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Population russe en danger !

Les percée importantes ou minimes, des troupes  ukrainiennes sur le front, si elles restent provisoires car à court terme gérables par des contre-offensives russes (s'en donnant les moyens adéquats), elles restent avant tout un drame pour les populations civiles prises au milieu de ce maëlstrom militaire qui voient revenir les séides bandéristes de l'OTAN dans leurs villes et villages, l'écume russophobe aux lèvres.

Au lendemain de la capture ukrainienne de Balaklaïa, qui depuis a été suivie par celles de Koupiansk et d'une quarantaine de petits villages situés entre ces 2 villes d'environ 25 000 habitants (augmentée bientôt par le secteur d'Izioum en cours d'évacuation plus au Sud), l'ukrainienne Olga Chikunova, porte-parole du SBI (Bureau d'enquête d'État ukrainien) à déclaré :

"Après la libération de la ville de Balaklaïa par les troupes ukrainiennes, des mesures de filtration ont commencé dans celle-ci et dans d'autres localités."

"Filtration"... quel doux euphémisme pour décrire ce qui n'est autre qu'une épuration ethnique violente qui est décrite depuis plusieurs années par les responsables, les victimes et les témoins de ce programme nationaliste ukrainien ethnocentré et russophobe.
Car cette région de Kharkov, avec celles du Donbass et de la Novorossiya (d'Odessa à Dnipropetrovsk), sont identitairement russes et, malgré leur rattachement administratif à la République Socialiste Soviétique d'Ukraine, elles le sont restées indéfectiblement dans leurs vies quotidiennes, traditions, croyances, relations familiales et culturelles maintenues avec les parties de leurs territoires restés en Russie, et ce jusqu'à aujourd'hui. 

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