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La Hongrie de Viktor Orban mène un plan d'action commun avec l'Autriche et la Serbie pour lutter contre l'immigration illégale

La Hongrie de Viktor Orban mène un plan d'action commun avec l'Autriche et la Serbie pour lutter contre l'immigration illégale

Face à une pression migratoire sur l’Europe au plus fort depuis la crise de 2015, la Hongrie, l’Autriche et la Serbie vont renforcer leur coopération afin de lutter contre l’entrée de clandestins dans l’espace Schengen.

Autriche, Hongrie et Serbie allient leurs efforts contre l’immigration

Souvent confondues, à tort, par les populations du continent, l’Europe et l’Union européenne désignent pourtant deux réalités bien différentes. La Hongrie, l’Autriche et la Serbie viennent d’en faire la démonstration.

Un sommet réunissant les trois pays s’est tenu à Budapest lundi 3 octobre. Thème principal des discussions : la mise en place d’actions communes contre l’immigration illégale.

Lors d’une conférence de presse conjointe avec le Chancelier autrichien Karl Nehammer et le président serbe Aleksandar Vučić tenue à l’issue des entretiens, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a déclaré que cette pression de l’immigration clandestine sur les frontières européennes allait croissant. Comme en témoignent des chiffres de plus en plus alarmants. Cependant, il a déploré dans le même temps que l’exécutif de l’UE n’accordait que trop peu d’attention à ce phénomène, tandis que son pays est déjà confronté « aux problèmes de la guerre, des prix élevés de l’énergie et des sanctions ».

Tout en soulignant que « la récession économique et la crise alimentaire provoquées par la guerre et les sanctions vont également accroître la pression de l’immigration clandestine » sur l’espace Schengen, Viktor Orbán a regretté de n’avoir vu aucun changement dans la politique de sanctions de Bruxelles : « Nous essayons maintenant de faire face à la situation et de développer des mesures », avant d’ajouter qu’en plus de la pression migratoire venant de l’est, les frontières hongroises sont également « assiégées » par le sud, la route des Balkans occidentaux étant la plus concernée.

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Article en intégralité sur Breizh-Info 

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