Interrogé sur les leçons à tirer de ce drame toujours en cours, le maire Patrick Davet a d’abord tenu à rappeler que la priorité était, à l’heure actuelle, d’arrêter les flammes.
“Il va venir le temps des discussions, des responsabilités. Oui, sur le principe, si cette forêt avait été mieux entretenue, peut-être que le problème aurait été d’une ampleur différente. J’ai vu de mon bureau du 3e étage de la mairie ce feu partir quand on me l’a annoncé. C’était une simple colonne de fumée blanche. Et quand je pense aujourd’hui que l’on est à 6500 hectares… J’ai une colère folle, je ne veux plus que ça arrive, et il va falloir mettre des règles”, a-t-il déclaré à notre micro.