Le délire vaccinal du gouvernement se poursuit et s’intensifie, puisqu’il s’attaque désormais à nos enfants. Depuis le 12 juillet, en effet, le président de la République a annoncé la mise en place d’une incitation maximale à la vaccination qui passera par une batterie de lois liberticides, en particulier pour la tranche des 12-17 ans.
Le texte prévoit, notamment, de leur imposer le même passe sanitaire que les autres citoyens, dans tous les lieux de loisirs et de culture, dans les lieux de vie publics ainsi que dans les trains, avions et cars pour les longues distances. Dans les nouvelles mesures est également annoncé le fait de rendre payants les tests PCR, faisant ainsi glisser le passe sanitaire vers un passe vaccinal qui ne dit pas son nom.
Si la mise en place de ces dispositions complique la vie de millions de Français, elle est particulièrement injuste pour les enfants, victimes collatérales d’un gouvernement qui renvoie la responsabilité de ses incuries sur son propre peuple. Car si la mise en place de mesures drastiques, la stratégie du confinement ou la recherche d’un traitement efficace étaient justifiées dans le discours de nos politiques par la nécessité de désengorger les hôpitaux surchargés, force est de constater que rien n’a changé depuis plus d’un an au niveau de la création de lits ou dans la formation de personnel adapté. L’État en est directement responsable et la stratégie du « tout vaccin » n’est que la réponse méprisable d’un gouvernement qui n’assume pas ses propres désertions.
Dans le même temps, de nombreuses structures accompagnent cette incitation vaccinale et prônent insidieusement une extension du passe dans les collèges, lycées et universités. Ainsi, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), ainsi que le Conseil d’orientation de stratégie vaccinale (COSV) recommandent que l’utilisation du passe sanitaire soit étudiée lors de la reprise des cours dans les établissements scolaires. Bien que Jean Castex ait assuré qu’il n’y aurait « pas de passe sanitaire dans les établissements scolaires », il a également affirmé vouloir « mettre le paquet » dès septembre pour pouvoir vacciner tous les enfants de 12 à 17 ans qui ne l’auront pas été et installer des pôles de vaccination dans les collèges et dans les lycées. Signe de la volonté du gouvernement d’imposer ces mesures à l’école par des moyens détournés, une incitation massive et contraignante, contrevenant au « consentement libre et éclairé » qui régit normalement notre modèle sanitaire, a été démarrée par l’Éducation nationale par le biais d’appels à la vaccination, d’affichages dans les établissements et par la mise en place de débats délibérément biaisés sur « l’hésitation vaccinale » pour influencer les élèves. Cette pression sociale dans le climat anxiogène que nous connaissons depuis plus d’un an provoque chez eux une angoisse qui les pousse à adopter le vaccin contre leur gré. Ainsi, contraintes et intimidations régissent désormais la vie des 12-17 ans.
Or, les études scientifiques et le corps médical établissent que les enfants et les adolescents ne développent pas de formes graves du Covid-19. Représentant moins de 0,1 % des hospitalisations, leur mortalité est très faible et généralement liée à des comorbidités. Les forcer ainsi à se faire injecter un vaccin encore en phase expérimentale semble particulièrement risqué. Il faut noter que même le président de la Commission permanente de vaccination à l’Institut Robert-Koch (STIKO), Thomas Mertens, a avoué sur plateau ne pas vouloir faire vacciner ses propres petits-enfants en bonne santé. Qui pourrait lui en vouloir, d’ailleurs, étant donné que de nombreux autres traitements prometteurs sont déjà utilisés aux États-Unis, au Canada, en Corée du Sud ou en Allemagne sans les effets désastreux de l’ARN messager ? Si les enfants et adolescents ne sont pas sujets à une forme grave du virus et s’il existe des traitements précoces déjà éprouvés dans de nombreux pays, est-il raisonnable de les vacciner en les exposant à de possibles effets secondaires à court et à long terme ?
Est-il également acceptable que l’État s’accapare la responsabilité de la santé des enfants, bafouant ainsi l’autorité naturelle et légale des parents ? Voilà pourquoi ces dispositions gouvernementales sont inacceptables. D’autres moyens existent pour traiter la crise sans impliquer nos enfants, d’autres traitements et d’autres stratégies que le vaccin à tout prix. Ils doivent être utilisés en priorité afin de combattre le virus tout en sauvegardant nos libertés.