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Callac : Riposte laïque dévoile la vérité sur Laure-Line Inderbitzin, l'adjointe immigrationniste responsable du grand remplacement

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Martine Chapouton

Source Riposte laïque 

À Callac, c’est Laure-Line Inderbitzin, la troisième adjointe, qui porte la culotte, notamment sur le désormais célèbre projet Horizon. Beaucoup d’habitants le disent sous le manteau, tant ils craignent les conséquences de leurs propos, dans une petite ville où la municipalité fait régner une forte terreur idéologique, qualifiant de « raciste » et de « fasciste » quiconque s’oppose au projet de Marie-France Cohen et ses 70 familles africaines. Soit 80 % de la population, selon les propos tenus par le maire lui-même, Jean-Yves Rolland, sur la place du marché, un mercredi matin, devant une quinzaine de témoins, dont les principaux animateurs de l’association « Les Amis de Callac et ses environs ».

Il se dit que, folle furieuse d’une telle faute de communication, Laure-Line Inderbitzin, aurait qualifié, dans l’intimité de quelques échanges, le maire de propos peu élégants, pour avoir tenu publiquement de tels propos, et qu’elle ne porterait pas le premier magistrat de la ville, agriculteur, dans une haute estime. Le mépris classique des prétendus intellectuels pour les hommes de la terre et les ouvriers…

Une curieuse personne que cette adjointe, aujourd’hui âgée de 45 ans. Scolarisée à l’école de Plusquellec, près de Callac, elle est donc une enfant du pays. Elle poursuivra ses études à Brest, avant de rencontrer son mari, avec qui elle s’installera à 10 km de Callac. Quatre enfants naîtront de cette union, avant que la bougresse ne décide de quitter brutalement son mari.

On la dit instable psychologiquement, et les rumeurs bruissent, dans Callac, sur certains faits passés inquiétants que par respect pour sa vie privée nous tairons.

Bien que possédant un lieu de vie à Callac, elle s’installera avec son nouveau compagnon à dix kilomètres de là. L’homme deviendra le maire de la commune où ils vivent, et, en bon élu de gauche, se prépare, malgré les réticences de la population, à installer des éoliennes.

Finalement, ils étaient faits pour se rencontrer, ces deux-là. Elle veut imposer des clandestins à une majorité de la population qui n’en veut pas, et il veut implanter des éoliennes à ses administrés, qui n’en veulent pas davantage. Un couple de gauche dans toute sa splendeur !

Pour des raisons que nous ignorons, Laure-Line les aime, les clandestins africains, et elle est la première à signer des pétitions, avec la gauche radicale, pour que leur régularisation soit la plus rapide possible, des fois qu’en France on puisse expulser des personnes qui n’ont rien à faire chez nous.

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Elle est aussi enseignante, notamment professeur de breton dans un lycée public. Certains esprits chagrins s’étonneront que dans un contexte où le niveau scolaire baisse tous les ans, on se permette d’ajouter une heure de breton en 6e, mais il paraît que cela fait partie de la reconnaissance des langues régionales, voulues par les instances européennes. Elle enseigne aussi officiellement le français. On espère qu’elle ne raconte pas aux élèves que c’est la langue de l’envahisseur…

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D’autres affirment que Laure-Line aurait l’arrêt-maladie facile, surtout quand sa hiérarchie ose être en désaccord avec elle. Sans doute la contrariété. Et nombre de parents, toujours sous le manteau, se disent choqués de l’orientation politique de ses cours. On craint de deviner que les élèves de Callac, comme presque tous les élèves de France, se voient laver le cerveau par le devoir d’accueil de l’autre, sans oublier la prochaine catastrophe climatique à cause de l’Homme. Il suffit de l’écouter parler, elle a tout à fait ce profil d’enseignant arrogant qui préfère rééduquer ses élèves que de les instruire.

Laure-Line a donc pris en main le dossier de Callac, et c’est elle qui, fidèle à ses engagements immigrationnistes, défend la copie avec ardeur, voire avec hargne, lors des différents conseils municipaux, suppléant un maire parfois dépassé.

Ne faisant guère dans la nuance, lors des deux rassemblements appelés par les opposants au projet Horizon, elle sera en première ligne des contre-manifestants, et ne verra aucun problème à cautionner, par sa présence, un rassemblement de gauchistes non déclarés aux autorités. Et bien sûr, elle prendra la parole, invectivera les opposants, les insultant politiquement, au nom de la lutte contre l’extrême droite, un terme dont elle ne paraît pas bien connaître la signification.

Mais c’est lors du deuxième rassemblement où la municipalité, sans vergogne, assurera toute la structure et l’organisation, chapiteau, repas et boissons compris, qu’elle donnera sa pleine mesure. D’abord, comme tout était gratuit, les gens de gauche vinrent en famille, ce qui permit de gonfler fortement les chiffres. Et il se dit, toujours sous le manteau, que Laure-Line, grande défenseur de la viticulture bretonne, avait largement payé de sa personne, avant de prendre le micro. Est-ce pour cette raison que la bougresse dut lire son discours, qui pourtant ne durait pas plus de deux minutes ? Nous l’ignorons. Toujours est-il que tous les élus firent corps autour d’elle, et l’écoutèrent religieusement insulter les opposants, et appeler à ce qu’ils ne mettent plus jamais les pieds à Callac.

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Voilà donc qui est Laure-Line Inderbitzin, vraie cheftaine de la ville de Callac, enseignante propagandiste, apologiste de l’immigration, qui a un tel mépris des Français et des Callacois que cela ne lui a posé aucun problème de tenir un discours avec un slogan raciste au pied de la tribune : « Réfugiés, ne nous laissez pas seuls avec les Français ».

Cela ne lui a pas posé davantage de problèmes que trois cents de ses invités attaquent les gendarmes, voulant en découdre avec les manifestants qu’elle qualifie de fascistes. Aucun mot d’excuse de sa part, ni de la municipalité, suite à une agression dont elle porte la responsabilité, et qui pourrait valoir les tribunaux aux élus de Callac.

Dans un prochain article, nous amènerons d’autres précisions sur cette femme prête, par idéologie et par haine d’elle-même, à livrer Callac à des nouveaux venus, majoritairement musulmans et africains, et à qualifier de racistes ceux qui, avec bon sens, expliquent la folie du projet Horizon, lors de ce reportage effectué par le talentueux Vincent Lapierre.

Rassurez-vous, le meilleur est à venir, pour Laure-Line Inderbitzin. Suite au prochain numéro…

Vincent Lapierre était à Callac le 5 novembre :

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