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Emeutes immigrées de 2016 : un général explique qu’il préfère sacrifier ses gendarmes plutôt que neutraliser les tireurs

Bel aveu de la part de l’ex-chef de la gendarmerie du Val-d’Oise, au premier jour du procès des émeutes allogènes qui avaient – dans les communes de Persan et Beaumont-sur-Oise (à une trentaine de kilomètres de Paris) – suivi la mort d’Adama Traoré (délinquant africain mort lors d’une interpellation).

Sur les trois nuits d’émeutes, du 19 au 23 juillet 2016, « c’est un bilan assez lourd : une centaine de coups de feu sur les forces de l’ordre, 35 blessés dont 13 par arme à feu, des dizaines d’incendies et surtout une population traumatisée »énumère devant le tribunal le général T., colonel commandant du groupement de gendarmerie du Val-d’Oise à l’époque des faits.

L’Union rapporte :

« […] « Cette première nuit a constitué véritablement un traumatisme pour les militaires engagés. On s’attendait à des mortiers, des bouteilles incendiaires, mais surtout pas à se faire tirer dessus », relate le général en uniforme.
Il faut l’intervention des véhicules blindés du GIGN (Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale) pour ramener le calme vers 4 heures du matin dans le quartier de Boyenval, où réside la fratrie Traoré. […]

« À plusieurs reprises, on m’a demandé l’autorisation d’abattre des tireurs : on ne l’a pas fait », confie-t-il. Selon lui, éviter un nouveau mort était vital à la préservation de la « paix publique » sur le long terme. Quitte, pour les forces de l’ordre, à être en situation d’infériorité sur le terrain au plus fort des émeutes et des tirs.

– Donc là vous décidez en conscience, dans le schéma où un émeutier ou un gendarme doit être tué, que vous prenez le risque qu’un de vos hommes soit blessé ?, l’interroge une avocate des parties civiles.

– Oui, j’ai accepté de faire prendre ce risque aux hommes, répond le général T.

Sa décision a suscité beaucoup d’« incompréhensions » et de « ressentiment » dans les rangs de ses subordonnés, reconnaît-il. Mais ce sang-froid était d’après lui nécessaire pour éviter une fracture irréversible entre les forces de l’ordre et les populations de ces quartiers sensibles. […] »

A comparer avec le traitement (par grenades explosives) réservé aux Gilets jaunes, qui avaient le mauvais goût d’être français.

Rappelons au passage que la grande majorité des hauts gradés de la gendarmerie sont francs-maçons.

Le régime est prêt à sacrifier même ceux qui sont là pour le défendre (c’est la première mission des forces de l’ordre) pour ne pas froisser les hordes qu’il fait venir en France. Les gendarmes doivent y réfléchir…
La République a peur d’affronter ces populations ; elle est incapable de protéger les Français, et elle leur prépare des lendemains terribles.

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