la rencontre. Le fait de le dissimuler engendre la mascarade. Le masque nous ôte notre identité pour devenir un individu et non plus une personne. Nous voyons ici un bel exemple de l’adage : « L’enfer est pavé de bonnes intentions ».
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