La température moyenne de la planète a augmenté d’environ 1°c depuis un siècle. Selon le GIEC, la cause principale de cette hausse serait le CO2 d’origine humaine et, pour sauver notre terre d’une catastrophe imminente, il faudrait faire baisser nos émissions de CO2. C’est le sens de l’engagement pris par les nations qui ont signé l’accord de Paris. Dans la droite ligne de ce pacte, la Convention Citoyenne sur le Climat s’est fixée comme objectif de réduire de 40 % nos émissions nationales. Un effort énorme pour la France (et un coût faramineux) mais qui ne correspond pourtant qu’à 0,25 % des émissions mondiales.
Car ce ne sont plus les pays développés qui comptent, mais l’Inde, la Chine, et demain l’Afrique qui ont tous un besoin vital de pétrole, de gaz naturel et de charbon pour sortir leurs populations de la pauvreté comme nous l’avons fait nous-mêmes. Les projections officielles de ces pays montrent ainsi que les émissions mondiales de CO2 vont inexorablement continuer à croître. Faut-il alors craindre la catastrophe ? Non. Il y avait 4 fois plus de CO2 dans l’atmosphère au temps des dinosaures et tout allait bien. Si nous avons peur, c’est parce qu’on nous fait peur car la peur rend docile. Toutes les religions le savent bien. Pourtant, il ne devrait s’agir ici que de science. L’Homme est-il vraiment responsable de tous ces maux ? Conduit par une vraie démarche scientifique et en s’appuyant sur les propres chiffres du GIEC, Christian Gerondeau montre qu’il n’en est rien.
Surtout il montre que cet incroyable manipulation est le fruit de quelques idéologues, qui n’y connaissent absolument rien au climat. Il évoque par exemple Sven Teske :
C’était donc un dirigeant officiel de Greenpeace, payé par le lobby de l’industrie photovoltaïque, qui était à l’origine du seul scénario qui affirme contre toute évidence que près de 80% de l’énergie de la planète pourraient être fournis en 2050 par les énergies renouvelables.
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