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L’islam à la conquête de la France catholique: une Histoire politiquement incorrecte

Notre actualité serait-elle la même si la véritable Histoire de Charles Martel était encore enseignée dans les écoles ? Forcément non! (Voir les extraits d’un livre d’Histoire de l’école publique du primaire, des années 50 en fin d’article)

Voici l’Histoire vraie de la France qui a forgé son âme en repoussants les assauts de l’Islam en Fille aînée de l’Eglise, depuis les derniers Mérovingiens :

Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France de l’époque. Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques. Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite du Rhône jusqu’à Sens. En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d’Aquitaine. Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes.  Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l’armée musulmane, qui se replia en désordre sur l’Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne. On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu’Eudes était mérovingien. Les Capétiens étaient en train de devenir rois de France et n’avaient pas envie de reconnaître une victoire mérovingienne.  Les musulmans ont conclu alors qu’il était dangereux d’attaquer la France en contournant les Pyrénées par l’est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l’ouest des Pyrénées.

15000 cavaliers musulmans ont pris et détruit Bordeaux, puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers, pour être finalement arrêtés par Charles Martel et Eudes à vingt kilomètres au nord de Poitiers, en 732. Les musulmans survivants se sont dispersés en petites bandes et ont continué à ravager l’Aquitaine. De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps pour participer aux pillages. (Ces bandes n’ont finalement été éliminées qu’en 808, par Charlemagne).

Les ravages à l’est ont continué jusqu’à ce qu’en 737 Charles Martel descend, au sud, avec une armée puissante, et reprenne successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et mette le siège devant Narbonne. Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France obligea Charles Martel à quitter la région. En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa définitivement les envahisseurs musulmans. Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à l’ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et les femmes pour les introduire dans les harems d’Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour engendrer des musulmans.

La place forte des bandes se situait à Fraxinetum, l’actuelle Garde-Freinet (le massif des maures). Une zone d’environ 10.000 kilomètres carrés, dans les Maures, fut totalement dépeuplée. En 972, les bandes musulmanes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genèvre. Le retentissement fut immense. Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes musulmanes, petites ou grandes. En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant deux siècles…

La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle s’exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer. Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castration en Corse, puis déportés dans les bagnes du Dâr al islam, et les femmes d’âge nubile dans les harems. Les repaires des pirates musulmans se trouvaient en Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d’Espagne et celles de l’Afrique du Nord. Toulon a été totalement détruite par les musulmans en 1178 et 1197, les populations massacrées ou déportées, la ville laissée déserte.  Finalement, les musulmans ayant été expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l’Italie et de la partie nord de l’Espagne, les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer par des actions de pirateries. 

Ce n’est qu’en 1830 que la France, exaspérée par ces exactions, se  décida à frapper le serpent à la tête, et à aller en Algérie détruire  définitivement les dernières bases des pirates musulmans.  Vous savez ce qu’est devenue ensuite l’Algérie, et l’histoire ne s’est pas figée…  Ce qu’il y a de frappant, c’est qu’entre 714, la première entrée, et 1830, l’écrasement définitif des pirates barbaresques, il s’est écoulé plus d’un millénaire, ce qui montre qu’ils ne renoncent jamais…   

Et ce récit, encore, ne parle-t-il que des assauts de l’Islam contre la terre de France.

Tout comme pour la prise de l’Algérie en 1830, les Croisades furent des guerres défensives contre l’oppression et les persécutions des musulmans envers les chrétiens d’Orient et pour rouvrir aux pèlerins les routes, autrefois chrétiennes, qui leur étaient coupées, vers le Tombeau du Christ.

Un bref regard au niveau de l’Europe (ou de la chrétienté) nous dévoile un tableau terrifiant. La poussée musulmane s’est aussi exercée à l’Est, contre Constantinople, qui a repoussé la flotte arabe par trois fois en 674, en 678, et en 718. L’échec de l’invasion islamique devant Constantinople a stoppé momentanément la progression des Arabes en Europe de l’Est. Mais L’Empire ottoman a fini par prendre Constantinople en 1453 et s’est installé dans les pays du Caucase… A l’Ouest, il s’est imposé dans les Balkans et par deux fois est arrivé jusqu’aux portes de Vienne, en 1529 et en 1683.

Les conquêtes islamiques furent toujours particulièrement cruelles, accumulant des monceaux de cadavres, imposant l’esclavage ou les conversions forcées pour les survivants. Les pratiques de l’État Islamique ou de Boko haram font partie d’une longue tradition qui trouve ses sources dans le Coran.

Chez nous en France à proprement parler, la courte période de la colonisation ne fut qu’un simple répit.

« Qui contrôle le passé, contrôle l’avenir. » affirme en 1931, l’auteur du Meilleur des mondes, Aldous Huxley. Ce sont nos politiciens adeptes d’un monde sans Dieu, qui contrôlent notre passé. Ceux-là même qui voulaient intégrer la Turquie à l’Union Européenne en prétendant que les sources historiques de l’Europe étaient autant musulmanes que chrétiennes. Un retour sur l’Histoire véritable nous montre la part d’Histoire que nous avons réellement avec l’Islam, et elle est très loin d’être amicale. Sans cesse les hordes musulmanes se sont lancés à l’assaut de notre pays pour le piller, le dépecer et tenter de l’immerger dans l’opacité de sa religion du mal . Il a toujours été notre ennemi. En réécrivant notre Histoire selon leurs besoins, ces traîtres nous culpabilisent et nous manipulent, c’est ainsi qu’ils commandent notre avenir. Si les Français renouaient avec leur véritable Histoire, ils rendraient l’avenir à Dieu qui n’a cessé de les protéger que lorsqu’ils ont renoncé à Lui, et ainsi ils retrouveraient leur fierté.

Emilie Defresne

C’est ainsi qu’il y a quelques dizaines d’années à peine, notre histoire était enseignée à l’école publique, alors que l’Algérie était française :

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